Edward is coming | Terminé

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Moody Girl
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Edward Staylen

« My feelings are more important than yours »

17 ans d'apparence
V a m p i r e
3ième année
sang mêlés issu de famille moldu

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Edward is coming | Terminé Irhaydenmudbox

Carmendovel
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I can't forget this moment

Découvrez Muse!

- « Maman ? demanda le garçonnet, Tu vas bien ? »

La jeune femme chercha son fils du regard. Elle le trouva juste derrière elle, les yeux agrandis par la peur. Pas besoin de lire dans son regard pour savoir qu’elle avait fait peur à son fils, et pour cela, elle se détestait. Undone se pencha vers le garçonnet. Elle lui ébouriffa les cheveux. Le garçonnet cessa de la regarder avec cette peur dans les yeux mais il resta méfiant. Quelques minutes auparavant sa mère s’était mise à faire des choses très bizarre. Et puis il y avait eu les ustensiles de cuisines qui s’étaient mis à voler dans la pièce. Edward n’aimait pas ça. Il n’aimait pas voir des choses anormales autour de sa maman, et encore moins l’idée qu’elle en soit l’origine. Il avait besoin de comprendre, depuis tout bébé il avait eu ce besoin, c’était sans cesse qu’il harcelait ses parents de questions.

- « Bien sûr que je vais bien. Je suis désolé si je t’ais fait peur. Maman était seulement en train de ranger la cuisine. »

Le petit garçon allait dire que faire voler les objets n’étaient pas exactement la signification du mot ranger, mais il ferma sa bouche et se contenta de lui sourire. A six ans il était assez grand pour comprendre que sa mère n’allait pas bien et que la questionner n’arrangerait pas les choses. Depuis qu’elle avait accouché de sa petite sœur, il voyait bien que ça n’allait pas. Son père n’arrêtait pas de lui demander de se reposer mais est-ce qu’elle l’écoutait ? Non, évidemment que non. Edward ne comprenait pas ce qui arrivait à sa mère mais ça le rendait fou d’inquiétude à l’idée qu’elle puisse aller mal d’autant plus s’il ne savait pas ce qu’elle avait, qu’il ne savait pas quoi faire pour qu’elle aille mieux.

- « Aller Edward, prend ta mère dans tes bras. »

Il ne se fit pas prier deux fois. Enfouissant son petit visage possédant déjà des traits fins comme son père, il respira à plein poumon la merveilleuse odeur de sa mère. Undone caressa la tête blonde de son fils affectueusement. Elle avait eu de la chance de l’avoir, elle avait eu de la chance que cet inconnu qui l’avait recueillit cette fameuse nuit la demande en mariage. Oh bien sûr au début, elle avait eut peur. ça n’était pas son fils qui était né,elle était une sorcière pourquoi voulait-il épouser une inconnue ? Undone n’était pas sotte, elle avait réaliser que s’il voulait l’épouser c’était parce qu’il l’aimait. Mais elle avait eu par la suite des craintes, qu’il la quitte, qu’il devienne violent, peur ridicule, mais elle se sentit obligée de lui faire un enfant, un enfant rien qu’à lui. Bien sûr il adorait Edward et le considérait comme son fils, il ne cessait de dire que peu importe son véritable père, c’était lui qui l’avait mis au monde, mais guidé par sa peur elle avait fait une petite sœur à Edward.

Repoussant un peu son fils, prenant ses mains dans les siennes, elle lui sourit. Edward était incroyablement intelligent pour son âge. Il avait de ces regards qui en disait long, et puis il disait parfois des choses tellement adultes et mature qu’il ne cessait de l’étonner. Elle l’appelait son petit homme affectueusement. Mais elle craignait qu’il ne vieillisse trop vite. Sans qu’elle le sache, Edward lisait déjà beaucoup, sans qu’elle soit au courant, il faisait de drôle d’expériences.

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carcrash_heartz
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The day I knew I was a wizard

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Londres, pluie, mère malade, si Edward devait décrire son enfance en trois ce serait ceux-là. C’est étonnant, et peu de sorciers le savent tant la culture générale chez les sorciers est axée sur des choses beaucoup plus futiles, mais le socialisme euro-oriental s’était mis en place avec l’aide de certains sorciers mal intentionnés, même s’il subsistait une majorité de sorciers qui allaient continuer à vivre en deçà de tout cela. Edward était destiné à être un moldu comme un autre, né d’une famille de pauvres ouvriers de dernière classe, la mère ravagé par la maladie, et le père tentant de survivre avec ses deux enfants, chose qui ne se révélait pas facile, il s’en rendait compte chaque jour.
Edward était l'ainée de la famille Lewis, il était une sorte de nouvel espoir, se montrant comme un surdoué dès ses premières années. Si l’on n’en oublie ses premiers mots qui apparurent très tôt, ou l’apprentissage de l’alphabet à deux ans, Edward était très perspicace, et pétillait de malice et Edward continuer ses études dans un lycée moldu.

A ses dix sept ans, on était en 2080, et de son père, Edward n’eût qu’un appel téléphonique. Son père était désormais en Afrique, il avait été engagé dans l’Armée anglaise, cela étant sa dernière chance. Il raconta à Edward ses voyages en Amérique, en Australie, et en Afrique du Sud. A l’entendre, on pourrait croire qu’il avait réussi sa vie. Mais Edward le savait, son père n’y tiendrait pas. D’après ses souvenirs, son père n’était pas un vainqueur, et encore moins un tueur. L’armée n’était pas faite pour lui, il préférerait être tué que de tuer, et c’est ce qui arriverait.
Edward raccrocha le combiné, regarda sa soeur, qui étaient présents depuis le début, et ensemble, ils pleurèrent. Et … l’instant d’après, lorsqu’il rouvrit les yeux, Edward se trouvait dans une baraque, à plus de 40°C, il faisait presque nuit. Il venait de transplaner sans l’aide d’une baguette, et sans le vouloir, et de ce voyage de moins d’une seconde, n’en retint que les « Plop ! ».
Devant lui, un homme buvait un verre d’alcool brun, et Edward le reconnut aussitôt, c’était son père. Edward cria son nom, mais alors qu’il s’en approchait, deux autres « Plop ! », Edward était revenu chez lui, dans cette petite pièce sombre où sa soeur le cherchait depuis quelques secondes.
Cet évènement, Edward ne saurait l’expliquer que bien plus tard.
Aussi, à minuit, une lettre apparut sur la table, alors qu’Edward allait se coucher. Cette lettre était signée Sigmund B. A. Lewis (ce fut la première chose qu’Edward nota), et Sigmund était l’arrière grand-père d’Edward. Il en commença la lecture, à voix haute, devant sa soeur.
« Cher héritier,
Si ce parchemin est lu, c’est que mon sang coule encore dans les veines des Lewis, même si je ne sais pas vraiment qui la lit. Je n’ai pas beaucoup de temps, ma maladie prend chaque seconde le dessus, et il me faudra moins d’une heure pour quitter ce monde.
Ma vie aura été grandiose, et je vous souhaite d’en avoir une de la même sorte.
En effet, petit, vous avez ranimé dans notre sang la flamme sorcière, et je suis bien peiné de ne pas assister à cet évènement.
Quel fut mon malheur lorsque mon fils naquit moldu… Mais heureusement, la relève est arrivée.
Et ne vous inquiétez pas, j’ai tout prévu.
De mon temps, Hogwarts, rassemblant les sorciers de l'Angleterre, accepte les Sang-de-Bourbe, et j’imagine que cela continuera, dommage parce que les sorciers purs sont des valeurs sûres.
Aussi, puisque vous êtes mon héritier, mon sang, je veux que vous puissiez jouir de vos habilités, c’est pourquoi je vous indique qu’une baguette magique vous attend à la Banque Gringotts de Londres, tout comme des milliers de gallions, et toute une liste de personnes qui sauront vous accueillir à bras ouverts.
Je [Ce passage était illisible, cinq/six lignes avaient disparu]…
Voyez votre poche, la clé de votre coffre de Banque s’y trouve.

Je ne peux vous en dire plus, ma plume ne tient presque plus entre mes doigts.

Faites renaître la gloire des Lewis perdue par un fils répugnant.
Sigmund B. A. Lewis».

Edward relut deux à trois fois la lettre. Il n’y comprenait rien. Aussi, quand sa soeur lui dit de fouiller sa poche, il y trouva une clé en or, usée mais brillante, avec un énorme G incrusté. Edward n’y comprit rien. Lui qui rêvait de s’en sortir, de pouvoir devenir quelqu’un, il accumulait en ce jour d’anniversaire plusieurs choses inqualifiables, et à vrai dire, incompréhensibles.
Mais Edward n’avait pas les moyens d’aller en Angleterre vérifier si tout cela était vrai, ou une simple farce, et il déposa la lettre et la clé dans une boîte, qu’il retouchera de sitôt.
Edward prit dans ses bagages les quelques vêtements qu’il possédait, quelques pièces, des livres, des objets fétiches, et la grande boîte ou il contenait nombre de choses importantes, comme ses dossiers, ses devoirs, ou encore la lettre de son aïeul. A vrai dire, il comptait y toucher, mais il l’avait prise pour vérifier une fois pour toute que ce qu’il y était dit était vrai. Edward en rêvait souvent, il ne pouvait s’empêcher de s’imaginer avec des pouvoirs, un peu comme ces héros de dessins-animés, qui peuvent cracher du feu, ou encore voler.
A son arrivée, ayant quelques semaines de libre, il chercha partout une Banque Gringotts, sans résultat, jusqu’à ce que par le plus grand des hasards, un homme travaillant pour un certain « Ministère de la Magie » ne frappe à sa porte, pour venir le régulariser. Edward fût emmené le lendemain sur le Chemin de Traverse, ou il ne pût manquer l’immense banque, invisible sur la carte de Londres. Il y trouva tout le nécessaire, y découvrit un monde particulier, des gens vêtus avec un siècle de décalage, des chouettes remplaçant des chiens, des objets qui volent, des lutins, des affiches d’ogres et de dragons, enfin bref, c’était un monde féérique qui s’ouvrait à Edward , et celui-ci ne saurait le refuser. Pour Edward , c’était là l’occasion pour prendre une revanche sur la vie, il serait enfin « QUELQU’UN ».

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Edward is coming | Terminé Haydenperverticone1

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Moody Girl
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The day, i've became a monster

Découvrez Iron And Wine!

«Bonjour petit Sorcier...
lui lança-t-elle sur un air faussement ironique. Sa voix. Envoutante,
froide et sifflante. Trois adjectifs parfaitement appropriés. [...] Edward ne saurait expliquer pourquoi ne l'avait-elle pas tué ce soir-là. Elle l'avait de suite pris sous son aile, cachant maladroitement une idée bien préméditée. Elle s'appelait Staylen, et n'avait que quatre cent ans. Il se souvenait très bien d'elle. Ils n'avaient échangé que très peu de mots, et ne se connaissaient que très peu... Et pourtant. Ils semblaient se connaître par cœur, comme s'ils s'étaient toujours connus. [...] Au réveil, Edward avait perdu tout souvenir de la veille. Seul un mal de tête incessant, des courbatures insupportables l'obligeait à croire à une nuit... Chargée. Il avait d'abord cru à une simple nuit de débauche mais au fil du temps, des heures, des secondes, tout laissait à croire à une "chose" nettement plus... Sanglante.
-24 Décembre 2080-

Edward ne sut jamais ce qui s'était vraiment passé cette nuit là, bien qu'aujourd'hui il l'avait aisément deviné. A l'époque, bien avant sa mort, Edward n'aurait osé questionner Staylen. L'absence de tout caractère, de toute affection familiale faisait de lui l'être le plus déshumanisé. Ce qui aujourd'hui était paradoxal. Il est le vampire le plus fier qui soit, sûr de lui à ne jamais ciller, ne ratant jamais sa cible. Il avait atteins la phase suprême, il ne craignait rien. A ça près... Edward décelait une faille. Bien cachée, volontairement estompée. Qu'en était-elle? A vous de chercher. Quoi de plus dangereux que de tenter de trouver la faiblesse redoutée chez un être aussi malfamé? A vos risques ... et péril. Ce 24 Décembre 2008, Edward ne croisa pas Staylen. Elle s'était retirée, à l'affût. Cependant, le jeune garçon sentait sa présence. Elle l'observait. Qu'attendait-elle de lui? Il avait eu ainsi toute la journée pour penser sentant ses capacités intellectuelle, primitive, et instinctives se développer. Il changeait. C'est ainsi que cette nuit même, elle refit surface. Elle ne laissa échapper aucune émotion, aucun mot. Seul la peur parcourant ses rues qu'elle traversait avec une telle lenteur. Elles étaient désertes, à l'exception de jeune choristes laissant entrapercevoir une douce et sereine voix. Puis, soudainement plus rien. Plus un bruit. L'atmosphère angoissante étouffa quelques bruits effrayés, l'ombre des jeunes enfants innocents se fondait pour ne laisser qu'avidité, pesant le chemin longeant la rue dans laquelle se trouvait le jeune Edward. Pourtant, aucune peur ne le traversait, seul une sensation de délivrance préméditée. Elle approchait. Tac, Tac, Tac... Lentement, Tac, Tac, Tac... Son regard fixait son apprentis. elle l'avait choisi. il était l'Elu. Qu'avait-il de plus que les autres? De la haine refoulée? Un malheur redoutable? Il ne tarderait à le savoir... C'était l'heure. Au moment même où ses dents, d'une blancheur et longueur indéfinissable, perçaient la tendre et mât peau du jeune homme, ce dernier ouvrit la bouche tentant de laisser échapper un bruit de douleur. Une ultime agonie. En vain. Aucun son n'était émis. C'était la dernière souffrance pour notre Prodige. Très vite, quelques images révélatrices le tira dans un passé proche, au fond de l'oubli, là où toutes les réponses à ses questions étaient précieusement cachées. Parmi elles, la mort de la personne la plus cher. Undone J. Lewis. Sa mère.

Quatre personnes étaient présentes dans ce souvenir refoulé. Edward ne devinait pas la suite. le reste fût confus, et tellement rapide. Le petit Edward se trouvait là, le regard déchiré par la scène s'offrant à lui, son cœur broyé au moment même où il vit la mort de sa mère. Une petite fille se tenait à côté de lui. Ses sanglots obligea le petit Edward à se tourner vers elle. La ressemblance était frappante. Edward aurait cru avoir à faire à un jeu, comme si un miroir se tenait là, face à lui. Sa soeur? Probablement. Mais il n'eût le temps de le lui demander. L'enfant aurait sûrement su répondre, mais il resta silencieux, le regard apeuré et vide de chagrin. La scène était trop forte à supporter. Tout n'était que torture. Comment avait-il pu oublié ça ? Pour la seconde fois, Edward ressentait ce supplice. Une petite main se cramponna, soudainement, à celle du jeune Edward. La petite fille à côté de lui cherchait sa consolation. Ils semblaient tellement proches. Ses sourcils se fronça, mais qui était-ce ? Comment avait-il pu l'oublier elle aussi? Un regard si inoffensif... Mais qu'aurait pu faire Edward à ce moment là ? Il n'avait que dix-sept ans...Qu'aurait pu faire un gamin à peine âgé de dix sept ans ? insouciant du danger de la vie, de toute forme de torture, quant, à vos yeux le monde n'est qu'un rêve, un idéal où tout est "beau", sans peine ni douleur, avec une famille, nos jeux collectifs, nos amis, nos leçons, notre entre aide que l'on pense pouvoir donner et recevoir en retour. A ce moment même, toute cette utopie s'effondra laissant place à un monde infecte, une réalité médiocre, une vie n'inspirant que dégoût. Pourquoi elle? Si innocente. Dès ce jour, Edward jura que plus jamais il ne l'oubliera. Cette mémoire où sa mère subit une torture impensable, un supplice infranchissable. Elle venait de goûter aux désirs pervers d'un inconnu. D'un pitoyable moldu. Il l'avait salit et Edward avec. les cris étouffés de sa mère, celui-ci ne les oubliera jamais. Sa souffrance injuste marquera à tout jamais le jeune homme. Tout comme la délicate lame perforant doucement la chair douce et innocente d'Undone. Sa poitrine ne céda que quelques secondes après se délicieux acte. Edward n'oubliera pas se sourire sadique, ce regard assoiffé de souffrance. Alors qu'il ne ressentait plus le cœur de sa mère, il comprit enfin ce qui venait de se produire. elle ne souffrait plus, ses douleurs s'étaient apaisées. Mais le désir du moldu ne l'étaient point. Il en voulait encore. C'est alors que ses actes se poursuivaient sous le regard apeuré de la petite fille et du jeune Edward dont les larmes lui brouillaient le spectacle déchirant qui s'offrait perversement à lui. Une véritable boucherie. Le corps de l'inconnu et de l'innocente sorcière ne formaient qu'un. Le premier se faisait plaisir jouissant du désir presque assouvit, alors que la victime inerte n'était sans réaction... Sans vie. L'inconnu laissait échapper quelques insultes savourant avec un plaisir suprême sa dominante victoire. Il venait de salir une mère. Il venait de détruire l'enfance de deux enfants... Puis, plus rien. Edward revint à la réalité même. Il venait de faire de Edward un monstre. Un homme désireux de vengeance, assoiffé de souffrance, manquant de plaisirs, avide de perversions et de sadisme. Un être sans cœur, un monstre sans scrupule...

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Edward is coming | Terminé Img-014749ne01k

Moody Girl
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Edward is a mask, this is me

17 ans
Parisienne
Sabrina
Supermassive Black Hole (L) est une très belle chanson
Le forum est super, j'adore le design, j'espère m'y plaire
Je l'ai connu grâce à SN

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Je pense avoir terminé xD

Bienvenue!
Alors deja un petit bémol: pourquoi il y a trois rp ?XD Nous n'en demandons que deux normalement... Laughing

Sinon, euhm, nous sommes en 2095...Et pour finir, petit probleme, mais toujours aussi petit xD, les études commencent a 15ans, donc si tu as 17ans, tu es en troisieme année (poudlard vient tout juste de reouvrir, donc tes années d'étude avant se sont dérulé dans une autre ecole, ou chez toi...Je n'ai pas lu toute ta fiche, donc je ne sais pas si tu parles d'hogwart avant cette année là...xD)
Sinon, ce que j'ai vu me plait assez, donc, tu n'as juste qu'a changer ces petites choses, et on verra ça plus en pronfondeur après!^^ I love you

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Il y a trois RP parce que je pensais qu'il fallait en faire deux & un troisième pour les vampires, puis j'ai pu pas m'arrêter :gla: tu veux que j'en supprime un ?
J'ai eu du mal avec les dates, je vais corriger ça Smile

Merci

EDIT : j'ai corriger

Enfait s'était deux rp, dont un avec un des themes obligatoires (vampire pour toi)
No non, ne supprime rien! XD

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J'ai encore corriger certains trucs, j'espère que ma fiche est plaisante à lire Smile

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Edward;

Slytherin

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