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| Auteur | Message |
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| Sujet: Felix E. Callahan Mar 26 Jan - 18:34 | |
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Derrière la vitre
La fiche est enfin finie, merci pour le délai accordé, j'en ai eu bien besoin !
Pour les petites informations hors-jeu, voici : Mon pseudo le plus courant sur la toile, c'est Elyon. J'ai, seize ans, je suis première littéraire, et je dirais que ça me botte. J'aime les expressions à la noix de cajou comme "ça fait pas rire le campeur" et autres soixante-huitardes ou désuètes (si vous en connaissez d'autres, hormis "ça craint pas du pâté" je serais heureuse de les découvrir à mon tour ! ). Malgré les trois choix d'avatars proposés pour le prédéfini, j'ai jeté mon dévolu sur David Anders. Je ne sais pas trop pourquoi d'ailleurs, mais l'idée du personnage a grandi dans mon esprit avec sa bouille à lui. Et comme il était libre (logique) je me suis dit que je pouvais négocier un nouveau petit changement sur le prédéfini. Je parlerais bien encore de choses et d'autres, mais j'ai bien peur que ce ne soit pas très pertinent. Ah si, quand même : bon anniversaire, petit forum (enfin vous me direz, à un an,il commence à peser le petiot. C'est un nom connu, je crois que tous les bons joueurs ont déjà du regarder le forum une fois et au moins reconnaître qu'il est intéressant.) Quand au code, il me semble que c'est "raising hope". '__'
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Dernière édition par Felix E. Callahan le Sam 6 Fév - 21:10, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan Mar 26 Jan - 18:34 | |
| FelixEdward Callahan.
Et moi aussi de près je suis sombre et terne Une brume qui vient d'obscurcir les lanternes Une main qui tout à coup se pose devant les yeux Une voûte entre vous et toutes les lumières Et je m'éloignerais m'illuminant au milieu d'ombres Et d'alignements d'yeux des astres bien-aimés Apollinaire, Cortège |
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NOM : Callahan PRENOM(S) : Felix, Edward AGE : 26 ans ESPECE : Envoûté humain
Semble posséder un trouble de la personnalité lié au Spirit qu'il prend pour un ami imaginaire (lui parle à voix haute). Tendance à la dromomanie (nb : besoin irrépressible de marcher). Sorcier utilisant peu ses pouvoirs. A arrêté Durmstang à seize ans. A pourtant des facilités dans le domaine scolaire. Naturellement curieux. A perdu sa mère à seize ans. A été envoûté le soir de sa majorité. A défiguré son père sous l'emprise du Spirit quelques mois plus tard. Installé à Londres depuis peu. Peu d'amis. Jamais intégré au groupe lors de sa scolarité. Rythme de vie sain. Semble souffrir de fatigue chronique. Parle peu. Temps de réaction augmentant lorsque l'emprise du Spirit se fait plus forte. Capable de reprendre conscience quand il le désire, sauf lorsqu'il commet un meurtre. Se laisse toutefois manipuler par le Spirit (il fait confiance à cet ami imaginaire). En dehors de cette faiblesse, humain décidé, parfois borné. Pacifique en règle générale. Prêt à laisser le Spirit prendre le contrôle de son corps en situation de crise qu'il aurait du mal à gérer. Loisirs atypiques, semble se lasser assez rapidement de ce qu'il entreprend. Vit seul, parle peu. Emploi alimentaire dont il n'est pas satisfait. Spirit retors, se servant du corps du jeune homme pour endormir la méfiance de ses interlocuteurs. Peu de signes permettant de déterminer si l'on s'adresse à l'humain ou l'entité. Spirit dangereux, violent, qui n'hésite pas à utiliser du corps qu'il possède désormais pour faire usage de sa force. Le Spirit se radoucit toutefois quand il s'occupe de son "hôte". Pour se prémunir du Spirit, laisser l'humain tranquille.
D.Callahan, notes prises à propos de son fils. |
Dernière édition par Felix E. Callahan le Sam 6 Fév - 21:12, édité 9 fois |
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan Mar 26 Jan - 18:36 | |
| Un jour, je m'attendais moi-même.
« J’aimerais que quelqu’un me dise un jour comment j’en suis arrivé là. Comment du sorcier discret mais pas méchant pour un sou je suis devenu un humain envoûté. Humain envoûté, un terme qui n’existe même pas. Dans de telles conditions, est-ce mon âme ou le Spirit qui existe dans mon corps ?
Ne te prends pas la tête, Felix.
Je vais marcher pour remettre mes idées en place. C’est un truc que je fais souvent. Ça me calme. Ça me donne l’impression de faire quelque chose aussi. Je saisis ma veste, referme doucement la porte de mon appartement derrière-moi. Est-ce que j’ai peur de déranger quelqu’un à l’intérieur ? Je vis seul. Seul avec le Spirit. Mais c’est à l’intérieur de mon corps qu’il se trouve, pas de l’appartement. Ça explique pas mal de choses d’après mon père. Que je fasses souvent des gestes quand je réfléchis, comme si je m’adressais à quelqu’un. Je vois le Spirit, pas lui. De toute façon, ils n’auraient jamais réussi à s’entendre. C’est très mal parti entre eux.
Je crois que pour comprendre, il faut faire le point. J’étais un sorcier normal, envoyé à Durmstang, dans le froid. Mon père est un psychologue moldu. Ma mère était une sorcière. J’ai vécu une enfance ordinaire. Pas de drames familiaux, je voyais mes grands-parents de temps en temps, il en était de même pour mes cousins et cousines. A l’école, j’étais plutôt solitaire. Mes camarades de classe trop joyeux me mettaient mal à l’aise. Je ne comprenais pas leurs bonheurs d’enfants. Mes professeurs disaient que j’étais plus « mûr ». Ça veut pas dire grand-chose en soi.
Ça aurait pu être une qualité, pourtant. Je sais.
J’étais donc solitaire. Pas un très grand lecteur pour autant. Je piochais dans la bibliothèque de mes parents quelques bouquins qui me paraissaient intéressants. Pour la musique, je piochais aussi. Ça m’allait plutôt bien, la normalité en me tenant à l’écart des autres. Je suis ensuite allé à Durmstrang. J'aurais été incapable d'apprendre le français pour aller à Beauxbâtons, de toute façon. On dit qu'à Durmstang, les gens sont particulièrement regardants sur la qualité du sang. Né moldu, parents sorciers ... J'étais plutôt mal parti avec un père qui ne comprend rien à la magie. Je me suis donc contenté de me taire, de ne pas trop me faire remarquer et tout allait pour le mieux. Ma mère se désolait de ne pas connaître mes amis car je ne les voyais pas pendant les vacances. Comment lui dire qu’ils ne me manquaient pas ? Je prétextais vouloir me reposer. Au bout d’un moment, elle n’y croyait plus, évidemment. Durant ma seizième année, je suis bien évidemment retourné à Durmstrang après les vacances. C’est un hiboux qui m’a appris un matin que ma mère était décédée. Mon père me priait de revenir au plus vite à la maison. Lorsque j’ai tendue la lettre au premier type à côté de moi, par instinct, je flottais déjà. J’étais comme dans un rêve. On aurait dit que tout autour de moi était derrière une vitre. Sons feutrés, visages lointains. J’ai pris le train sans m’en rendre compte. Lorsqu’on l’a portée en terre, je réalisais à peine ce que je voyais. Je n’ai pas dit un mot. J’étais près de mon père, ça lui suffisait je crois. Les autres n’attendent pas trop de moi.
Tu te dénigres, Felix. Je sais.
Lorsqu’il a fallu retourner à Durmstrang, j’étais toujours absolument incapable de passer outre ma vitre. J'avais l'impression d'avoir tout le temps froid. Je ne parvenais plus à me concentrer en cours. Que je gribouille dans la marge de mes cours ou que j'écoute mes professeurs, rien n’y faisait. Je ne savais pas ce qu’ils venaient de dire lorsqu’ils me demandaient de participer. Je restais muet, à peine capable de savoir dans quel cours j'étais. Métamorphose ou potions ? Avec mes camarades, c’était pareil. Leurs mots glissaient sur ma vitre. Il a bien fallu la briser un jour, pourtant. Je ne suis pas arrivé là-bas. Je n'y suis arrivé que plus tard, avant que le Spirit n'oppose un nouvel écran à mon regard. Je suis revenu chez moi, ait abandonné Durmstrang. Personne ne m’en a voulu, personne ne m’a adressé le moindre reproche. Comment reprocher à un type qui vient de perdre sa mère de ne plus suivre en cours ? Comment reprocher à un sang-mêlé qui a perdu le sang sorcier de sa famille de rester dans le monde magique ? Ca faisait un demi-moldu en moins. Paradoxalement, on exagérait mon deuil. En me maternant, en me disait d’en parler si je voulais. Je ne voulais pas mettre des mots sur tout ça, car je n’en trouvais pas qui correspondent. Les adresser à quelqu’un, c'était d'autant moins envisageable. J’aurais juste voulu encaisser la nouvelle calmement de mon côté. Mais je ne disais rien. Comme je ne parlais pas beaucoup avant, ça m’offrait une bonne excuse pour rester totalement silencieux. Tout le monde y gagnait.
Tu exagères, Felix. Les autres ne te haïssaient pas pour autant que nous sachions. Bah … Ils sont loin, les camarades de Durmstrang. Tu vas attraper froid. Resserre ton écharpe.
Je porte mes mains à mon cou, remets le tissu noir à sa place. Du gris ou du noir, c’est tout ce que je portes ou presque. Du blanc et du beige à l’occasion. Mais moins souvent maintenant. Pas assez discrètes, les couleurs claires. Et moi, la discrétion, j’aime ça. Après Durmstrang, c’est mon père qui s’est chargé de mon éducation. Du purement moldu. Grammaire, algèbre, sciences physiques … Il a même essayé de me faire apprendre une langue vivante. Essayé, car les résultats n’étaient pas concluants. Je préférais apprendre en autodidacte. Très lentement. Donc m’embêter à apprendre une grammaire, des mots et autres, ça n’allait pas trop. J’étais, et je suis, sans ambitions. Pas envie de bâtir quelque chose par les temps qui courent. Alors je ne cherche pas à aller vivre dans un pays lointain. Pour échapper au Spirit ? Il est trop tard !
Comme il fallait que je « m’aère » l’esprit, mon père a insisté pour que je sortes plus souvent de la maison. Surtout lorsqu’il était à ses consultations. Ce que tu faisais de plus en plus assidûment.
La corvée que représentaient ces sorties s’est transformée en rituel pas désagréable. Dromomanie, disait-il. Besoin de marcher. Si tu veux, Papa. Je suis devenu majeur un peu plus tard. Les choses n’avaient pas vraiment changé. Deux ans depuis la mort de Maman … Je ne réalisais pas. Je suis sorti, le jour de mon anniversaire. Il faisait nuit. Un concert devait se dérouler quelque part en ville. Je n’avais pas de places, mais j’espérais entendre quelques sons depuis l’extérieur, avant de continuer ma ballade. J’ai été envoûté à ce moment. Je ne sais pas comment.
Et tu ne tiens pas à le savoir, Felix. On en a déjà parlé. Oui, je sais.
Je me suis réveillé le lendemain matin, chez moi. Mes vêtements avaient quelques taches de sang. Pas beaucoup, mais sur du blanc, ça marque. C’est bien pour ça que j’en porte moins. Je n’étais pas blessé : le Spirit, fatigué de sa tâche, n’avait pas pris le temps de m’emmener me doucher. D’autant que la conquête de mon corps l’occupait déjà : il le rendrait présentable une fois qu’il en serait maître. C’est mon père qui m’a trouvé et réveillé. En criant. Ça lui a fait « un coup au cœur » dit-il. Il m’avait entendu parler seul, à mi-chemin entre le sommeil et l'éveil, avant de me voir tâché de sang. Il a cru que j'étais blessé, que j'agonisais. Que mon âme allait s'envoler d'un moment à l'autre, pour l'âme il n'avait pas tort. Mais je ne ressentais pas de douleur. Juste de la fatigue. C’est l’imaginaire moldu qui lui a causé une frayeur pareille. Sang, donc mort. Perdre son fils après avoir perdu son épouse, ça aurait fait beaucoup, je le comprends. Tu ne supporterais pas de le perdre, toi. C’est vrai, ça aussi.
Le Spirit m’a rapidement contrôlé. J’étais devenu irritable, toujours à fleur de peau. J’avais la sensation de devoir lutter contre mon corps, comme si j’étais victime d’une maladie qui ne partait pas. Tenter de rester conscient était difficile, je luttais contre une fatigue psychologique et physique à la fois. Je me sentais impuissant, tout bonnement. Mon père a pris les choses en main quelques mois plus tard. Il n’avait pas vraiment le choix, c'était chercher une solution ou me perdre en s'écartant définitivement de moi. Quelques jours plus tôt, sous le contrôle du Spirit, je m’en était pris à lui. Il avait suffit d’une critique de sa part, je ne sais même plus laquelle, et je me suis laissé emporter. Il n'est pas resté longtemps à l'hôpital, et le Spirit m'a laissé du répit pour aller le voir et m'occuper de lui du mieux que je pouvais là-bas. Mais la cicatrice ... La cicatrice ! Je n'ose pas la regarder, je ne peux plus regarder son visage. Je crois que je l’ai frappé avec un objet. Quoi, je ne sais pas. Derrière ma petite vitre crée par le Spirit, je n’ai pas prêté garde à l’objet de notre maison qui avait disparu une fois que l'angoisse d'avoir mis mon père en danger de mort est retombée. Un cadre photo, un chandelier ? J’aurais dit que c’était un de ceux sur la petite commode près de l’entrée. Je ne sais pas. Il n’a jamais reparlé de l’accident. Pour lui, c’était « du passé. Tu ne savais plus ce que tu faisais Felix. » Ces paroles rassurantes, il me les as adressées comme un reproche.
Ce n’était pas son intention. J’aurais préféré que ce soit le cas.
Il a passés plusieurs mois à faire des recherches sur le Spirit. Pour un moldu, c’était tout simplement atroce de devoir ingurgiter autant de culture sorcière d’un coup. Il regrettait de ne pas avoir eu de pouvoirs lui aussi. Par chance, j'avais gardé des contacts avec mes camarades de Durmstrang ; et par respect pour moi ont gardé le secret. Je regrette de ne pas avoir été plus proche d'eux avant, j’ai l’impression de leur avoir demandé un service trop important… Je les vois toujours, je passe du temps avec eux pour « m’excuser » en quelque sorte. J'espère leur rendre la pareille et me sentir soulagé du poids de la gratitude. Mais leur présence ne me dérange pas, en soi. Ils se sont habitués à ce que je ne parle presque pas. Ou alors, que je parle trop, pour évoquer des théories, débattre … Je ne parle jamais de moi au fond.
Ce qui n’est pas plus mal. Raconter que je suis dans ton corps, ça passerait mal. J’ai remarqué, merci.
Depuis huit ans déjà, le Spirit loge dans mon corps. Nous ne sommes pas trop mal l’un et l’autre. Il me laisse un certain espace vital. La journée, tout va bien. Il me laisser faire mon travail tranquillement. Son but, ce n’est pas que je meure de faim après tout : on aurait beaucoup à y perdre tous les deux. La nuit, les choses se compliquent. Je peux rarement « sortir seul ». Je sens sa présence. Il me laisse un peu de liberté, me laisse un peu me reposer en début de soirée si je le désire. Évidemment, là encore, ça nous arrange bien …
Felix …
Il y a quelques mois, la situation dans laquelle je vivais m’a parue difficile. Pas à cause du Spirit en soi. Mais parce que je ne parvenais toujours pas à m’habituer au visage de mon père. J’en étais venu à l’éviter, à ne plus être en mesure de regarder dans les yeux l’homme qui m’a élevé. Je lui mentais souvent, prétextait des soirées avec des amis que je n’avais pas pour éviter de me retrouver dans la maison. Trop petite, beaucoup trop petite désormais …
Felix …
Alors je suis parti, avec pas beaucoup d’argent en poche. Forcément, les premiers jours, ça a été la galère. Difficile de trouver un appartement, celui que j’ai est un peu miteux. Je l’aime bien, pourtant. J’aurais pu tomber sur pire. Je dois prévoir une marge de temps pour me rendre à mon travail le matin. Le quartier où je vis n’est pas en plein cœur de la ville. Je dois un peu marcher. Ce n’est pas plus mal d’y aller à pieds. Et ça arrange le Spirit, qui préfère les quartiers « calmes ». Calme ou désolé, c’est une question de point de vue. Je manque encore d'argent, mais ça va se stabiliser. J'espère.
Felix … Quoi, encore ? Felix … Il est tard. Tu devrais te reposer … Tu veux le contrôle de mon corps, pas que j’aille dormir, n’est-ce pas ? Oui. Je parlais de ton âme. Pas de ton corps. J’en ai besoin. Bonne nuit, Felix. » |
Dernière édition par Felix E. Callahan le Sam 6 Fév - 21:26, édité 2 fois |
| | | Lokhyan Raphaël Dewitt GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become
♦ Lettres Envoyées : 3608 ♦ Crédit : BS* ♦ Citation : "La cruauté est le remède de l'orgueil blessé"
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan Jeu 28 Jan - 8:28 | |
| AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH DAAAVIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIID *respire*
Bienvenue sur le forum MONSIEUR Anders sera a toi (a moins que tu changes en cours de route), lorsque que tu auras posté 50 messages dont 3 dans le rp( pour éviter les avatars pris par des membres fantômes --) Si tu as des questions, tu peux mpotter l'un des admins Tu as donc une semaine pour faire ta fiche, et s'il te faut un délai, tu pourras nous le demander Voila, bonne chance |
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan Dim 31 Jan - 15:47 | |
| Oh, tiens, quelqu'un qui connaît Mister Anders ? Pas courant, ça ! Merci pour l'accueil !
J'ai bien peur qu'il ne me faille un petit délai : ma perverse connexion internet a fait une coupure de trois jours qui vient juste de se rétablir. Comme l'accès à l'internet vient tout juste de réapparaître par magie, j'ai peur qu'il ne disparaisse tout aussi rapidement dans quelques minutes (comme il l'a fait hier, m'offrant un faux-espoir digne de ce nom). Et ça m'embêterait de voir mon compte supprimé à cause des caprices de star du réseau dans mon petit village ! '___' |
| | | Charlotte Leonhart BLOODY GIRL † Would you Die for me ?
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan Dim 31 Jan - 15:52 | |
| Pas de problème. Une semaine de plus, ça te suffirait ? |
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan Ven 5 Fév - 22:22 | |
| Une semaine suffira largement !
EDIT : Fiche finie, mise en forme à l'instant ! J'espère qu'il ne reste plus de faute d'inattention ! Merci encore pour le délai, et bonne lecture ! |
| | | Charlotte Leonhart BLOODY GIRL † Would you Die for me ?
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan Ven 5 Fév - 23:02 | |
| Oki oki. Alors, avant qu'on te valide, y a un petit détail qui ne va pas. C'est par rapport à la chronologie. Felix ne peut pas avoir arrêté Poudlard à 16 ans parce que Poudlard n'était pas encore réouverte. Elle n'a réouvert qu'en 2090. Et Felix avait déjà 22 ans si je dis pas de bêtises... Malgré tout c'est pas grave, tu ne vas pas avoir besoin de tout modifier. Tu as deux choix assez simples : soit Felix a été à l'école moldue toute son adolescence et prenait des cours de magie à domicile par exemple. Soit il a été à l'école à Beauxbâtons, Durmstrang ou autres. C'est un peu comme tu veux Désolés, on aurait du préciser dans la description du vacant >< |
| | | Charlotte Leonhart BLOODY GIRL † Would you Die for me ?
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan Mar 9 Fév - 16:48 | |
| A vrai dire, j'avais eu le temps de modifier, mais pas de laisser un message ! (notamment à un bug d'internet de ma vile livebox)
Ouf, c'est rassurant de voir que le personnage vous a plu : je me fais toujours une vision étrange et décalée des prédéfinis, j'avais peur que ça n'aille pas ! '__'
Sur ce, je m'en vais gambader vers le jeu pas trop vite quand même, parce que les rues de Londres doivent bien glisser. |
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| Sujet: Re: Felix E. Callahan | |
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