Leyhann J. Meadow | « Sweetest butterfly &.& Something special »

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Leyhann J. Meadow | « Sweetest butterfly &.& Something special » Louplu10

La lune était sereine et jouait sur les flots. -
La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise,
La sultane regarde, et la mer qui se brise,
Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots.
« Clair de lune », Les Orientales, V. Hugo.
”

Follow the White Rabbit in the Darkness ;

identity

«Leyhann
Juliet Meadow»
Sorcière ; Animagus
▬ 24 ans ; Professeur de Métamorphose
”

NOMS —

« Meadow. Un nom classique, qui a pourtant une longue vie derrière lui. Mes pères l'ont portés avant moi, et je serais la dernière de ma lignée puisqu'aucun membre du sexe masculin ne peut le perdurer. Triste, en un sens. »

PRÉNOMS —

« Mon premier prénom est Leyhann. Doux, et seulement composé de deux syllabes, il est très facile à retenir. Je dois avouer qu’il me plaît particulièrement. Ma mère l’a choisi parce qu’elle avait toujours rêvé de le porter elle-même. C’est en quelque sorte le dernier souvenir qu’il me reste d’elle. Quand à Juliet, c’était celui de ma Grand-mère, et aussi d’une célèbre héroïne d’une pièce de théâtre très connue : Romeo & Juliet. Elle a beaucoup plus à ma mère, et c’est pour cela qu’elle a voulu faire ressortir son côté fleur bleue… Dont j’ai hérité. »

SURNOMS —

« Des surnoms ? J’en ai quelques uns, en effet. Le plus commun est sans doute Ley’, simple diminutif de mon prénom usuel. Vient ensuite Ann’, qui provient de la même racine. Pour les moins ordinaires, il y a celui associé à mon deuxième prénom, Ju’ ou Jules, et ceux dont m’affuble mon adorable Grand-père ; ces derniers sont si nombreux et variés que je ne peux me résoudre à vous les citer. »

ÂGE —

« 23 ans. On peut dire que je sors vraiment de l’école. A peine un an de plus que les plus vieux élèves, je pense que l’on peut comprendre que j’ai parfois du mal à m’imposer. Après tout, sommes-nous si différents ? »

MATIERE ENSEIGNEE —

« Je suis fière de dire que la matière que j’enseigne est la Métamorphose. C’est simple, j’étais excellente à l’époque pour donner vie à n’importe quel objet, et je dois avouer que je ne manque pas d’inventivité. Maintenant, c’est aux élèves de juger si je sais aussi bien enseigner que pratiquer. »

SITUATION —

« Célibataire. Je n’ai jamais éprouvé le besoin d’être fiancée, ou quoi que ce soit qui puisse s’y rapporter. Mes relations sont généralement courtes, et je ne m’en plains pas. J’ai beaucoup trop à faire, j’aurais tout le temps de m’y consacrer plus tard. Les Vampires ? L'Immortalité ne m'intéresse pas. Ce serait beaucoup trop ennuyeux, et triste aussi. Voir ses proches mourir les uns après les autres... Quelle torture... »

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Premier RP ; L'Elément le plus marquant de votre vie ;
« Le jour où le traitement fut généralisé, et où les Éternels purent enfin se mêler aux Mortels. »

Les parents de Leyhann était tout pour elle. Aimants, protecteurs et avisés, ils étaient des Sorciers extrêmement doués, mais qui préféraient consacrer leur vie à leur unique enfant plutôt que de la passer à travailler. Cependant, une autre personne comptait énormément pour notre ancienne Rouge et Or, son Grand-père, Hirmaet. Il la comblait de cadeaux à n'importe quelle période de l'année : pour elle, c'était tous les jours Noël. Ce qui reste de ses géniteurs, ce ne sont que des sourires, des mains caressantes et des paroles remplies d'amour. Ils sont décédés lorsqu'elle avait seize années, sauvagement agressés par un groupuscule de Sorciers, sous prétexte qu'ils ne cautionnaient pas les Vampires à cause de leur passé. Ils les toléraient, les aimaient même, et cela ne plaisait pas. Est-ce pour cela que Leyhann est si attachée à la défense des Éternels ?

Leyhann Meadow est aujourd'hui âgée de tout juste vingt ans. Elle a décidé de travailler dans un pub sorcier pour ramener quelques Gallions pendant l'été, même si la petite famille qu'elle formait avec son Grand-père était très fortunée. Mais elle désirait se sentir utile, et ne pas être comme un poids pour Hirmaet. La sachant très têtue, ce dernier n'avait donc pas vraiment tenté de l'en dissuader. C'était même lui qui lui avait conseillé ce bar, La Baguette & le Chaudron, et même s'il était un peu crasseux, elle devait avouer qu'elle n'avait pas particulièrement de problème avec les clients et le patron. Et puis il y avait eu ce soir... Si particulier où elle avait cru se retrouver à Noël, avec le cadeau qu'elle désirait depuis tellement de temps dans les mains.

« Leyhann, Pete commence à s'impatienter. »
« Oui, désolée je file ! »

La serveuse, aux longs cheveux de jais, attrapa le plateau en pivotant sur ses pieds. Elle s'approcha d'un homme d'une quarantaine d'années, drapé dans une lourde cape poussiéreuse. C'était un habitué, qui commandait régulièrement la même boisson, et qui se plaisait à rester jusqu'à la fermeture. Elle déposa la choppe devant lui, attirant son regard profond et déjà embrumé par l'alcool.

« Et un Wisky Pur-Feu, un ! » fit-elle avec un grand sourire.
« Merci, ma belle. » souffla le Sorcier en s'emparant de sa commande.

Un étirement de lèvres de sa part, et elle comprit qu'il la remerciait de son mieux. L'alcool ne rendait pas Pete mauvais, mais cela lui faisait revivre de terribles souvenirs. Elle savait qu'il y avait deux ans, il avait eu une altercation avec un Vampire, mais elle ignorait ce qui c'était passé exactement. Cependant, il portait toujours une écharpe, qu'il fasse froid ou chaud. Un signe ou une simple lubie ? Un courant d'air hivernal la fit alors frissonner, tandis qu'elle retournait vers son patron. Les poils de sa nuque se hérissèrent brusquement, et avant qu'elle ne tourne les yeux, elle sentit que quelque chose immensément plus magique, puissant et vieux qu'elle venait d'entrer dans le pub. Les murmures incessants qui bourdonnaient habituellement à La Baguette & Le Chaudron se turent de manière assez progressive. Les iris azurés de Leyhann se posèrent enfin sur la silhouette masculine, aux mouvements félins, qui prenait place dans un coin du bar. La Sorcière sentit son cœur rater un battement, elle se contenait difficilement de crier aux clients qui était la personne qui venait de s'asseoir. Ou plutôt, quelle était sa nature. Le patron plissa les yeux, il était suspicieux mais il n'avait aucune raison de le mettre dehors. Il tapota le comptoir, faisant sursauter sa serveuse.

« Va t'occuper de lui, tu veux. Je ne voudrais pas mettre mal à l'aise d'autres employés. Toi, je sais que ça ne te pose pas de problèmes. »
« D'accord, Phil ! » chuchota gaiement la jeune femme.

Elle sautilla pratiquement jusqu'au nouveau client, et se forgea un masque parfait. Il posa sur elle un regard étrange, doré comme des Gallions, mais nettement plus complexe et profond, puis un sourire amusé. Elle se sentit rougir, sachant pertinemment que ses pomettes deviendraient de plus en plus rosées si jamais il gardait une telle expression.

« Bonjour... ! Qu'est-ce que je peux vous servir, monsieur ? »

Il ne répondit pas, gardant un silence mortuaire mais son sourire s'étira. Il devenait même un brin séducteur. L'Eternel se pencha alors sur la table, prenant un air de conspirateur.

« Serait-ce possible d'avoir un Wisky Pur-Feu ? »
« Euh ou... oui ! Tout de suite, monsieur ! »

Jamais elle n'avait servit une commande aussi vite, et ses pieds parfois gauches menaçaient de la faire tomber. Lorsqu'elle déposa le verre devant l'homme, il lui susurra quelques mots à l'oreille.

« J'aimerais tant que les autres soient comme vous... Vous êtes charmante, et vous sentez délicieusement bon. Jamais, de toute ma vie, je n'avais eu le loisir de sentir une fragrance aussi délicate et tentante que la vôtre. Mais ne vous inquiétez pas, je ne vous ferais rien... Votre gentillesse me réchauffe le cœur, mademoiselle. » finit-il.

Elle se redressa, encore plus rouge qu'avant. Un balbutiement incompréhensible franchit ses lèvres, alors qu'elle se reculait, ravie des compliments que l'Éternel venait de lui adresser. Peu d'humains auraient été contents d'apprendre que leur sang donnait faim, une faim apparemment délicieuse, à des vampires, mais elle ne s'en souciait pas particulièrement. Non, il lui avait dit qu'elle était gentille, et compréhensive. C'était cela qui comptait. Oui, uniquement cela.

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Deuxième RP ; Sujet inventé ;
« Quand l'Animal prend le pas sur l'Humain. »

Certains secrets sont faits pour être gardés. Les répercussions seraient parfois trop désastreuses pour que le monde entier soit au courant. Ainsi, devenir un Animagus n'est pas à la portée de tout le monde, et il est très difficile d'en devenir un. Il n'est pas conseillé de se risquer seul à découvrir son animal intérieur ou à essayer de se transformer. Mais ai-je oublié de vous dire que Leyhann est une jeune femme têtue, et horriblement décidée ?

« Leyhann ! »

La Sorcière releva la tête, ses longs cheveux noirs balayant son visage de porcelaine. Elle avait fêté son vingt-et-unième anniversaire il y a un mois, mais ses traits enfantins gardaient encore l'innocence et la douceur de son adolescence, et il été bien difficile de lui donner son âge réel. Assise en tailleur sur le canapé du salon, elle tenait entre les mains un livre ancien, dont la reliure de cuir était fatiguée et dont les pages jaunissaient. Des lettres dorées, entrelacées sur la première page, formaient le titre « Les Animagi ».

« Oui, Grand-père ? »

L'homme qui se tenait dans l'embrasure eut un sourire doucereux. Il mesurait dans les deux mètres, et arborait de courts cheveux grisés. Un air de puissance, d'autorité, émanait naturellement de lui. C'était comme si l'on se sentait obligé de se soumettre à ses désirs. Pourtant, il possédait un cœur d'or et il était terriblement émotif. Dans le bon sens, évidemment.

« Tu as du courrier. »
« De qui ? » demanda la jeune femme en se redressant imperceptiblement.
« Du Ministère de la Magie. »

Dans sa main, grosse comme une assiette, pointait un coin blanc. Il l'agita quelques minutes pour la lui montrer, puis il vint la lui donner, se laissant ensuite choir dans le canapé. Il prit avec précautions le livre sur les Animagi, histoire de laisser sa petite fille libre de ses mouvements. Leyhann hésita quelques instant à ouvrir l'enveloppe, mais finalement elle le fit. Elle en sortit un long morceau parcheminé, couvert d'une écriture noire.

« Chère mademoiselle Meadow,

Blablabla... Avons le regret de vous annoncer... Blablabla... Avons été informés que vous avez tenté de pratiquer un sortilège d'Animagus... Blablabla... Allons envoyer un représentant... Blablabla...

Nos sincères salutations,
Le Ministère de la Magie. »

Elle avait sauté des pans entiers de phrases pour aller à l'essentiel. Ses mains diaphanes tremblaient légèrement en tenant l'objet de son désarroi, et elle n'osait pas jeter un coup d'œil à son Grand-père. Comment allait-il réagir ? Et ce représentant, qu'allait-il faire ? Lui édicter les fautes qu'elle avait commises avant de briser sa baguette ? La cheminé s'alluma, la faisant sursauter. Des longues flammes vertes lècherent les briques et une silhouette s'y forma. Un homme, à peine plus vieux qu'elle. Leyhann se redressa, trop vivement car elle bouscula le livre qu'Hirmaet avait sur les genoux. Elle fut prise d'un mal de tête étrange et puissant, elle voyait de la neige, un pelage immaculé, d'énormes pattes qui s'abattaient sur le sol, un museau finement ciselé, et... Et elle se transforma. Elle avait déjà de nombreuses fois fait cela, mais jamais dans l'urgence, jamais alors que son état de stress était aussi haut. Le husky se mit à geindre, reculant alors que la silhouette du représentant du Ministère sortait de l'âtre.

« Monsieur Meadow. » fit-il en un mouvement de tête vers le Grand-père.

Puis, il tourna ses sublimes iris émeraude vers l'animal qui remplaçait Leyhann, et ne put cacher un air de stupéfaction. Comment arrivait-elle à un niveau aussi bon, en seulement quelques mois ? Il se pencha ensuite, nullement craintif. Il savait qu'elle ne lui ferait pas de mal, elle semblait tout bonnement effrayée de s'attirer des ennuis.

« Mademoiselle... Car je suppose que c'est vous, Leyhann Meadow ? Vous me voyez navré de vous causer autant de problèmes. Mais ce n'est pas ce que vous pensez. Le Ministère voulait juste savoir à quel niveau vous en étiez, et que vous remplissiez ce formulaire afin d'être répertoriée. »

Dans le regard bleuté de la chienne rayonnait l'espoir et le plaisir, et c'est en l'espace de trois secondes qu'elle redevint humaine. Elle allait vraiment pouvoir devenir Animagus ! L'homme allait poser une main rassurante sur l'épaule de husky, mais ce fut finalement sur celle de l'humaine qu'il le fit. Les joues pâles de Leyhann se tintèrent d'un rose soutenu, alors qu'il s'écartait rapidement. Derrière eux, Hirmaet fut prit d'un fou rire incontrôlable. Sa petite-fille lui jeta un regard furibond avant de tendre la main vers le représentant du ministère, toujours assise au sol.

« Je veux bien remplir ce formulaire, mais voulez-vous m'aider à me relever ? »

Son sourire, innocent, était désarmant. N'importe quel homme serait tombé sous le charme à cet instant. Il émanait d'elle autant de douceur que de beauté. Une beauté fragile, presque enfantine, et pourtant si délicieuse. Oui, elle avait vraiment quelque chose de spécial... Mais était-ce ce que vous pensez ?

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Hors Jeu ; Secrets ;
« What else ? »

Composition de la baguette : Baguette magique : 22,7 cm, bois de saule et crin de licorne femelle.

Particularité : Animagus ; husky au pelage immaculé.

Code : SuperMassive Black Hole.

Pseudo : Jess. Classique xD

Âge : 16 ans révolus, bientôt 17.

Avatar : Alexis Bledel de mon coeur Leyhann J. Meadow | « Sweetest butterfly &.& Something special » 500594