 |  Sujet: Leslee N. Donovan (a) Lun 8 Mar - 1:24 | |
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PRÉNOMS Leslee Nathaly
NOM Donovan
AGE 22 ans
ELLE EST humaine mais envoûtée.
ELLE A CHOISI le modèle de présentation n.1
ELLE A PRIT Nina Dobrev en avatar
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| | Sujet: Re: Leslee N. Donovan (a) Lun 8 Mar - 1:24 | |
| La nuit est la période de temps qui s’écoule entre le coucher et le lever du soleil. Pendant cette période, les êtres vivants ayant besoin de sommeil se glissent généralement dans les bras de Morphée. Notez que le mot clé est généralement. Car certains qui prétendent n’avoir besoin que d’un temps minimal de sommeil sortent la nuit et apprécient le paysage nocturne. Cependant, ces gens doivent se méfier de ce qui les entoure, car des gens malveillants peuvent profiter de ce moment pour commettre leurs méfaits. Une insouciante et potentielle victime posait pas à pas ses pieds sur le bitume en regardant autour d’elle. Émerveillée ne serait pas le mot. Effrayée non plus. Intéressée serait plus précis. Donc c’est avec intérêt que la silhouette regardait autour d’elle. Son regard s’attardait sur des minuscules détails que personne d’autre n’aurait remarqués. Le reflet du lampadaire sur la bouche d’égout. L’araignée qui, lentement mais sûrement, se construisait une toile dans le coin droit du toit d’une maison jaune. La brique pas tout à fait droite incrustée dans le mur de cet immeuble. Le léger renflement de la route. La ligne jaune à moitié peinturée. Le cri incessant du silence qui lui vrillait les oreilles. Elle n’habitait pas au centre-ville et la nuit, dans les banlieues, le bruit était inexistant. Alors, silencieuse, elle tentait de ne pas en rajouter pour ne pas troubler l’harmonie des lieux. Discrète, elle voulait se fondre dans la masse. Marchant sur le bout de ses pieds, elle faisait de gros efforts pour ne pas se faire remarquer. Mais qui l’aurait aperçue? Tous dormaient, ici. La route était déserte. Au milieu de la route, elle se promenait. La demoiselle venait de quitter son village et se dirigeait vers la ville qu’elle apercevait. Combien de fois avait-elle fait ce chemin-là lors d’insomnies? Elle savait qu’il y avait exactement cinq kilomètres qui la séparaient de la ville. Bientôt, elle entendrait des résidus des bruits de la ville. Pour le moment, seul le silence lui répondait, et parfois le bruit de ses pas sur le gravier. C’était l’été, et même le soir, il faisait relativement chaud. Sa robe d’été pâle contrastait parfaitement avec ses yeux noisette et ses cheveux foncés. Ses souliers légers n’étaient pas faits pour la marche. Simplement, ils avaient tellement été portés qu’ils étaient plus confortables que ses espadrilles. Et évidemment, ils allaient vraiment mieux avec sa robe. Un léger souffle de vent souleva ses cheveux. Un délicat sourire s’étendit sur ses lèvres. Elle adorait le soir.
La ville était aussi animée que les autres soirs. Seulement, l’animation ne l’attirait guère. Elle préférait le calme de la campagne. Le silence des routes rurales. Le léger bruissement du blé dans les champs, ployant délicatement sous la fine brise. Même les bestioles ne la dérangeaient point. L’habitude, certainement. La ville était trop bruyante à son goût. On la regardait, on la remarquait. Alors qu’elle ne voulait qu’être seule dans un environnement familier, où personne ne pourrait porter de jugement sur sa personne. Seulement, personne ne la regardait vraiment. Elle était dans l’erreur. On passait notre regard sur elle et on ne voyait rien de plus qu’une jeune femme parmi tant d’autres. Et les autres sont tellement plus intéressantes aux yeux des hommes. Elle, elle n’est rien. Juste quelqu’un. Quelqu’un et personne en même temps. Alors qu’elle s’angoisse parfois de ce que les gens pensent d’elles, elle est loin de se douter que les gens ne pensent rien d’elle. Jugée rapidement inintéressante, personne ne semble vouloir aller plus loin. Pas nécessairement très sociable mais d’agréable compagnie, ils manquent quelque chose. Sauf qu’elle ne fait rien pour montrer aux autres qu’elle n’est pas si faible qu’elle en a l’air. Qu’elle aussi a quelque chose de plus que les autres et qu’elle mérite leur attention. De toute manière, elle n’a jamais aimé être au centre de l’attention. Elle savait d’ailleurs par expérience que les gens qui vont naturellement vers vous sont ceux qui vous seront les plus fidèles, car ils ont pu voir en vous ce que les autres n’ont pas vu. Alors elle préférait attendre sur la plage plutôt que de se jeter à l’eau et risquer de se noyer. C’était un choix comme un autre. Pas nécessairement bon, ni franchement mauvais. C’était son choix.
Elle ignorait que demain allait être radicalement différent des autres jours, car il allait changer irrémédiablement le cours de son existence. Alors qu’elle avait récemment trouvé un petit copain – une première pour la jeune femme qui ne s’attachait généralement pas de cette manière-là avec les garçons – qu’elle avait des amis exceptionnels et qu’elle était plongée dans des études vraiment intéressantes, il fallait que quelque chose bouleverse cette existence qui lui plaisait plus que jamais. Il fallait que demain, quelqu’un se placerait au travers de son chemin et lui barrerait la route à jamais. Non, elle ne mourra pas. Sauf que pour elle et pour d’autres, ce serait le cas. C’était sa dernière soirée qu’elle passait en tant qu’humaine. Et elle ne le savait même pas. Au moins, si elle en avait été consciente, peut-être que ça aurait été moins pire. Peut-être qu’elle aurait pu lui dire au revoir et lui dire qu’elle ne l’oublierait pas. Tant de choses qu’elle ne pourrait pas faire. Tout ce qu’elle lui avait dit, c’est qu’elle partait demain pour la Russie où elle devait assister à un bal de charité. Les joies des riches… Évidemment, elle ne pouvait pas savoir que quelque chose d’autre allait se produire cette journée-là. Elle qui pensait qu’elle aurait encore pleins de soirées seule à rêvasser, elle se trompait du tout au tout. C’était la dernière fois qu’elle errait seule le soir, la dernière fois qu’elle était réellement libre de ses mouvements. Bien sûr, elle n’en était pas consciente. Pas même inconsciemment. Étrangement, ces choses-là ne se savent pas. Les livres disent parfois qu’on sait lorsqu’on va mourir, ou quelque chose du genre. C’est faux. On n’en a aucune idée, pas la moindre. Et ça, c’est une grosse faiblesse. Parce qu’on aurait tellement de choses à dire qu’on n’a pas dites. Il y a tellement de choses à faire avant de mourir. Elle qui pensait avoir la vie devant elle se trompait lourdement. Le pire, c’est qu’elle ne pourrait pas racheter ses erreurs, se réconcilier avec son chien qui la boudait depuis ce matin, s’excuser à Katherine pour avoir brisé son Ipod en l’échappant par terre et aller en acheter un autre pour elle, dire à Sam qu’il avait été vraiment sympa hier soir d’être resté avec elle alors qu’elle était malade, et… Leonard. Si elle savait qu’elle le quittait plus que pour un simple bal, vous pouvez être sûrs qu’elle ne marcherait pas en ville en ce moment.
« In Russia . »
Le bal était comme elle le pensait. Correct, mais néanmoins barbant. Avec tous les discours, les remerciements à n’en plus finir pour les généreux donateurs et enfin la danse. Ses parents lui avaient dégoté un joli (mais lointain) cousin qui serait son cavalier pour la soirée. Cependant, même s’il n’était pas du tout désagréable à regarder, ses pensées étaient ailleurs, avec un autre. De toute manière, il avait sûrement une copine lui aussi. Ils n’étaient ensemble que pour la soirée, et encore. Leslee comptait bien s’éclipser à un moment ou à un autre pour aller prendre un peu d’air. Elle avait remarqué un joli jardin derrière l’immense demeure et il semblait plutôt calme. Elle s’excusa donc vers la fin du bal à son cavalier et prétendit un malaise et un besoin urgent de prendre l’air. Le jeune homme avait bien tenté de l’accompagner, mais elle lui avait silencieusement fait comprendre que ça ne servait à rien de discuter. La demoiselle est donc sortie à l’extérieur, profitant de la fraîcheur de l’air nocturne. La salle de bal était immense mais néanmoins étouffante tant il y avait de corps, de chaleur, de bruits et de lumières. L’air frais était tout exactement ce qu’il lui fallait pour s’écarter un moment du monde qui, malheureusement, était le sien. Cependant, avoir des parents riches était un avantage. La magnifique robe sur mesure qu’elle portait était l’un de ces avantages. Bon, les bals de charité vont avec, mais quand même. Il y a un plaisir très féminin à porter de belles robes!
Leslee marchait doucement dans le jardin, lorsqu’un bruit la fit sursauter. Une ombre sembla passer rapidement devant ses yeux. À haute voix, elle demanda s’il y avait quelqu’un et que si c’était le cas, elle aimerait qu’il se montre. Cependant, ce fut le silence complet juste après son intervention. Elle haussa finalement des épaules et cru à une divagation de son imagination fertile. Elle aurait dû retourner danser. Après tout, rester dix minutes dehors en laissant poireauter son cavalier était inacceptable! Cependant, l’idée d’être de nouveau étouffée par l’atmosphère écrasante de la salle de bal n’était pas très alléchante. Alors elle continua de marcher, se disant qu’elle ferait le tour du jardin et rentrerait par la suite. Grossière erreur! Quelques minutes plus tard, l’ombre réapparu… Pour se jeter sur elle. Dans un éclair de lumière, Leslee fut réellement surprise de constater que son agresseur était en fait une fille. Une fille avec un drôle d’éclat argenté dans les yeux qui lui fit une méchante entaille sur le bras. Leslee remarqua sa blessure à elle lorsque leurs bras se touchèrent. Elle perdit connaissance à l’odeur écœurante du sang : elle n’a jamais été très résistante de ce côté-là.
« The next day . »
Elle a eut des nausées toute la soirée. Son bal était vraiment fichu. Elle avait mit ça sur l’odeur du sang qui, étrangement, la rendait malade. C’était plutôt inhabituel mais c’était pour Leslee la seule conclusion acceptable. Toute la soirée, elle avait été capable de raconter ce qui s’était passé. Elle n’avait pas vu ses parents avant le lendemain matin.
MÈRE « Ma pauvre chérie, raconte à maman ce qui s’est passé. »
LESLEE « Je… Je ne m’en souviens plus, » s’est rendue compte la demoiselle avec effarement. |
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| | Sujet: Re: Leslee N. Donovan (a) Lun 8 Mar - 1:29 | |
| Je m'appelle Geneviève (de mon pseudo Little-Surfeuse) et j'ai 14 ans. Je voulais savoir si je peux prendre Nina Dobrev en avatar? 
J'adore le forum, le contexte comme le design. C'est génial <3 J'ai terminé ma présentation (enfin, je crois. ^^)
En espérant que ça vous plaise! |
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Charlotte Leonhart BLOODY GIRL † Would you Die for me ?
♦ Lettres Envoyées : 3682
♦ Crédit : Fatal†Error
♦ Citation : What doesn't kill me... will probably kill you.
A NEW BEGINNING
♦ Age du personnage: 432 ans - 18 d'apparence
♦ Nouvelle vie:
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| | Sujet: Re: Leslee N. Donovan (a) Lun 8 Mar - 21:31 | |
| Oh! Merci beaucoup, ça fait plaisir <3
À moins d'un gros drame dans ma vie, je compte bien reste (aa) |
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Psyché E. Wingates
♦ Lettres Envoyées : 887
♦ Crédit : Inkheart
♦ Citation : Tous à mes pieds, misérables sorciers (a)
A NEW BEGINNING
♦ Age du personnage: 21 ans
♦ Nouvelle vie:
| | Sujet: Re: Leslee N. Donovan (a) Mar 9 Mar - 0:19 | |
| | Une Leslie ! Pas en A. Greene en plus ! Bienvenue jeune poulette, amuse toi bien ici! |
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| | Sujet: Re: Leslee N. Donovan (a) Mar 9 Mar - 0:36 | |
| Merci
Ah, tu vois, j'y aurais même pas pensé à Ashley pour ce personnage! Je trouvais que Nina collait mieux  |
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| | Sujet: Re: Leslee N. Donovan (a) | |
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