{Devon Plish

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Corrupted

« Il s’appelle Devon Plish, a 21 Ans, et je doute réellement que vous ayez déjà rencontré un tel sorcier. »

In The Dark Night

2H30 du matin, comme toutes les nuits, Devon ne dormait pas. Pas qu’il n’en n’avait pas envie, il n’y arrivait tout simplement pas. On appelait ça de l’insomnie. Oh je vous vois venir, vous, suspicieux, non Devon ne faisait pas parti du clan des Vampires. N’allez pas imaginer que cette incapacité à dormir était due à ça. Il n’y arrivait pas point final. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour la quelle il possédait de grosses cernes sous les yeux tous les matins lorsqu’il rejoignait la grande salle, Devon était fatigué. Et cette nuit là, au lieu de se retourner milles et une fois dans son lit, il avait décidé de faire une petite promenade dans le château. Ce n’était pas la première fois, ce ne serait sans doute pas la dernière. Il se leva donc, enfila un tee-shirt noir sur son torse découvert, un short de sport de la même couleur, et prit sa baguette magique. C’est en silence qu’il quitta le dortoir. Il avait pris la peine de ne pas faire de bruit, pour ne réveiller personne. Oh non, une nouvelle vois ne vous méprenez pas, il n’agissait pas de la sorte parce qu’il se préoccupait des autres, simplement parce qu’il ne voulait pas que l’un de ses camarades le dénonce. Oui, je sais, la solidarité entre camarades de même maison était sensée exister, mais Devon était tellement détesté par tout le monde, et même par certains de sa maison, qu’il ne pouvait être sûr que personne ne le dénoncerait. Une fois dans un couloir sombre donc, il commença à avancer, éclairant à l’aide de sa baguette ses pieds et les environs. Il entendait certains tableaux se réveiller et se plaindre de cette lumière qui les aveuglait. Mais lorsque chacun observait le regard noir du jeune homme, tous arrêtaient de parler. Devon Plish était craint. Et ce, pour plusieurs bonnes raisons. Il était perfide, mauvais, cynique, manipulateur selon les dires de ses camarades. Eux le voyaient comme un démon, lui, se voyait comme l’être le plus parfait que l’univers de la sorcellerie verrait exister. Le jeune homme poursuivit son chemin, il ne savait pas vraiment où il allait, mais savait que sa nuit était loin d’être terminée. Alors qu’il allait tourner à l’ombre d’un couloir, il entendit cette voix si détestable s’élever derrière lui :

« Plish a tellement la tête grosse comme une citrouille, qu’il croit que les règles ne sont pas pour lui. »

Le jeune homme s’arrêta net. Souvenez-vous, le château avait été détruit, transformé en ruines, des gens étaient morts, beaucoup de monde. Mais Peeves…Peeves, lui n’avait pas disparu. Au contraire il était toujours bien présent, et pourrissait la vie des élèves mieux que personne, du moins mieux que tout le monde sauf peut-être de Devon, qui excellait dans ce domaine. Peeves était donc toujours ici, et ne s’était pas amélioré niveau blague, niveau réplique, niveau tout finalement. Devon se retourna alors rapidement, tentant de fixer son regard dans celui vide de toute vie dans celui du fantôme. Dans un murmure froid et mauvais il répliqua :

« Ne me cherche pas Peeves, tu connais mon influence ici. Ne me cherche pas Peeves, tu pourrais terriblement le regretter. »

Contre toute attente, le fantôme fit volte face et s’éloigna sans un bruit, sans un cri, sans un chant. Quand je vous disais que Plish était détesté et craint de tous. Même d’un fantôme. Vous rendez-vous compte, même les morts avaient peur de ce qu’était capable Devon. Les minutes s’écoulaient, et le jeune homme parcourait toujours les couloirs. Il s’arrêtait de temps à autre lorsqu’il entendait un bruit, un craquement. Avait-il peur ? Mais peur de quoi ? Du noir ? Bien évidemment que non, ne soyez pas stupide, Devon était grand, Devon était fort. Avait-il peur du danger ? Mais quel danger ? Devon avait une baguette, et il savait s’en servir, peut-être mieux que les trois quarts de ses camarades, il aimait la magie, il aimait pratiquer, et excellait dans énormément de domaines. Avait-il peur ? Peur de se faire attraper par un membre du corps enseignant ? Non bien sûr que non. Si cela venait à arriver, il utiliserait l’une de ses ruses, le sourire. Craquant, sûr de lui, fier, mais à la fois charmeur. Cela marchait presque à tous les coups lorsqu’il avait une femme en face de lui. Et puis après tout, ses notes étaient excellentes alors les professeurs ne lui reprochaient presque rien. Non Devon n’était pas effrayé d’être ici. Depuis le temps qu’il était à Poudlard, il s’était baladé tellement de fois dans les couloirs sombres et en pleine nuit du château, que cela en devenait presque lassant, comme si la routine venait lui gâcher ses envies de promenade. Le jeune garçon décida qu’il était tant de remonter dans son dortoir, il s’était promené pendant plus de deux heures, à observer coins et recoins, il n’avait rien déniché d’intéressant, rien qui pourrait lui être utile pour la suite. Il retourna donc dans son lit, mais cette fois, ne prit pas la peine d’entrer en silence. Il claqua la porte du dortoir, toussa bruyamment, jeta ses chaussures dans un fracas sur le sol, et finit par se racler la gorge maintes et maintes fois. Il entendit ses camarades grogner, se retourner dans leur lit. Ils avaient l’habitude, c’était le même manège toutes les nuits dès que Devon retournait se coucher. Si il n’arrivait pas à dormir, alors les autres n’avaient pas le droit de profiter de ce bien être. Il finit néanmoins par se calmer, et ferma les yeux espérant au plus profond de lui-même que le sommeil viendrait bientôt le chercher.

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SHE IS CRAZY

« Devon Plish, si tu approches encore une seule fois de Zafira, je te jure que…
-Que quoi Trisha ? Que quoi dis moi. »

La voix de la jeune femme venait de se briser, au même instant que les doigts du jeune homme s’étaient resserrés contre sa gorge. Qu’elle était sotte la petite. S’attaquer de plein front à Devon. Qui aurait commis une telle erreur ? Personne. De plus, l’inconsciente était venue aborder le jeune homme près du lac, là où personne ne se rendait avec ce temps. Il faisait en effet froid, le vent glacial venait fouetter les joues des adolescents ou jeunes adultes qui osaient affronter la météo. Enfin bref, la jeune femme était arrivée d’un pas rapide vers Devon, alors que celui-ci n’avait rien demandé. Elle osait le déranger, elle osait lui adresser la parole, pire que tout elle osait s’en prendre à lui, le menacer. Quel comble ! Que la situation était grotesque, risible. Décidément, nous aurions tout vu. Devon resserra ses doigts sur la gorge de la jeune femme, celle-ci commençait peu à peu à perdre de ses couleurs. Et on pouvait apercevoir dans le regard de Devon, qu’il prenait un certain plaisir à tout ça. Il plaqua violemment la jeune femme contre l’arbre qui était juste à côté d’eux. Elle était donc bloquée entre l’arbre&lui. Il approcha ses lèvres de l’oreille gauche de la demoiselle, et après l’avoir mordillée doucement, il lui susurra avec froideur :

« Alors Trisha, explique moi, que risque-t-il de m’arriver, si je m’approche encore une fois de ton amie ? »

Il était mauvais, détestable, écœurant. Mais finit tout de même par la relâcher, la jeune femme s’écroula à ses pieds, les mains de la jeune femme s’agrippèrent à son propre cou, et elle commença à suffoquer. Oui un peu plus et Devon la tuait, heureusement qu’il avait la notion du temps, et des secondes qui s’écoulaient. Heureusement qu’il avait la notion de la respiration. Vous vous demandez sans doute ce qu’il avait pu faire à cette pauvre Zafira… Oh rien de bien méchant. Du simple harcèlement dirons nous. Harcèlement moral, harcèlement physique. Il aimait jouer avec le feu, il aimait faire mal, il aimait torturer, et malheureusement pour la demoiselle en question, elle avait été sa cible durant plusieurs semaines. Elle était jolie, mais faible. Elle avait eu la prétention de croire qu’elle pouvait se refuser à lui, mais personne ne pouvait se refuser à Devon Plish c’était ainsi, c’était un fait. Alors elle lui avait dit non. Non à quoi ? A un baiser, un simple baiser. Devon lui avait donc promis qu’elle le regretterait, et ce fut le cas. Nuit et jour elle vivait dans al crainte qu’il ne parvienne à la toucher, à la briser. Dès qu’il la croisait, il l’insultait. Mais attention, il l’insultait avec classe, avec pertinence, il trouvait les bons mots, ceux à doubles sens, ceux qui faisaient mal, et ceux que les autres auraient pu confondre avec de la gentillesse. Il s’était retrouvé plusieurs fois avec elle, seul. Pour le plus grand malheur de la demoiselle. Combien de fois lui avait-il volé un baiser de force, combien de fois ses mains avaient parcouru le corps de la jeune femme sans qu’elle ne soit consentante ? Combien de fois lui avait-il craché dessus ? Combien de fois l’avait-il frappé ? Combien de fois était-elle repartie avec des bleus sur le corps ? Beaucoup trop pour qu’il ne puisse lui-même s’en souvenir. Personne n’avait rien dit, tout simplement parce que personne ne le savait. Elle avait peur d’en parler, et savait que si elle le faisait, Devon deviendrait parfaitement ingérable, plus qu’il ne l’était déjà. Mais apparemment, il s’était trompé, elle avait fini par tout avouer à Trisha. Celle-ci se releva après de longues secondes allongée par terre. Elle planta son regard parsemé de larmes dans celui sombre et moqueur du jeune homme.

« Un jour tu finiras par tomber, et ce jour là, je rirais. Je ne suis pas Zafira, et je ne suis pas comme tous les autres élèves qui préfèrent garder le silence face à toi. Je te promets Devon que tu ne la toucheras plus.
-Qui t’as dit que je désirais encore la toucher ? Toi par contre… »

La demoiselle fut frappée d’un élan de frissons, elle recula de quelques pas et fit demi tour en direction du château sans se retourner. Devon éclata alors d’un rire sadique mauvais, elle serait sa prochaine cible. En un clin d'œil elle était parvenue à attirer les foudres du jeune homme. Et comme toutes les autres, elle finirait en miettes…

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Devon Plish - Justine- Bientôt 18 Ans- Très Beau Forum- Supermassive Black Hole- Présentation terminée.

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Devon;

Slytherin.

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Merci à vous deux {Devon Plish 371365

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