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Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading]

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Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] Vide
MessageSujet: Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] EmptyDim 11 Jan - 19:18

    Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] 16gwk7o
    Gabriel Ludwig Blackwell___
    featuring Kanon de AnCafe




    « I'm a Rose, Beautiful and Charming.
    And then I use that sharp Rose thorn to crush my enemies.
    From now on, don't even think about picking on Roses.»


    Sa majesté le Seigneur Gabriel, ange aux yeux de tous ou presque, diable aux yeux du reste, doux princes des rêves cauchemardesques, sorcier de Sang Pur de la noble famille des Blackwell, héritier aristocratique allant sur ses dix septs ans, entrant en troisième année dans la très noble Ecole de Poudlard ...


Mademoiselle Shu ~
Aka Lutin, ou Nana pour les plus Intimes x3
A pour l'instant le même âge que son ange Gabriel soit 17ans.
Code : Supermassive Black Hole x3
[Bon choix, ça me rappelle le match de Baseball dans Twilight x3]


Dernière édition par Gabriel L. Blackwell le Dim 11 Jan - 19:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] EmptyDim 11 Jan - 19:26

Thème #1 _____
Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] 24l0ikk ~ Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] 2zivbd4


Sorcier ? Faut-il vraiment paraître surpris ? Non il suffit juste de sauter de joie à savoir que l'on va à l'école des Sorciers, à Hogwarts, là où les parents se sont rencontrés. Mais se sont-ils vraiment rencontrés là-bas ? Ca c'est une autre histoire, on verra ça une autre fois. Mais l'ecole va rouvrir. Fini l'Ecole Privée de la Capitale d'Angleterre, bonjour le beau château d'Ecosse. Le chemin de Traverse est devenue une habitude, il n'y a même plus d'émerveillement devant les magasins, juste cette angoisse sourde qui se mue peu à peu en excitation malsaine ou non. Un souvenir. Six ans avant. Une baguette magique. Sa première baguette. Dans le magasin on s'assoit sur un tabouret, mais pas longtemps c'est déjà son tour. Derrière Päassion regarde attendant son propre tour. Gabriel s'avance gracile, et il essaye les baguettes. Drôle de gamin, on ne trouve pas ce qui lui va. Jusqu'à la bonne. En bois de Lierre. L'errance de l'âme. A cet âge, il est déjà assez mature pour vouloir en rire. Mais il ne dit rien, sans doute un peu trop impressionné. Vingt-et-un centimètre et huit millimètre avec un poil de Sombral. Puissante, surtout pour les sortilèges. Maniable et souple, comme l'âme qui la porte. La baguette à de jolis reflets verts sur le bois. Deuxième compagnon de sa vie. Bien sûr y'a son cousin avant. Un ancien souvenir, alors qu'il est là sur le Chemin de Traverse pour débuter les cours. Et Poudlard arrivera bien assez tôt. Ce fut une journée comme une autre, une journée qui précédait une bien plus intéressante. Mais le jeune asiatique était déjà désintéressé, déjà bien trop calme, comme il devait l'être. Pas encore insensible, juste déconnecté de ce qui n'avait pas d'importance. ...

Demain serait-il un autre jour semblable ?

Réveil brutal. Haletant il regarde autour de lui. De quoi a-t-il rêvé ? Du Chemin de Traverse, de la veille mais aussi de ses onze ans, de sa première baguette. Mais qui y a-t-il de brutal là dedans ? Pas grand chose. Juste qu'une secousse un peu plus forte que les autres l'a réveillé. Toujours le train. Le Poudlard Express. Dans le train, un compartiment vide ou presque. Son cousin est avec lui d'ailleurs il le regarde étonné, et Gabriel lui souris pour le rassurer. Le voyage dans le train est long, trop long alors avec son cousins, ils parlent, de tous et de rien. Ils parlent avec d'autres, ils parlent parce qu'il faut meubler la conversation. Les deux ont les cheveux noirs, si l'on excepte les mèches colorés et blondes de l'un, le même air asiatique, les deux se tiennent la main, se sourissent, et se parlent sans un mot parfois, tout dans le regard. Cousins et pourtant. Ils auraient pu être jumeaux tellement ils se connaissaient, se comprenaient. Compréhension, connaissance, des enfants intelligents. Des enfants destinés à être un peu à part des autres ou pas ? Parties d'échecs, passage de la dame au bonbon depuis bien longtemps, passage de préfets qui leur explique ce qu'il va se passer déjà passé et oublié également. Et Gabriel qui regarde par la fenêtre. Beaucoup plus intéressant. Il regarde le soleil qui lentement descend dans le ciel, la lumière se dégradant pour laisser place à lui. Vont-ils arriver de nuit ? Oui sans doute. A côte Päassion s'émerveille devant le spectacle et Gabriel en rie doucement. Il est sans doute un peu plus calme que son frère. Sans doute.

« Dîtes ... Vous savez ce qu'il va se passer une fois là-bas demande un jeune homme blond, dont il oubliera vite le nom sauf si il est dans la même maison que lui. Un châtain à côté de lui hoche la tête négativement, alors les regard se tourne vers les deux cousins qui se jettent un coup d'œil, eux non plus n'en savent rien, d'ailleurs Päassion répond.
- Nous non plus. Il parle pour les deux, et à côté Gabriel acquiesce.
- Enfin, il faudrait penser à se changer », ajouta l'autre Blackwell, d'un ton sans appel même pour un gamin de cet âge. Chacun s'exécutèrent sans rechigner. Sans doute l'avantage d'être dans un compartiment de garçon. Gabriel enfila sa robe de sorcier par dessus son jean, et sa chemise. Ils, les professeurs, ne rechigneraient pas dès les premiers jours pensait-il alors que le train ralentissait de plus en plus.

Comme tout les autres il descendit, se demandant si il devait laisser sa valise dans le compartiment, mais certains des élèves, ses aînées, le rassurèrent, à croire que de voir deux nippons perdus en Angleterre, ça devait être trop charmant et mignon. Dans les barques il gardait le silence, la main de son cousin bien serré dans la sienne. Un soutien des plus importants. Le château le laissa sans voix, mais ne l'émerveilla pas non plus. Non ce n'était qu'un château comme un autre, sa nouvelle demeure pour quelques temps tout simplement, pas de quoi en faire une valise. Et pourtant. Non rien à faire, traverser un lac en barque, et s'émerveiller devant un château ce n'était pas ce qu'il aurait fait. Il resta juste stoïque, un simple sourire aux lèvres, parce que la Lune était belle, parce que le parc et la forêt était extrêmement attirant, parce qu'une nouvelle aventure commençait tout simplement. En descendant de la barque, un gamin, comme lui par ailleurs, manqua de lui tomber dessus se rattrapant à sa robe et machinalement Gabriel lui lança un regard froid décalant son cousin près de lui, pour pas qu'il ne lui arrive quelque chose. Oui protecteur, oui déjà froid et calme. L'éducation fait toujours son œuvre. Machinalement comme d'autre il s'avance. Le hall le garde toujours dans un mutisme effrayant, mais c'est d'un œil appréciateur qu'il observe les murs autour de lui. Soudain des fantômes apparaissent devant. Rien qui ne l'effraie, même Päassion ne semble pas effrayé. A croire que de vivre dans le monde sorcier aide. Ca doit être surement le cas.

Un professeur vient de rentrer leur expliquant comment cela fonctionne. Enfin Poudlard, à savoir que la répartition des élèves doient être un grand secret. Tant pis, de toute façon personne n'en n'est mort. Et enfin les portes s'ouvrirent. Aucune honte à le dire, comme tout les premières années, il ne tarda pas à lever la tête pour observer le plafond, laissant enfin voir un sentiment. Ca c'était quelque chose. C'était beaucoup plus impressionnant que le château, que la balade en barque, ou encore que le passage sur la voie numéro neuf trois quarts. Lançant un léger coup d'œil à son cousin, il eut le plaisir que celui-ci eut la même idée en regardant le plafond. Une nuit étoilé, un ciel dégagé, eux ensemble, que demandez de plus sinon la même maison ... Mais ça c'était ... Le Bout de chiffon sur le tabouret qui en déciderait. Un bout de chiffon, rien que ça. Franchement, on placer les années à venir de sa sublime vie dans les mains d'un bout de chiffon, enfin d'un vieux chapeau. Choixpeau rectifia-t-il dans sa chanson, à croire qu'il entendait les pensées des élèves, les siennes. Et la répartition commença tandis qu'il reportait de nouveau son regard sur le plafond, serrant un peu plus fort la main de Päassion, son seul soutien ici.

Pourquoi le plafond et pas ses futures élèves ? Parce qu'il y avait des bougies qui flottaient, et parce que les étoiles étaient si belles, qu'elles méritaient forcément d'être vues. Il observait ce plafond, tandis qu'avançait les élèves sous le Choixpeau, faisant rétrécir la foule de bien peu hélas, vu qu'il serait dans les premiers, ne leur accordant pas vraiment d'importance. Parce que dans son regard il y avait une envie de renouveau, mais surtout un dédain étonnant. Enfant gâté, enfant teigneux ? Comment nommer ce qu'il était ? Ca ne se nomme pas, il était juste lui, le principal non ? La liste est longue, des tonnes d'élèves qui passent sous ce chapeau vieux et rapiécé, tandis qu'il énonce clairement à chaque fois le nom d'une maison et que l'enfant s'en va sous une pluie d'applaudissements. A croire qu'il portait tous des noms avant le sien, à moins que cela ne soit son ennui en face de ce spectacle. Ca ressemblait à un spectacle répétitif. Trop répétitif. Bijens machin chose venait de passer, enfin le nom qu'il connaissait tant pour le porter fut énoncé.

« Blackwell Gabriel »


Il passerait avant son cousin donc. Normal, ils suivaient l'ordre alphabétique. Il porte le nom d'un ange et il l'assume sans mal, un nom qui veut tout dire ? Mais est-il vraiment ange ? N'est-il pas plutôt démon ? Question étrange, tandis que le jeune homme asiatique à peine adulte s'avance à travers ce qui reste d'élèves, c'est à dire bien trop. La dernière personne avant elle est passée à Gryffondor, et les applaudissements étaient venus de sa droite. Là c'était le calme tandis que les bottes de Gabriel claquaient avec une assurance non vaine sur le dallage. Il entendait des murmures, mais n'y faisait pas attention, jusqu'au moment où il s'installa sur le petit tabouret, et qu'on lui mettait le Choixpeau, juste assez longtemps pour que les élèves voient son visage asiatique tandis que les murmures s'amplifièrent alors, mais un regard sévère de leur professeur les fit taire. Bien sûr. Un Blackwell, un Sang Pur, il irait surement à Serpentard, mais qu'en savait-il ? Ça faisait bien longtemps qu'on n'en n'avait pas eu ici. Tandis que le Choixpeau parlait à l'intérieur de sa tête, Gabriel fixait le bord de celui-ci, clignant de temps en temps des yeux, mais ne répondant jamais, il le laissait juste faire comme on lui avait conseillé, on lui avait dit de ne rien faire, de suivre les ordres, même si dans le fond, il n'aimait pas ce genre d'intrusion. Pourtant, il ne bougeait pas. Il restait droit, immobile sur sa chaise, le bord de tête gracieux, même avec ce chapeau rapiécé sur la tête, lui cachant momentanément la vue. On remarquait déjà quelle genre de personne, il serait dans l'avenir. Et enfin ce fut la délivrance, il annonça qu'il avait trouvé...



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MessageSujet: Re: Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] EmptyDim 11 Jan - 19:34

Parce que le Prince veut grandir _____
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« On va se faire tuer. » Litanie profonde que lui répète son cousin tout au long du chemin. Se faire tuer pour quoi ? Pour être sorti de la maison ? Etre allé dans le Londres moldus ? Non ça encore ça peut passer. Alors Gabriel lui sourit serrant sa main avant de l'emmener dans les rues. Pas besoin de plan, il sait comme il doit se débrouiller, une fois sorti du métro, ce n'est plus très loin, alors il rassure son cousin à coup de « Mais non, t’en fais pas. » C'était en effet facile à dire surtout de sa part, qui était déjà du genre à ne pas à avoir peur, même pas d'une aiguille. La seule chose dont il aurait avoir peur c'était de perdre l'être à côté de lui. Enfin ce n'était pas encore prévu pour l'avenir, heureusement. S'arrêtant alors devant la boutique Päassion poussa la porte et Gabriel suit tranquille les mains dans les poches. Il regarde alors autour de lui les photos de divers tatouages, et les bijoux pour les Piercings. Il était venu se faire percer, et à par jeu, ou par défi Päassion l'avait suivi. Un regard vers celui-ci, il tremblait presque. Génial, manquait plus que ça. Son regard suivant la direction dans lequel s'est tourné le jeune homme. Une baraque, le gars avait l'air d'une baraque, il comprenait à présent l'arrêt de celui-ci et surtout les paroles qui suivirent.

« Je veux pas y aller. murmura alors celui-ci.
- Tu vas pas te dégonfler maintenant ? Aller, viens, n’ai pas peur.
- J’ai pas peur. Je veux pas y aller.
- S’il te plait. »
Murmure alors Gabriel d'un ton sans appel avec une mimique de chien battu, il sait qu'il a gagné la partie, son cousin ne résiste jamais à ce regard, d'ailleurs il croit l'entendre murmurer que c'est que pour lui faire plaisir. Tu parles, il voit bien son regard errer sur les photos.

Gabriel s'avance alors vers le tatoueur. Il sort direct le papier de sa poche. Ils ont quatorze ans, bientôt quinze, il faut donc une autorisation, celui-ci la lit d'un air distrait avant de regarder dans la direction de son cousin. Gabriel parle alors le forçant à regarder dans sa direction, lui assurant qu'il est d'accord, sinon il ne serait pas là, c'est juste le stress qui monte. Mensonge bien sûr, enfin il a surtout envie d'avoir son piercing, un peu d'Egoïsme chez lui ça ne changera pas grand chose. Le perceur accepte alors, et l'autre, un aide sans doute ramène un magasine. Gabriel le tend alors à son cousin qui le feuillette un air dégouté, à croire que rien l'intéresse. Et bien non, il faut que monsieur soit exigeant et demande un crayon et du papier, heureusement qu'il se débrouille en dessin sinon il aurait eu peur. Le dessin s'avère simple, mais beau, mais Gabriel est sous le charme, ce qui est assez rare de ce garçon si exigeant. Encore plus que son cousin, si, si c'est possible. On commence donc par Päassion. Celui-ci veut répliquer, mais Gabriel le pousse. Ils n'ont pas le temps qu'ils veulent. S'en suis alors des questions médicales tandis que Gabriel continue de regarder autour de lui jusqu'au moment où il capte le regard de l'aide.

Dans le magasin, il ne faisait pas très chaud, il faisait même froid, comme dans un frigo, quand l'on passait sa tête à l'intérieur pour aller chercher un yaourt. Soupirant, le jeune homme se passa machinalement les mains sur les épaules dénudées. Une veste noire sans manche assez longue qui lui arrive au niveau des genoux, voila ce qu'il a au dessus d'un débardeur noir avec une tête de mort sur un jean cigarette troué au genoux retenu par une ceinture clouté, à chaîne., Jean rentré dans de vieilles bottes noirs, style cow-boy. Dans le magasin, le perceur qui travaille dans la boutique avec le responsable le regarde bizarrement comme il dirait. A croire que l'autorisation de ses parents à se faire percé a du mal à passer, mais enfin ce n'est qu'un bout de papier truqué. Heureusement qu'on est dans le monde des moldus et qu'ils n'ont aucun moyen de vérifier que ce papier est un faux. Soupirant, il détourne du regard avant de s'asseoir en face de son cousin lui tenant la main. Ce n'est qu'un mauvais moment à passer comme il dirait, après il en serait dingue de son tatouage, dans le fond il connaissait que trop bien les réactions de celui qu'il considérait comme l'autre partie de son âme, alors les «c'est pas juste» et les «je t'en veux» ça le faisait bien rire.

Un simple baiser sur les lèvres de Päassion qui voulait semble-t-il bouger, et à sa grande satisfaction celui-ci prit une teinte vermeille tendit qu'il cessait de bouger, et le tatoueur continua son travail. Ca ne dura pas si longtemps que ça, peut être parce qu'il n'avait cessé de regarder son cousin droit dans les yeux, se perdant dans ses lagons chocolats. Le sourire à ses lèvres le fait rire, tendit qu'il retient tout ce que celui-ci doit faire pour le maintien de son tatouage, et surtout de sa santé. Ensuite vint l'échange. Leur main se quitte alors tendit que Gabriel se lève s'installant alors sur le faux fauteuil de dentiste. Heureusement qu'en tant que sorcier il ne devra jamais subir le calvaire de la roulette, mais reprenons. Il eut droit également à des questions auxquelles il répondait aussi froidement que son cousin, à croire que c'est de famille, jusqu'au moment où il acquiesça avant de sortir l'aiguille désinfectée et de lui demander de bien se caller. C'était l'aiguille qui faisait le plus mal disait-il. A croire qu'il n'était jamais tombé d'un balai, bien sûr que non. Le bout de métal lui procura une gêne à laquelle il ne s'attendait, et l'anneau en argent le surprit également avec la fraicheur, s'en suivi de nouveau des conseils de sécurité comme quoi il ne devait pas jouer avec, ne pas l'enlever avant six mois, toujours bien désinfecter vu que c'était une zone à risque, et blablabla et blablabla, il décrocha vite mais fit semblant d'écouter.

Le jeune homme paya alors avec de l'argent de sorcier qu'il avait changé en argent moldu au chemin de Traverse, et il entraina son cousin non sans lui avoir déposé sa veste sans manche sur ses épaules, manquait plus qu'il attrape froid en sortant comme ça. De toute façon il comptait tout prendre au niveau engueulade, il ne s'inquiétait donc pas outre mesure. Le chemin du retour se fit dans le calme. Une fois au chaudron baveur, ils prirent une bierraubeurre, sans doute pour se donner un peu de courage. Puis vint le moment de passer par la cheminée pour rentrer chez lui. Päassion viendrait avec lui, vu que depuis la mort de son père, sa mère, donc sa tante vivait avec ses parents à lui. Le grand manoir des Blackwell était bien assez grand pour les deux familles. L'arrivée fut brutale. La gifle qu'il se prit ne le surprit pas tant que ça. Ce fut simplement sur la joue droite ce qui lui arracha une grimace, vu que c'était du côté droit qu'il avait fait son piercing au labret. Son regard du déplaire à son père vu qu'il se reprit une gifle, tandis qu'il cachait Päassion dans son dos. Hors de question qu'il gifle son cousin. Son père lui demanda où ils étaient partis plusieurs fois, sans réponse bien sûr, et à chaque silence, Gabriel recevait une gifle son regard refusant de se baisser. C'était monnaie courante dans les familles de Sang purs, il ne faut pas s'y fier.

« Chéri murmura alors sa mère, non gênée par le comportement de son paternel. Je pense savoir où il était déclara-t-elle alors en s'approchant pour relever le visage du jeune homme le plaçant à la lumière pour montrer l'anneau qui brillait à sa lèvre.
- Qu'est-ce que sait que cette horreur cria alors l'Homme. Tu t'es fait marquer comme un simple moldu ?
- Il y a-t-il un problème quant à mes goûts père ?
- Tu t'es vu ? Les cheveux j’ai accepté, remercie ta mère, mais ça ...
Alors que Mr Blackwell allait de nouveau lever la main sur le visage de son fils, Päassion s'interposa, courageux, mais idiot sans doute.
- Päassion, écarte-toi c'est une histoire entre ton oncle et ton cousin ajouta alors la mère du jeune homme.
- Je suis aussi coupable
cria alors le second rejeton des Blackwell, virant alors la veste de son cousin avant d'enlever le pansement qui maculait son dos, sous le regard horrifié de sa mère, et de celle de Gabriel ...
- Vous ...
- Nous n'avons certes que quatorze ans
repris alors Gabriel. Mais je crois que nous sommes libres de faire ce que nous voulons de notre corps. Alors si vous voulez bien nous excusez, nous redescendrons pour le dîner si vous nous le permettez ma tante.
- Bien, montez. »


Gabriel ramassant sa veste, pris son cousin par la main, ne pouvant le prendre par les épaules de peur de le blesser. Et tandis qu'il montait le grand escalier après avoir quitter le salon, il s'arrêta un instant sur les premières marches le temps d'entendre sa tante concéder qu'ils avaient raisons sur ce point là, ce qui lui suffisait amplement. Ainsi il reprit sa grimpe, entrainant son cousin dans sa chambre qui était à côté de celle de Päassion, les deux reliées par une porte à la même salle de bain. L'installant alors sur son grand lit double, il se plaça derrière à genoux,non sans un dernier baiser sur ses lèvres de la part de Päassion, ayant laissé ses bottes à l'entrée, et après avoir attaché les rideaux pourpres qui laissait voir le blason noir, barré d'une barre rouge sur lequel s'ouvrait un lys qui entouré une épée tandis que par dessus la fleur, l'on pouvait voir un moineau qui prenait son envol, les armoiries de leur famille, il prit la crème que leur avait donné le tatoueur, avant de commencer à l'appliquer avec douceur dans le dos de son cousin lui rassurant quand à son visage, disant qu'il n'en garderait aucune trace et que leurs parents ne leur en voudrait pas pour si peut. Ce qu'il croyait. Parce que dans quelques jours, il se doutait bien que son père leur dirait qu'ils avaient agis en homme, et qu'il serait fier d'eux. L'incohérence des familles de sang pur ...

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Lokhyan Raphaël Dewitt
GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become

Lokhyan Raphaël Dewitt


♦ Lettres Envoyées : 3608
♦ Crédit : BS*
♦ Citation : "La cruauté est le remède de l'orgueil blessé"

A NEW BEGINNING
♦ Age du personnage: 1125 ans Ϟ 24ans d'apparence
♦ Nouvelle vie:

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MessageSujet: Re: Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] Gabriel L. Blackwell ~ [100% Loading] EmptyLun 12 Jan - 15:46

      Gabriel
      Bienvenue dans l'école de magie Hogwart. L'arrogance et le dédain sont les maitres mots de ta personnalité. Tu aimes être respecté, et ferais tout pour proteger la personne qui partage ta vie...Quelle assurance pour un adolescent de ton age. Tu le sais depuis toujours que tu es né pour être un...
      Slytherin
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