entretien avec un vampire | 100 %

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Le mal,
c'est quelque chose de toujours possible.

Et le bien,
c'est quelque chose éternellement difficile.

ANNE RICE

Bienvenue dans ce monde;

introduction

____

NOMS —

« Brooks. un nom qui n'a pas vraiment de significations particulières, un nom assez utilisé en grande-bretagne, mais une famille de vampire nommée ainsi, il n' y'en à qu'un seule dans le monde entier. Je ne pense pas qu'il soit important que je m'attarde sur le nom que j'ai hérité de ma mère et de mon père, un nom que je n'apprécie guère, mais que je traîne avec moi depuis de nombreuses années. Oh oui, ceux qui transmettent le pitoyable nom de Brooks sont des sous-fifres voués à l'échec de par leur naissance, destinés à cirer les pompes des grands noms par leur engeance. C'est pour ça que je vous dis que ça n'a pas d'importance. J'ai compris que si je devais devenir quelqu'un - et je le dois - ce ne serait pas en me présentant comme le fils d'une lignée de ratés, mais comme le révolutionnaires des valeurs familiales, individuels à tout passé de minable.

»

PRÉNOMS —

« Des prénoms, mes parents n'ont jamais vraiment chercher pour en trouver, pourquoi aller au plus dur, quand le plus simple est à notre portée. Mon premier prénom, Liam, celui-ci mes parents l'ont choisi une même au lieu de prend le nom dans un vieux bouquin, c'est simple, court, peu répandu, mais j'aime ce prénom, je ne sais pas pourquoi, mais ce patronyme me correspond assez bien. Mon second prénom, Alexander, un nom peu répandu dans ce monde, d'origine russe, ce prénom est simplement dû à ce même patronyme que portait son grand-père, un prénom que je n'apprécie pas beaucoup, il y'a très peu de personnes qui connaissent ce deuxième \" identifiant \". Pour finir, William, mon troisième patronyme, un nom de prince, de comte, un nom noble, sûrement à cause de ma famille appartenant à la noblesse, ce titre ne me convient guère, pourquoi, telle est la question. »

SURNOMS —

« Les surnom c'est comme tout monde ça cache une histoire, la plupart sans intérêts. Ceux de Liam reste assez commun. Le premier c'est ses parents qui lui donnaient ce surnom, celui-ci il ne vaut mieux pas le sortir lors de proliférations de menaces ou autres de ce style à moins de vouloir rejoindre les morts. Ceux qui l'appel comme cela, sans risques, sont ceux qui ont gagné la confiance de Liam. Le second, normalement on l'appel partout L. ou Lia .... Cherchez pas, les histoires des surnoms n'ont aucun intérêt. »

ÂGE —

« vingt-deux années depuis sept-cent trente-sept longues années. Cela fait longtemps que je ne crois plus à la mort, effectivement j'ai été mordu par un des médecins dont le nom m'échappe totalement qui avait essayer de me soigner de la suette anglaise, maladie à la quelle je n'aurai pas survécu si ce vampire ne m'avait pas mordu. Maintenant celui fait plus d'un demi-siècle que je revis ma vingt deuxième année, et cela n'est pas près de s'arrêter, je vous rassure. »

ANNEE D'ETUDE —

« A mon âge on peut penser que j'ai appris beaucoup de choses sur la magie, que celle ci peux prendre diverses formes, mais il n'en n'est pas pour autant que je ne finirai pas mes études à Poudlard, ayant quitté le château lors de ma sixième année, je n'ai pas pu finir mon éducation comme prévu, mais je vais rattraper ça cette année, la septième et dernière année. »

SITUATION —

« un monstre, une bête, un vampire. j'ai été mordu à mes vingt-ans, en angleterre, alors que je souffrais d'une maladie que peut de gens ressortait vivant, la suette, un médecin, enfin un éternel m'a mordu ce jour là. Au tout début, je lui en voulait à mort, pourquoi m'avoir faire subir ça, cette douleur atroce et insoutenable, mais avec le temps je comprend que son but était simplement de me sauver la vie, bien que les jours je préférerai être mort que de vivre dans ma condition actuelle. »

Dernière édition par Liam A. Brooks le Mar 6 Jan - 19:34, édité 2 fois

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Chapiter one: les morts hantent nos esprits.

L'avenir se joue souvent lorsque l'on s'y attend le moins. Il le savait, le type assit là bas ne le savait que trop bien. Le brun, aux yeux vert était assit sur les marches devant une maison grossièrement accueillante. Grossièrement oui, elle était belle, mais les décorations d'halloween décourageait les éventuels visiteurs. Les décorations étaient usées par les intempéries, par la pluie et par le vent. Halloween est bel et bien fini depuis près de sept mois, il ne le savait que trop bien. Si vous étiez venue il y a huit mois, elle aurait été belle, et décoré de la plus belle des façon par de grand massifs de fleurs. Mais les temps évoluent, & les préoccupations des gens changent. Liam, c'était son prénom, Alexander de son second prénom & enfin Brooks de son nom de famille scrutait droit devant lui, le regard vide, se leva doucement, regardant la rue, et observant un groupe de type qui le regardait de la plus bizarre des façons, il murmura un : « ce n'est que des moldus.. ». Des moldus ? Liam était un sorcier, oui. Il tolérait les moldus quand ces derniers le tolérait. Si ces moldus l'avaient dévisagé, c'étaient parce qu'ils savaient ce qui s'était passé dans cette maison. Il y a sept mois, madame Alona Delweet s'est suicidé en ce pendant dans le salon de sa maison, ici. Alona, c'était une belle femme, blonde, grande et attentionnée. Tout le monde savait ce qu'il s'était passé dans cette maison, tout le monde, tout le quartier de ces moldus. Depuis, Liam avait perdue sa mère, elle était la dernière personne de sa famille qui comptait pour lui. Il entra dans la maison et claqua la porte. Plus personne n'était là pour lui rappeler que, il ne fallait pas claquer la porte, plus personne. Il traversa le hall d'entrée à vive allure. La maison était sans doute très belle autrefois, mais là, c'était presque non entretenu, oui, c'était le mot, non entretenu. Il monta les escaliers tout en passant devant de nombreuses photographie.

La première, devant laquelle il s'arrêta c'était celle de sa mère, Alona & de Delcan, son père qui était décédé d'un cancer il y avait douze ans. C'était à leur mariage, deux sorciers tout à fait normaux qui avait tout pour eux. Un peu plus loin, la seconde photographie, montrait Alona avec un petit garçon brun dans les bras et un autre garçon blond debout à ses côtés. Le garçon debout c'était Drew, son détesté frère aîné. Dans les bras de la mère, c'était Liam, encore frêle, mais déjà sur la photographie animé on voyait Drew qui essayait d'attirer l'attention de sa mère, jaloux de l'attention qu'elle portait à son petit frère. Plus haut, une photo de Drew et Liam l'aîné était âgée de douze ans, & le plus petit de huit ans. Quatre ans de différence c'est énorme selon Liam. Soupirant & contemplant une dernière fois sa mère avec nostalgie & contemplant une dernière fois son frère avec haine, il monta dans sa chambre, celle tout au bout du couloir. Depuis la mort de sa mère, il n'était jamais entré dans sa chambre, ni lui, ni Drew n'était entrés. Personne, d'ailleurs, ni l'un ni l'autre n'était entré dans le bureau de leur mère à l'étage supérieur, un grenier transformé en un bureau tout ce qu'il y avait de mieux pour travailler pour une journaliste. Drew avait la main sur la poignée de la porte de sa chambre qu'il s'apprêtait à ouvrir en volée. Une curiosité le pris.. Ses yeux qui fixaient la poignée roulèrent et se posèrent sur la porte là bas, au fond. D'un pas décidé, il se dirigea vers elle, il resta peut être une minute à la regarder, sans rien faire.. Puis timidement, doucement, tremblant il posa sa main sur la poignée qu'il tourna alors tout doucement, tout doucement. Si Drew savait.. Il entra, montant doucement les dernières marches qui le séparait du bureau. Il observa alors, le bureau de sa mère, rangé ordonné mais plein de poussière. Avant sa mère ne laissait jamais la poussière s'installer, comme elle ne laissait jamais ses enfants toucher l'argenterie, au risque qu'ils mettent des traces de doigts dessus.

Alona était la plus maniaque des femmes. Si vous connaissiez la raison de son suicide.. Il entra, marchant doucement et faisant grincer les planches du parquet sous ses pieds. Il jouait enfant ici, avant que cette pièce ne devienne le bureau de sa mère.. Lorsqu'il fut transformer, Liam n'eut quasiment plus le droit d'y retourner.. Quasiment plus le droit du tout. C'était le domaine de sa mère & le chouchou de cette dernière, Drew avait le droit d'y entrer quand il voulait. Alors que Liam était le mauvais élément de la famille, le Rebelle au cœur dur, & intouchable, le vampire de la famille. Drew était le fils chéri, le parfait étudiant de serdaigle.. mais vous n'imaginez pas à quel point les serdaigles peuvent mal tourner avec le temps & surtout à cause de la cupidité humaine. Liam s'assit à la place de sa mère, contemplant ses travaux inachevé, ses articles pour la Washington Daily News, le journal des sorcier en Amérique. Étrangement, sa mère travaillait avec l'Amérique, elle était la reporter anglaise en quelque sorte. Des articles sur tout et n'importe quoi. Étrangement, il resta un moment, assit à ne rien faire. Sa mère lui manquait, oui tellement, sûrement et terriblement. Liam regardait cette pièce l'air absent, comme si toute cette vie n'était finalement qu'un autre temps.. cela l'était. Le temps où il s'amusait, le temps où il souriait. Le bon temps. Le temps où il était peut être moins rebelle, et surtout beaucoup moins arrogant et beaucoup moins perfide. Si il y a une personne qui la fait devenir ainsi, c'est bien Drew, son aîné, qui a décidé de cette rivalité à peine Liam était né.

Durant des années Liam avait caché tant de choses dans ce grenier, tant de secret.. Ses clopes au début.. Ici, sous une planche du plancher.. Il se souvenait où se trouvait la cachette, sous le tapis, là bas, la planche qui grince. Il se leva du fauteuil confortable et s'agenouilla par terre, soulevant le tapis poussiéreux et releva la planche qui cachait autrefois de précieuse affaires.. Épaté, ses clopes avaient disparut, au lieu de cela.. Une pile de photo, lui, son frère, lui, lui & encore lui. Sous ces photographies, une lettre soigneusement fermé dans une enveloppe. La question qui traversa l'esprit de devon, fut « qu'est ce que cette lettre fait donc là, dans sa cachette à lui ? ». Dessus il observa dans une écriture si semblable à celle de sa mère, son nom écrit dessus, tout simplement. Il la regarda longuement, interrogé, il s'assit par terre sur le tapis poussiéreux. Il réfléchit à deux fois avant de l'ouvrir, mais il l'ouvrit, tout de même en prenant soin de ne pas la déchirer, il lu alors : « Cher Liam, si tu lis cette lettre c'est que je suis morte. Hélas.. je l'ai écrite, après ta tentative de suicide.. mais.. je ne t'en veux point. C'est à moi que je l'en veux, je t'ai toujours fait passer après ton frère, il demandait plus d'affection, du moins je le croyais. Mais tu en avait tout autant besoin que lui. Si tu lis cela, c'est bien évidemment que comme je l'ai dit plus haut, je suis morte, morte. Oui, je suis incapable de te sauver, tu es si différent de lorsque tu étais enfant.. je t'aime & je t'aimerai toujours Devon. Si j'ai mis fin à mes jours, c'est pour une simple raison, je n'ai pas réussi à laver ton t-shirt couvert de sang ni à récupérer entièrement la baignoire. Je suis maniaque, je le sais bien mais.. c'est insupportable.. je ne supporte pas le sang mes mains étaient recouvertes de ton sang.. j'ai l'impression qu'en te mettant à l'écart c'est moi, ta propre mère qui t'ai tué doucement depuis quinze ans. Adieu Liam » sa mère était une folle, il en était sûre. Il savait qu'elle était maniaque au point que cela en devienne une maladie..

Il le savait, le jour où il a essayer de se suicider dans la salle de bain.. sa mère l'avait sauver et son frère lui même l'avait aidé. Il en se doutait pas un seul instant que sa mère puisse s'en vouloir de ne pas parvenir à récupéré ses vêtements ensanglanté. Liam froissa la lettre dans ses mains, et manqua de la déchirer. Sa mère était morte par sa faute, parce que lui avait décidé de mettre fin à ses jours, du moins de tenter d'y mettre fin.. peut être pour que sa mère sache enfin qu'il existait, mais elle, elle en a fini avec sa propre vie.. Quelle triste ironie du sort. Il froissa la lettre et la jeta dans la cachette sous le plancher qu'il s'empressa de refermer. Il remis le tapis en place, et descendit à vive allure du grenier bureau. Il avait une mine dépité, quoi que.. légèrement plus que d'habitude. Il était très renfermé et distant avec tout le monde, pour lui l'affection n'existait pas. Tout simplement pas, car enfant, il n'en avait pas eut. Il était peut être le pire type quoi que, le pire type antipathique que vous auriez pu rencontrer, ou le pire imbécile aussi. L'un dans l'autre, Liam n'était qu'un paradoxe paradoxale. Tantôt, il était presque serviable && gentil, mais il devient aussi rapidement un type imbuvable et renfermé. Il entra dans sa chambre, et claqua la porte, avec violence. Poudlard lui manquait, l'année précédente ne s'était même pas achevé en entier.. Sa vie prenait une tournure si étrange ou la solitude était en définitive sa seule alliée, et à la fois sa pire ennemie. Il se regarda un instant dans le miroir face à lui. Ses yeux verts étaient devenues sombre et ses cheveux l'était toujours, toujours sombre. Il poussa un soupire, un profond soupire. Un soupire de soulagement.. dans quelques temps, il retournerait à Poudlard, enfin.

Qu'importe, il était chez lui là bas alors qu'ici.. il était sous le joug de son frère aîné qui dès la mort de sa mère était devenu son tuteur légale. Autant dire qu'il était sou le joug de son pire ennemis. Une voix résonna dans le couloir : « Liam', BORDEL qu'est ce que t'es allé foutre là haut ? ». Drew son cher et tendre frère détesté. Liam s'allongea sur son lit, sur le dos, fixant le plafond. Il avait que faire des dires de son frère, il se foutait de son frère. Tout le temps, et depuis pas mal de temps. Enfant, il avait en vain essayer de s'approcher de lui, il avait essayer de le voir comme son grand frère, il avait essayé de le respecter.. mais, ce n'est pas évident quand votre aîné vous vous une haine sans précédant.. l'attitude de son frère étaient bien plus agressive depuis quelques temps.. il ne lui avait pas dit mais.. Liam savait qu'il était passé dans un camp pour le moins obscure.. Liam avait remarqué sur son bras une morsure, que Drew s'était empressé de cacher à son frère. Liam le détestait peut être, mais.. il avait le sens de la famille et ne le dénoncerai pas au ministère comme certaines personnes aurait pu le croire. Liam avait foi en la bonté de son frère, il savait qu'il y avait du bon en lui, et surtout qu'un jour, il le montrerait. Son frère entra en trombe dans sa chambre.. Liam le regarda impassible & dit avec désinvolture : « C'est chez moi, j'ai le droit d'aller où je veux non ? »

Son frère ne releva pas.. Il savait que les discussions de ce genre finissaient en bagarre générale avec les pires insultes que l'on puisse entendre. Drew jeta à son frère une lettre. Devon le regard l'air niais et regard la lettre. Une lettre de leur oncle. Comme il se souvenait la fois où il avait reçu sa lettre d'admission, il était fière de lui, & sa mère elle, s'occupait de son frère qui avait reçu son admission en quatrième année. Il ouvrit, pendant que son frère s'éloignait dans le couloir.. La rentrée aurait lieu en septembre, en voilà une bonne nouvelle. Liam esquissa un rare sourire, et soupira de soulagement, un jour, il quitterai cette baraque et y laisserai tout ses mauvais souvenirs, du moins, il croyait.. car vous savez, on n'oublie jamais les bons souvenir, non, on oubli jamais d'où l'on vient et ce que nous avons vécu dans notre jeunesse. Il se releva & hurla dans la maison : « Tinnn.. Drew, Bordel, on sort ce soir...j'ai envie de bouger » Ils avaient beau se détester, ils n'en restaient pas moins frères. Liam aimait son frère, c'était une certitude.. mais de là à l'avouer c'est une chose.. qui n'aura jamais lieu tant que les poules n'aurons pas de dents, c'est une certitude..

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Chapiter two: les proverbes mentent, le malheur n'arrive pas qu'aux autres.

Je me rappelle de ce moment précis, sûrement un moment que je n'oublierai jamais, cela c'est passé il y'a longtemps, mais on n'oublie pas ses choses là d'un coup de baguette magique. C'était il y'a très longtemps, l'angleterre n'était pas du tout comme elle est aujourd'hui. Dans le pays la guerre avait éclatée, le roi des angles, et non des anglais avait déclaré l'état d'urgence dans toute les contrées du pays, oui, car la guerre n'était la pas le plus préoccupant, une épidémie avait envahie le monde, plus précisément la suette anglaise, une maladie terrible, qui provoquait à elle seule, vertiges, des frissons d'une extrême violence, des maux de têtes atroces, suivit de douleurs à la nuque et aux épaules, puis des transpirations, des délires, puis en dernier symptôme, la mort, la maladie ne touchait presque que les sujets masculins, un maladie extrêmement violente dont on ne ressortait pas vivant la plus part du temps. Ces années là, Liam n'était qu'un chevalier de sa majesté le roi, celui ci fût envoyer en guerre pour repousser l'envahisseur le plus vite possible. Le jeune homme était encore très jeune, vingt deux ans, un chevalier inexpérimenté, mais surtout un des seuls valets du roi qui n'avait pas attrapé la suette, il s'avouait chanceux, peut de gens de la cour n'avait pas contracté cette maladie. Le jeune homme fût envoyer en Ecosse repousser les envahisseurs venant du nord, ce matin là il s'était levé très tôt, à l'aurore, sa chambre offerte par le roi, était recouverte de tapisserie diverses et d'un grande bibliothèque rempli de livres sur toutes sortes de choses des créatures mythiques, à des bouquins se comment se tenir en présence d'un personne importante, ces livres il ne les avait pas volés mais ce fût des cadeaux de la reine, celle-ci est morte dans les premiers jours de la vague de l'épidémie. Il se leva et enfila en un instant ses affaires, les affaires de l'époque, il portait de longues bottes montantes en en cuir noir, ainsi qu'un pantalon serré en toile de l'époque, suivit d'une longue chemise blanche en toile, beaucoup trop larges au niveau des poignets avec un plastron de cuir un peu plus clair que ces bottes. Il enfila son épée autour de sa taille, et sortit de sa chambre.

Derrière la porte de sa chambre en bois pourri on pouvait voir une grande cour rectangulaire, au milieu un petit jardin luxuriant, des plantes à tout va, une fontaine gigantesque au milieu, à l'étage les chambres des membres de la cour, dont celle de Liam, elle se trouvait proche de celle du roi, mais celui-ci ne devait pas être là aujourd'hui, ou à la salle du trône comme à sa habitude, Liam marchait dans le couloir adjacent à la cour. Liam déambulait dans les couloirs, quand il arriva devant la chambre du roi, mais aussi l'ex chambre de la reine, le jeune homme aimait beaucoup discuter avec cette dernière, c'était une personne pour qui il avait de la sympathie, mais ce n'est pas sans parler de la nouvelle reine, celle-ci Liam ne pouvait pas la blairer, une vrai sorcière essayant de provoquer la mort du roi, ce que le preux chevalier de sa majesté ne laisserai pas commettre un acte pareil. Il arriva devant un grand escalier et il s'engagea dedans, l'endroit était assez sombre, éclairé par deux au trois torches presque éteintes, on n'y'voyait presque rien. Liam continua sa marche dans les nombreuses marches, en évitant deux ou trois chutes il arriva enfin devant un porte qu'il ouvrit, au même moment de la lumière sortait de cette endroit, il passa à travers la porte , derrière il y'avait un long couloir, au un peu plus loin une grande salle avec deux gardes devant, il avant vers cette entrée, les gardes adressent un petit signe de tête à Liam que le jeune homme rendit presque instantanément, les deux types ouvrirent la porte, dans la salle une grande assemblée rempli de nobles habillé sur leur " trente et un ", la salle n'était pas complètement rempli vu que certaines bourgeois étaient partis de peur s'attraper l'épidémie, ou d'autre sont simplement morts de la maladie. Il s'avança parmi la foule jusqu'à à être devant deux trônes magnifique, ou un homme et une femme y siégeaient, le roi et la reine vous l'aurai compris.

LIAM - « Sir, je viens vous dire que je m'en vais repousser les envahisseurs. »

ROI - « Mon fidèle chevalier, que votre mission soit fructueuse, revenez avez la tête du chef barbare sur votre cheval. »

LIAM - « Bien, sir. »

Sur ces paroles Liam se releva et fit une dernière révérence au roi & à son épouse avant de partir vers les écuries au sont cheval l'attendait de pied ferme pour partir au combat, il repartit cette fois par l'entrée principale d'un pas vif, des dames de la cour se promenait pas les couloirs, elles observait Liam en le regardant sous toute les coutures, c'est vrai que le jeune était plus tôt d'un caractère séducteur, il aimait les femmes, mais le temps passe tout comme le caractère change. Il avança vers la grande cour principale de la forteresse, dans un coin reculé de cet endroit un petit enclos, une petite maisonnette qui accueillait les montures des chevaliers, seigneurs et membres de la cour. Le jeune homme, toujours d'un pas aussi vif se dirigeait vers l'écurie, dedans on entendait les cheveux, certains paisiblement en train de manger du foin, d'autre un peu plus énervé, comme celui de Liam, son cheval était un étalon noir, un réactif, n'obéissant qu' à son maitre, la monture dans son enclos était assez en colère, deux hommes essayèrent de la sortir, mais en vain, mais quand le jeune chevalier s'approcha le cheval se calma immédiatement et se dirigea vers son écuyer, Liam passa sa main sur la peau de l'animal d'une main douce, Liam est quelqu'un d'assez attentionné avec les gens qu'il aime. Il tenait solidement l'animal et le sortit dehors, dans la l'immense rond, des hommes s'étaient déjà mit à cheval, une dizaine d'homme de l'armée anglaise armé jusqu'au dents, Liam monta à cheval, il n'est pas quelqu'un de maladroit, il arriva en un seul morceau sur son fidèle destrier, puis il se mit devant la troupe, il commença à galoper en passant par la grande porte, ses hommes le suivirent comme de bons soldats obéissant à leur supérieur.

Il s'éloignait du château à grand pas, il paraissait de plus en plus petit de la vue de Liam, le temps ce jour-là n'était pas vraiment au rendez-vous, un ciel grisâtre avec quelques coups de tonnerre par ci par, puis pour finir le tout quelques gouttes d'eau commencèrent à tomber des nuages. Liam ne souvenait pas vraiment des alentours, il faut dire qu'il est rester pendant très longtemps enfermé dans sa bibliothèque à étudier des livres sur les créatures mythologiques, Liam est un garçon passionné, il s'intéresse à tout. D'un geste de la main il ordonna à deux premiers hommes derrière lui de passer devant pour qu'il lui indique la route, les deux gars obéir sans faire d'histoire. Le chemin était de plus en plus boueux, il n'y'avait pas de route pavée ici, simplement des pauvres paysans qui faisait les miséreux pour que les gens de la cour donne un peu de leurs fortunes pour aider ses paysans qui ont envie de sortir de leur misère. Mais Liam n'est pas de ce type de personne, il sait très bien qu'il y'a des paysans qui vivent mieux que des bourgeois de la cour, Liam y connait quelques chose. Le chevalier continuait sa paisible route jusqu'à l'endroit ou il pourrait enfin se reposer avant de reprendre sa route vers le terrain de bataille. Il arriva sur un chemin un peu désert, sur le bord de la route il y'avait un femme...enfin ce qui semblait être une femme elle avait l'air à moitié morte, il descendit rapidement de son cheval pour venir en aide à cette femme qui allait sûrement mourir, il s'approcha d'elle, avec prudence, il la souleva, sur son visage, elle était à moitié défigure, elle saignait de tout les orifices possible sur le visage, elle pleurait, un hématome s'était formé sur son œil droit, et divers marques de blessures étaient présente sur son visage. Liam la regarda et eut soudain de la la pitié pour elle. « Qui vous à fait ça ?! »

PAYSANNE - « Les barbares...ils sont là...ils ont rasé le village et tuer tout le monde. »

LIAM - « Les barbares ?! ou sont-il partis ? »

Mais cette question resterai sans réponse encore très longtemps, la femme dans un dernier geste posa sa main tremblante sur le visage de Liam blanc comme un linge, puis un dernier soupir, et cette gitane était morte, le jeune homme se releva en posant le corps inerte sur la route boueuse, il sentait monter en lui une certaine violence et une certaine impuissance, tout ce qu'il pouvait faire pour le moment c'est se rendre au village ou il était sensé passer la nuit, mais ce n'était sûrement plus qu'un tas de ruines d'après les dires de la femme. Remontant à cheval, il reprenait son long chemin, le ciel cette fois était vraiment couvert, et de la pluie tombait à flots. Liam était trempé, il avait froid, après avoir galoper un bonne vingtaine de minutes environ, il arriva enfin à l'entrée du village, enfin de ce qu'il en restait, des maisons en feu, des cadavres de personnes étalés sur le sol, un village réduit en cendres, un morceau de forêt en train de brûler, Liam descendit de cheval pour aller visiter le reste du boui-boui, cette vision réelle lui apportait une vision de dégoût profond, comme était-il possible de faire ça ? le jeune homme ordonna à ses hommes de puiser de l'eau dans le puits de la place principale avec des seaux pour aller éteindre les diverses incendies qui s'était déclaré un peu par tout. Dans un geste bénéfique, Liam saisit un seau et alla le remplir d'eau pour aller le vider sur le début d'incendie de la forêt, il n'allait pas rester là à se tourner les pouces à rien faire.

Remplissant son seau d'eau froide, il alla en courant vers les flammes en lançant son eau d'une force inouïe, au bout de quelques sueurs, et de quelques tours avec les seaux remplis à rebord, le feu s'éteignit, une épaisse fumée noire se dégageait des décombres de bois carbonisés. Il avait cru qu'il en aurait fini avec tout ça, mais ce n'était pas vraiment fini, un peu plus loin, des cris de combats, il retourna en courant vers les ruines quand il dégaina son épée automatiquement, il remarqua que ses hommes avait été attaquer par des barbares, il n'était pas tous partis, puisque qu'apparament ils s'attendaient à avoir de la visite, c'était une embuscade, Liam fonçait à toute vitesse sur l'ennemi, certes ils étaient beaucoup plus nombreux, mais la quantité ne fait pas tout. Au bout de quelques minutes, quelques flaques de sang et trois morts dans les deux camps, la mimi-bataille était terminée, mais prit de court, Liam reçu un violent coup d'épée au bras, un douleur atroce, il se retrouva en plein forêt, sans son cheval, blessé, avec un bandage de fortune fait avec un morceau de sa chemise, cette endroit n'était pas des plus accueillant, en plus Liam se sentait surveillé, à peine eu le temps de se retourner, un inconnu lui faisait façe un peu plus loin, il ne connaissait pas son identité, mais il n'allait pas tarder à le savoir.

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Chapiter two suite: des cicatrices qui ne partirons jamais.

Il avançait avec un pas certain, Liam pouvait être tout à la fois, mais ce qui était une certitude c'est qu'il ne connaissait pas la peur, enfin dans certaines circonstances, comme celle-ci. Il était à peu près à distance convenable pour être entendu. L'inconnu lui était là, dans l'ombre, il ne bougeait pas, Liam se mit en face lui, mais au moment ou il allait poser sa question, des hommes à lui vinrent le retrouver et ce mettre à côté du beau brun, il se retourna, pour demander son identité au mystérieux homme, mais au moment d'ouvrir la bouche, celui-ci était déjà parti dans un coin sombre de la forêt.

Allant en courant vers l'endroit au l'homme au visage non identifié, regarda à droite et à gauche, mais aucune traces de lui, il s'était comme évaporé en une fraction de seconde, et Liam en était conscient, aucun humain ne pouvait faire ça, ni le plus fort et plus rapide des humains du monde, mais alors qu'es-ce que c'était, aucune idée, mais Liam avait une soif qui ne pouvait disparaître, il voulait absolument savoir ce qu'était l'inconnu, mais pas le temps pour ça, il retournait en direction du village suivit de ses hommes. Dix minutes plus tard, il était remonté à cheval, et reprit sa route en direction du haut de l'angleterre, une bataille l'attendait toujours, puis qu'une journée de cheval, et il serait arrivé. Il n'avait aucunement envie de se battre, mais ce n'est pas pour autant qu'il désapprouvait la violence en cas de besoin, et des envahisseurs menaçait son pays natal, et ce qui est sur ce qu'il ne laisserais pas c'est individus mettre le pied sur ses terres, enfin celle du roi. Désormais, lui est sa troupe passait dans tout les villages ravagés par les barbares, mais cette fois Liam ne s'arrêta pas, il continuait sa route comme si de rien était, comme si rien ne s'était passé, il était obligé de faire ça, au cas ou de tomber dans une autre embuscade, mais ca ne lui plaisait pas plus que ça de voir tout c'est corps gisant au sol. Après plus d'une journée non stop à cheval, Liam arrivait enfin au champ de bataille, de la falaise, du haut de son cheval, on pouvait voir un vaste champ de bataille vierge, un entendu infinie d'herbe verte qui se laisser porter suivant les humeurs du vent, on entendait le bruit de la mer un peu plus loin, mais ce paysage serait bientôt souillé par des armes, de homme et du sang, tout ce qui peut gâcher un magnifique endroit comme celui ci.

Il descendait de la falaise, et la il arrivait enfin au chose sérieuses, des centaines d'hommes, des milliers de fiers combattant étaient là, en train d'affuter leurs armes, de mettre leurs armures, tout pour faire la guerre. Liam était sur son cheval, il parcourait la grand allée en faisant quelques signes de tête à quelques soldats avec qui il avait combattu dans d'autres batailles, il arrivait à sa grande tente, hissé en haut, un drapeau de l'angleterre, il flottait dans l'air comme un oiseau magnifique planant dans les nuages, il descendit de cheval, se frotta le cou, oui, sa blessure commençait à le faire de plus en plus souffrir, puis il avait quelques vertiges de temps à autres, mais Liam pensait que c'était toute ces heures de à dos de cheval, cela peux fatiguer l'esprit et le corps. Il entra dans la tente, dedans, quelques généraux prêts à lui obéir au moindre ordre, sur une grande table bancale on pouvait voir l'endroit de la bataille en miniature avec les armées de Liam et celle du chef barbare, la bataille promettait d'être courte mais particulièrement destructrice. Après des heures passées dans cette tente, Liam en sorti, équipé avec son armure de la tête au pied, Liam remontait encore une fois sur son cheval frottant toujours son cou, sa blessure l'inquiétait, mais il y'avait d'autre chose de plus préoccupants, les barbares avaient avancé sur le front et l'armé de jeune chevalier était déjà en place, il monta à cheval avec ses généraux, revenant à la bataille, lui avait reçu ordre de ne pas se battre mais de donner les ordres depuis la falaise. De là-haut il pouvait voir que la bataille était déjà bien engagée, des archers tiraient des flèches sur les ennemis, le corps à corps était déjà commencé, Liam aurait rêvé pouvoir allez les aidés, mais il n'en n'avait pas le droit.

Liam ne savait pas si c'était son armure, mais il commencer à avoir de plus en plus chaud dans son armure et il transpirait à grosses gouttes et sa blessure de brûlait de plus en plus, mais il resta concentré sur le combat en cours.

Des deux côtés des pertes énormes étaient à déclarées, les hommes tombaient comme des feuilles mortes d'un arbre, des dominos qu'on poussent, la bataille n'était pas gagnée. Liam se sentait de plus en plus mal, il avait des frissons d'une intensité assez rare avec des douleurs à la nuque et au épaule, sa vision était troublée, il ne distinguait à peine ses hommes, quand soudain, dénué de force, il tomba de son cheval à terre, ne pouvant pas se relever, il restait à terre, comme un mort, il tremblait, il était presque sûr de savoir ce qu'il avait attrapé, la suette anglaise, sa blessure c'était infectée, et il avait sûrement mourir dans les jours qui viennent, ou dans les heures au pire. Ses généraux étaient descendu de leurs montures et c'était précipité près de Liam, il faisait des espèces de convulsions de l'époque. Il ne pouvait rester sur le champ de bataille, il fût transporter d'urgence dans une vieille forteresse un peu éloigné du champ, dedans ce trouvait une famille de médecins, il avait été amener pendant la nuit, l'orage grondait dehors, Liam se trouvait sur un lit, dans un chambre tout seul, à côté de lui, certains de ses hommes l'avait rejoins, la pièce était faiblement éclairée, Liam essaya de se redresser, mais il retomba sur le lit pour ne s'interrogeait à qu'une seule chose.

LIAM - « Ou suis-je ? Et la bataille...Qui l'à gagnée ? »

SOLDAT - « Vous êtes au château de la famille Appleheath. Et la bataille...on l'a gagnée. »

LIAM - « Sa me rassure, mon fidèle soldat. »

Il était heureux d'avoir gagné la bataille, bien qu'il n'était pas présent, mais il était content des bonnes nouvelles qu'on était en train d'apporter au roi. Bien que Liam aurait préférait les amener lui même, mais il n'était pas en état. Cette endroit n'était guère rassurant, il avait entendu diverses histoires sur cette famille, toutes plus farfelus les unes que les autres. Au même moment, un homme avec un teint pâle comme un pierre entra dans la pièce, il demanda au soldats de Liam de partir, l'homme, enfin sa silhouette lui disais quelques chose, mais il ne s'en rendit pas compte sur le moment. Le médecin de cette famille venait de s'assoir à côté de Liam, celui-ci n'avait pas de regard au visage, il n'était pas expressif. Il regarda Liam pendant dix bonnes minutes avant de prendre la parole, pendant plus d'une heure il lui expliqua que le beau brun mourant, allait effectivement mourir, il lui expliqua un tas de chose, Liam en avait marre, il s'en foutait, tout ce qu'on voulait c'est qu'on essaye au moins de le soigner, il posa sa tête en arrière, laissant apparaître son cou, mais en une fraction de seconde il reconnu cette homme celui qu'il avait vu dans la forêt, mais il n'eut pas le temps de s'en rendre compte que l'homme planta ses canines dans le cou de Liam, une douleur atroce envahie le jeune homme, il ne pouvait pas se retenir de crier, la douleur est tellement intense que Liam avait l'impression qu'on lui plantait des pieux dans le cœur, il n'avait jamais ressenti une douleur pareille, le vampire continuer de le mordre, il avait compris, il allait se faire transformer lui aussi en vampire, mais il n'avait pas la capacité de penser, il avait beaucoup trop mal, il avait lui pleins de choses sur les vampires, mais on ne lui avait jamais dit que ce faire mordre par un éternel fût si douloureux.

Le vampire lui fit boire quelques gouttes de son sang, la douleur dura pendant des jours, ce fût les pires jours de sa vie, c'était un horreur, il n'avait jamais ressenti ça, il aurait préférait mourir que d'endurer sa encore une fois. Pourquoi lui ? Pourquoi avait était-il mordu ? Il n'avait rien fait de spécial, mais une fois la transformation finie, il avait une soif de sang extrême et envie de violence comme il ne l'avait jamais ressenti. Le vampire qu'il l'avait mordu l'avait jeté dehors après sa transformation et Liam se cacha de très nombreuses années.

The end: une chance de vivre comme tout les autres.

Une guerre opposa les vampires au sorciers, cette guerre dura de nombreuses années, il y'a eut des morts dans les deux camps, Liam a participer à cette guerre, il a perdu de nombreux amis, mais à tuer de beaucoup de sorciers, maintenant il regrette ses actes, à moitié, il s'est vengé de celui qui avait tué son meilleur ami, et ce meurtre il ne le regrettera jamais. Après cette guerre, un traitement fût mit au point, le traitement Edyard, au début Liam n'en n'a jamais voulu, il voulait rester comme il était, mais au bout d'un moment il a fini par accepter, un peu contre son gré, mais il s'est dit que si un jour on lui proposerai de vivre une vie à peu près normale, il saisirait cette chance.

Invité Invité

dix-huit

vous de me jugez

Supermassive; Black; Hole

Matt Dallas

Liam

Gryffindor

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