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Sloan Chesterfield

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Sloan Chesterfield Vide
MessageSujet: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptySam 7 Mar - 15:52

Sloan Chesterfield



Sloan Chesterfield Igreedad03xk3
    17 ans, 230 ans en rélité
    3ième année.
    Sabrina
    J'ai découvert sur AE
    Spirit's Return
    J'ai 17 ans




Dernière édition par Sloan Chesterfield le Dim 8 Mar - 20:16, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptyDim 8 Mar - 17:04

L’air était chargé d’électricité. N’importe qui présent dans cette pièce pouvait le sentir, j’étais la première à en sentir cette grisante sensation d’un cerveau en ébullition. Cela faisait quelques heures à peine que Lord Henry était présent, et déjà il me mettait au supplice et quel délicieux supplice. Nous discutions de l’art encore une fois, une des seules choses qui parvienne à m’intéressé. J’ai parfois la sensation d’être un monstre dénué de sentiment. Rien ne parvient à me soutirer une douleur ni une joie. Ni la caresse du jeune Edward, ma homme et beau fiancé qui pourtant a tout d’un homme parfait, discret, beau et intelligent, ni les tourments que subit mon ami Basil, ne parviennent à me toucher. Leurs efforts assidus restent vain. Seul Lord Henry parvient à me tirer de cette torpeur qui me saisit à force de m’ennuyer continuellement quelque soit la personne à mes côtés. C’est sans doute pour cela qu’il était présent en cet après midi ensoleillé dans l’immense demeure familiale des Chesterfield.

« L’importance de ces choses ne vous touche pas mon bon ami, et c’est pour cela que je vous envie tellement. »

Revenant du fond du jardin où je m’étais pris d’un fol désir de sentir le doux parfum des camélias en fleur, je me sentais animé d’un sentiment de légèreté que je savais superficiel. Les paroles de Lord Henry me touchait plus que je ne l’aurais voulu. D’ordinaire, je me contente d’écouter d’une manière courtoise les discours qu’on me tient car ils m’ennuient profondément, mais pour une raison obscure, Lord Henry perçait facilement ma carapace, et faisait tomber mes défenses comme un château de carte.

« Eh ! fis d’un ton enjoué, qu’importe aux hommes tels que nous ? »

Lord Henry posa sa tasse et releva son visage marqué par les années qui conservait pourtant toutes ses lettres de noblesses. J’adorais ce visage amical et chaleureux. Il était pour moi un ami et un parent. Le père que j’aurais aimé avoir. J’avais eu la chance, du moins je l’avais sentit comme cela durant toutes ces années, mais sans doute m’étais-je trompé, d’avoir un père absent. Cet homme d’apparence élégante et raffiné n’était finalement pas plus intelligent que le paysans qui labourait nos terres. Mon père avait estimé que m’offrir la meilleure éducation qui soit suffirait à acheter ma volonté, et à me pousser à lui obéir en tout point. Hélas, je n’en avais fait rien. Je lui laissais volontiers les finances et l’art difficile de commander des employés pour me concentrer sur des sujets autrement plus intéressant à mes yeux tel que l’art.

« Il importe beaucoup pour vous, mademoiselle Chesterfield. »

Je m’exclamais presque joyeux, rempli de la grâce de l’innocence d’une jeune femme vivant dans un monde doré où rien ne lui était impossible et où tout était si facile. J’avais une armée de domestique que je méprisais, une bibliothèque qui rendrait malade de jalousie tout érudit qui se respecte, et le moindre de mes désirs était appliqué à la lettre. Je n’avais à me soucier de rien, et sans doute, cela était l’origine de mon trouble quotidien.

« Pourquoi ? » fis-je.

« Parce que vous possédez la plus merveilleuse jeunesse, et que la jeunesse est le seul bien digne d’envie. »

Lord Henry s’appliqua dans un discours comme il aimait tant. Les barrières polies de la société, il s’en moquait, jouant avec comme un joueur manipulant les pions d’un échiquier. La jeunesse était selon lui bien plus importante et convoité que je ne pouvais le songer. L’âge venait, invisible mal vous dévorant de l’intérieur et lorsque vous vous aperceviez de son œuvre il était trop tard. La jeunesse, et la beauté, soulignait-il en contemplant mes traits absolument parfait et divin, faisait de moi un être auquel rien ne pouvait se refuser. La beauté est une forme de génie, continuait-il, allant au bout de sa pensée. Elle fait de quiconque la possède un prince. Lord Henry m’adressait ce fin discours que dans un but. L’or de ces jours célestes qui étaient ma jeunesse ne devait point être gâché. Et de la vie qui me prendra tout, je devais me venger, en prenant tout ce qu’elle m’offrait en ces instants bénis.

« Soyez sans cesse à l'affût de sensations nouvelles. Ne reculez devant rien!... Un nouvel hédonisme ; voilà ce qu'attend notre siècle. Pourquoi n'en seriez-vous pas la visible Symbole ? » fit-il achevant ainsi son discourt.

Ces paroles me touchèrent infiniment plus que je ne le songeais. Et ainsi sans doute commençais-je ma course contre le temps, à rechercher en tout instant, en toute circonstance mon bon et unique plaisir, me moquant bien de celui des autres comme de la société.


Dernière édition par Sloan Chesterfield le Dim 8 Mar - 20:08, édité 1 fois
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Sloan Chesterfield Vide
MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptyDim 8 Mar - 20:08


C’était dans un bar, la lumière était tamisée. Je m’en souviens parfaitement parce que c’était mon bar préféré. Bien que mes souvenirs soient parfois flou vis-à-vis de ma vie humaine, il ne m’est pas difficile de me souvenir de ce que j’ai pu ressentir lorsque mes yeux se sont posés sur cet être divin. Il se détachait de tous ces clients fixant leur verre d’un œil morve. Il était un prince au milieu de lépreux et encore je crois que mes mots ne sont pas suffisants pour exprimer la beauté qui s’échappait de lui. Humaine j’étais faible, influençable, un rien aurait pu me détruire ou me grandir, mais quand c’était le domaine de la drague, humaine comme vampire, j’ai toujours été la plus forte. Je l’ai séduis comme je séduisais tous les autres, je ne pense pas m’être posé de question. Il était charmant, j’avais envie de lui. Il me le fallait. Voilà ce que je songeais, pauvre idiote de mortel. Évidement je lui ai proposé un verre, et de nombreux ont suivit. Nous discutions, tandis que mon pied caressait sa jambes, et je ne sais plus à quel moment exact de la discussion il a commencé à piqué du nez, mais je sais qu’il s’est effondré, ivre mort contre moi. J’aurais trouvé cela charmant si en le ramenant chez moi je ne m’étais pas aperçut que cet idiot s’était endormit. Je le déposais sur le canapé du salon et allait m’endormir à l’étage. Je me sentais plutôt bien, et je fis un rêve étrange.

Au réveil, je réalisais que ma gorge était endoloris. Me dirigeant vers la glace de ma salle de bain, je vis deux petites cicatrices encore fraîches dans ma nuque. Quelle ne fut pas ma colère lorsque je réalisais ce qui s’était passé. Je n’étais pas une idiote, et à mon époque, les histoires de vampires faisait les gros titres des journaux. Bien sûr, j’avais toujours pensé que ce n’était que de vieilles superstition, mais face à mes blessures, et au fait que le retrouvait endormi sous mon lit ce petit salopard je fis mes déductions. C’était un vampire. Ma peau était plus pâle qu’hier et je manquais de vigueur. Visiblement il m’avait volé mon sang. Si mon teint était pâle, ce n’était rien en comparaison de lui. Il avait un teint cadavérique, mais il était immensément beau, beau et immortel. Je passais ma journée à tracer des croquis de cette magnifique beauté, à prendre des photos après avoir pris soin de fermer les rideaux, avec mon appareil, aujourd’hui une antiquité. Lorsqu’il s’éveilla enfin, à la nuit tombée, j’avais eut tout le temps de bien réfléchir à ce que j’allais lui dire.

Aussi étonnant que cela paraisse, j’ai exigé qu’il fasse de moi un vampire. N’importe qui aurait flanqué ce vampire dehors, et encore, aurait appelé de l’aide pour cela. Mais moi non, d’une part je n’avais jamais eut peur de quoi que ce soit, et surtout pas de la mort. Seulement vieillir m’ennuyait. Lord Henry m’avait bien clairement montré que seulement ma jeunesse et ma beauté me rendait attirante, et me permettait de m’adonner aux activités que j’adorais en l’occurrence séduire les beaux jeunes homme ses sans les épouser par la suite. Je fis ce qu’il y avait à faire pour qu’il accepte. Il avait une dette après tout, en osant se nourrir de moi de la sorte, sans même me demander auparavant. Le vampire ayant bu à mon auguste gorge me promis l’Etreinte et pour cela me demanda de le suivre. Nous arrivâmes dans un antique château, qui malgré son apparence extérieure, était luxueusement décoré à l’intérieur, absolument ravissant. Je pénétrais les lieux ravis. Mon associé en affaire m’amena à son maître. Un vampire lui aussi. Magnifique, avec une longue chevelure noire, encadrant son visage auguste, blanc, et d’une beauté à en crevé mon pauvre cœur. Magnus se leva et s’avança vers moi . Il m’interrogea sur ma volonté, sur les circonstances de notre rencontre, et rit beaucoup en m’entendant parler. Il accepta de me transformer à condition que je rejoigne son clan et que je lui obéisse une fois transformé, et bien sûr que je fasse son portrait. Il avait des goûts de luxe, et un orgueil puissant, je le su dans l’instant. Mais j’acceptais, évidement.

Il s’approcha de moi. Sa robe de velour rouge ondoyait derrière lui. Il posa ses mains sur mes épaules, son regard s’accrocha au mien quelques instants puis il plongea son visage dans ma nuque. Une douleur perçante franchis aussitôt mes veines pour s’activé en moi. C’était comme s’il me transperçait de par en par avec des aiguilles de feu et de glace. Une brûlure se rependit en moi. S’en était douloureux à en mourir. J’hurlais, du moins, je le crois car je ne m’en souviens plus, et puis la douleur était trop insupportable pour que je saches encore ce que je faisais. Magnus buvait mon sang. Étonnant que je n’use rien ressentit lorsque cet idiot avait bu le mien, la veille, pourtant j’avais passé une bonne nuit, et même fait de beaux rêves. A l’époque j’ignorais comment le processus se passait. Le vampire ôta ses lèvres de ma nuque dès que je me fus effondré, les forces me manquant. Il s’approcha de mon visage, caressant ma joue du bout de ses doigts. J’ignorais qu’un vampire pouvait ainsi aimer, toucher sa victime comme s’il l’aimait tendrement, véritablement. Je frissonnais, mais à cause du froid intense que je ressentais, alors que la sensation de brûlure ne me quittait plus. Il entailla son poignet et me fit boire. Aussitôt je fermais les yeux, approchait mon visage, accrochant son poignet à mes lèvres et suçait. Un flot d’images me vinrent alors. Je le vis humain, flou, puis vampire, ses souvenirs, ses amis, ses défaites, ses succès, et puis ce fut tout. La douleur devenait absolument insupportable, et peu à peu mon corps fut secoué de tremblement et de frisson. J’étais brûlante, j’en étais certaine et pourtant j’avais froid, froid, si froid. La douleur finit par s’estompée. Je su en me relevant que mes muscles s’étaient relâchés durant ma mort de mortel car j’avais un besoin urgent d’une douche.

Magnus claqua des doigts et une magnifique femme s’approcha de moi. Elle se pencha vers moi, dans sa magnifique robe rouge décotée, la vue me ravisa, et tendit sa main blanche vers moi. Je la saisis. La femme était la compagne de Magnus. Elle avait été créer après August, le vampire qui m’avait séduit au bar et que j’avais ramené chez moi. C’était une créature douce, je le sentais, mais capable du pire pour plaire à celui qu’elle aimait, pour lui elle ferait n’importe quoi, elle l’aimait plus que tout. Je tremblais à l’idée qu’un jour nous soyons opposés. Elle m’évoqua sa transformation, essayant de m’apaiser mais je n’en avais nul besoin car j’étais parfaitement heureuse ce qui ne manquait pas de la surprendre. Pour elle, la transformation avait été douloureuse, elle ne l’avait pas désirée, et en voulait encore à son sire, mais elle l’aimait trop pour lui en vouloir réellement. Je souris en songeant à cet amour. Moi, monstre abominable, cela ne risquait pas de m’arriver.
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MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptyDim 8 Mar - 20:16

J’étais une fille taciturne, je n’aimais me mêler à mes camarades de classe, ni m’amuser à courir après les garçons dans la cour de récréation. Quelle absurdité ! J’avais mieux à faire. J’avais hérité de l’esprit fermé de mon père. Pour mon plus grand plaisir, j’avais également hérité du caractère passionné de ma mère. J’aimais les livres, les vieux poèmes qui m’effrayaient en secret. J’emportais ces ouvrages antiques partout, alors qu’elle m’avait fait promettre d’en prendre grand soin. Je ne les abîmai jamais, cependant. Ils étaient trop importants pour moi. A sept ans, ma mère m’ouvrit soudainement les yeux. La littérature était si loin d’être mon occupation préférée. D’aussi loin que je puisse m’en souvenir, je ne me lassais jamais de voir ses mains danser, virevolter sur les touches noires et blanches. Elle était là, les yeux fermés, docilement assise sur le tabouret, et elle jouait durant de longues minutes, de ce fabuleux instrument. Lorsqu’elle cessait, le souvenir des mélodies m’exhortait avec une telle puissance que je m’en sentais vide, et infiniment petite. Mon premier cours de piano est le souvenir le plus heureux, et le plus limpide que je possède dans ma vie humaine.

Nombres de mes jouets d’enfant trainaient sur le parquet mielleux, des partitions dérobées à ma mère reposaient sur le secrétaire, vainement dissimulées par des cahiers aux couvertures tâchées d’encre. La chambre était plongée dans le noir. Apaisante et délassante. Silencieuse. Ma respiration modérée, profonde s’élevait sereinement dans les airs. Elle seule était preuve qu’une quelconque âme sommeillait dans cette pièce. Quelques gouttes d’eau vinrent s’écraser contre le toit d’ardoise. Bientôt, elles se firent plus dense, plus insistante, et la mélodie véloce atteignit mes oreilles. Enveloppé dans mes couvertures, je laissai échapper un soupir de mes lèvres entrouvertes, fermai instamment les paupières, et tentai de me raccommoder avec mes songes. Le soleil, l’heure de l’horizon fumant, la forêt rougeoyait, jaunissait et disparaissait dans l’ombre de la nuit. Je plongeai doucement dans le sommeil, ne pus m’y reposer longuement, cependant. Un pas léger, flottant presque, entra dans ma chambre. Je me retournai lentement, tentai d’ouvrir mes paupières, alourdies par la quiétude divine de mes chimères.

« Sloan ? Ouvre les yeux ma chérie. Voilà, bien... Doucement. »

Je sentis son poids affaisser le matelas spongieux. J’étais, néanmoins, résolue à ne pas abandonner mon monde paisible pour la journée froide et insignifiante qui pointait déjà. J’étouffai un bâillement, sentis sa main effleurer mon front d’une caresse délicate, et me frottai les yeux. Ma mère insista doucement, ses lèvres délicieusement teintées d’un sourire malicieux. Je ne l’avais jamais aperçue dans pareil état ; son obstination piqua ma curiosité. Je me redressai promptement, non sans affliger un vertige à ma tête encore brumeuse. Ce retournement de situation lui tira un rire distrait, semblable aux doux sons d’un carillon dans le vent.

« Quelle heure, au juste ? »


Je remarquai qu’elle essayait d’assombrir ses traits joyeux. J’étais consciente de son aversion pour les assertions, ou les interrogations écourtées. Elle ne manqua pas de me reprendre à propos de la manière dont je m’étais exprimé, me répondit pourtant. Il était sept heure et quart du matin, nous étions samedi, et je n’avais donc une occupation précise pour laquelle j’aurais dû m’éveiller. Je grognai, me laissai retomber dans mes draps chauds, mais elle attrapa ma main et la pressa avec douceur. Je me laissai faire sans broncher. Ses iris scintillaient, plus époustouflantes que les précieuses étoiles que j’observais sans relâche, une fois l’astre de la nuit tombé, et je ne voulais être responsable si le voile de peine que j’y lisais fréquemment revenait quémander la place qui lui était due dans ses yeux.

« Et bien, je ne pensais pas devoir défier tant de résistance. Crois-tu que t’enseigner la musique relèvera de la simple volonté d'apprendre, Sloan ? Nous avons besoin de temps, ton père est absent. Profitons-en ! »


J’arquai un sourcil. Venait-elle de dire qu’elle m’apprendrait la musique ?

« Tu crois que je peux ? »


Le sourire que j’obtins, en guise de réponse, me suffit amplement. Je n’avais connu pianiste plus méticuleuse, plus douce et plus talentueuse que ma mère. Elle s’installait là, devant l’instrument royal, ses doigts voletaient sur les touches blanches et noires ; fréquemment, je fermais les yeux, m’imaginais faisant face à la mer, au clair de lune, le vent murmurait ces si belles mélodies au creux de mon oreille. En cet instant précis, j’apercevais mon rêve se concrétiser. Elle désirait m’apprendre. Je me redressai brusquement une nouvelle fois, ignorai mon second vertige, me jetai hors de la pièce en lui faisant signe de me suivre.

« Oh, dépêche-toi, m’man ! Il ne faudrait pas perdre de temps... »


Et, déjà, j'échappai à sa vue, volant à la rencontre du somptueux piano noir. Quelques minutes après ce réveil plus qu’agréable, ma mère et moi étions assises sur le tabouret, devant l’instrument familial, si imposant qu’il m’avait toujours impressionné. Ma mère veillait à ce que je ne m’emporte pas trop, elle souhaitait que je comprenne toutes les bases avant de me lancer dans une nouvelle étape de son apprentissage. Et, pour l’instant, je n’y connaissais absolument rien. Le nom des notes, excepté. Elle m’apprenait à reconnaître le Do sur le clavier, lorsque je m’aperçus d’un détail. Frappant, certes. Qui ne m’avait pas marqué jusqu'à cet instant précis, pourtant.

« Papa ne souhaite pas que j’apprenne, pas vrai ? Dis-moi... Est-ce que je l’ai déçu ? Souvent, je ne le comprends pas. J’ai fait quelque chose de mal ? »
« Ce n'est rien, ma chérie. Tout s'arrangera. Et tu n'as rien fait de mal. Passons au ré. Sais-tu où il se trouve ? »
.


Dernière édition par Sloan Chesterfield le Mer 11 Mar - 11:59, édité 3 fois
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Sloan Chesterfield Vide
MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptyLun 9 Mar - 18:22

Bienvenue ici. =)
Le choixpeau est fortement indécis à ton sujet et aimerait entendre un peu plus de choses. Wink
Merci de ta compréhension.
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Sloan Chesterfield Vide
MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptyLun 9 Mar - 19:25

veux-tu un autre RP ?
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Sloan Chesterfield Vide
MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptyLun 9 Mar - 20:00

Pas forcément, mais tu peux dévelloper un peu plus ce que tu as déjà écrit. =)
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Sloan Chesterfield Vide
MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptyMer 11 Mar - 12:00

Voilàà j'ai rajouter un autre RP
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Sloan Chesterfield Vide
MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield EmptyMer 11 Mar - 17:31

      Sloan;
      Bienvenue dans l'école de magie Hogwart. Ici, c'est grâce à ta patience, ton calme, ton intelligence que nous te savons digne de rejoindre les rangs de la maison,
      Saphyrs.
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MessageSujet: Re: Sloan Chesterfield Sloan Chesterfield Empty

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