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Who am i ?

▬ NOM Waels.
▬ PRÉNOMS Lucy Ange.
▬ AGE 22 ans.
▬ ESPÈCE Humaine envoutée.


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▬ SHE IS...
Battante – Extrême – Charmeuse – Joueuse – Tendance à rater ce qu’elle entreprend – Maladroite – Rêveuse – Fêtarde – Obstinée – Impulsive – Insolente – Non réfléchie – S’emporte vite – Courageuse – Fière – Débauchée – Sensible – Maternelle, même tendre, mais seulement avec Joy – En galère – Sait mentir – Sociable – Passionnée – Contradictoire – Impatiente – Lunatique – Indépendante…

Ça, c’est la liste que n’importe qui la connaissant. Mais depuis son hospitalisation, les choses en changé. Le Spirit doit se heurter à son fort caractère et peine à prendre autant d’emprise qu’il le voudrait sur elle, c’est pour cela qu’il ne se manifeste que par vagues… pour le moment. Néanmoins, il est entrain de la changer. Il en fait une personne encore plus impulsive et colérique qu’elle ne peut déjà l’être. Mais en plus, elle en devient cynique et même acide, violente avec une certaine tendance à la cruauté et à la manipulation, vive, plus forte et parfois je m’en foutiste. Elle devient plus facilement agressive et se laisse encore plus aller qu’avant. Mais l’humaine possédée parvient parfois à reprendre le dessus. La pensée de Joy, sa fille, l’aide dans ce combat contre elle-même, ce qui a tendance à agacer fortement le Spirit qui tente de s’emparer d’elle.

▬ SOME MORE DETAILS
- Lucy a une fille d’un an et demi qui lui a été retirée à ses six mois par une assistante sociale avertie par un voisin mesquin de la situation de cette toute jeune mère.
- Malgré la médiocrité des séries dans lesquelles elle a tourné, elle n’est pas une mauvaise actrice et ne renoncera jamais à le devenir.
- Ses différentes potes de tournage et de fêtes lui ont appris à jouer de la guitare.
- Elle porte un petit tatouage dans le bas du dos, en forme d’arabesque. Juste un côté, une longue cicatrice, coupable de son envoûtement, lui marque la peau.

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And there was a story...

▬ ONCE UPON A TIME...
… une histoire qui n’avait rien d’un conte de fée. Once upon a time ? Non, car bergères et princes n’ont pas leur place dans ce qui va vous être raconté. Il était une fois ? Non, car point de preux chevalier pour venir au secours de la princesse en détresse enfermée dans sa tour. Pas de ils se marièrent heureux et eurent beaucoup d’enfants dans cette histoire déjà terminée avant même d’avoir commencé. Cette fois-ci, pas plus de tour gardée par un dragon que de chevaliers et la belle princesse qui n’en est pas même un pourra bien dépérir toute seule dans son coin et rêver au prince charmant en tournant en rond dans les ruelles crasseuses de Londres. Parce que la vie, finalement, la vraie, n’a rien d’un conte de fée. Encore moins lorsque l'on s'appelle Lucy Ange Waels.

« S’il y en a une qui n’a pas eu de chance, c’est bien Lucy. Mais quand je dis ça, c’est vraiment, vraiment pas de chance. Et ça a commencé tôt pour elle, cette averse de coups du sort, avant même qu’elle ne soit née, quand sa mère a eu la joyeuse idée de coucher avec le meilleur pote de son mec. Parce que oui, sans ça, sa vie à Lucy, elle n’aurait certainement rien eu à voir avec cette pourriture. Parce que bon, que sa mère ait couché avec qui que ce soit, ça n’aurait pas eu d’importance si elle n’était pas tombée enceinte. D’abord, Lucy ne serait pas née et aurait peut-être eu une chance de vivre autre chose, plus tard, mais aussi parce que Jane, sa mère, n’aurait pas eu à expliquer à son fiancé et futur mari pourquoi elle était enceinte alors qu’il y avait longtemps à cette époque que tout le monde savait que lui était stérile… Déjà, neuf mois avant qu’elle ne vienne au monde, c’était mal barré. Rapidement, Jane s’est donc retrouvée toute seule avec son futur enfant et un salaire à peu près aussi dérisoire que son job de caissière dans un supermarché londonien sans le moindre intérêt. Certains disaient même qu’elle devait se débrouiller pour allonger un peu ses fins de mois et mettre de côté de quoi assurer un minimum de confort au fœtus qui arrondissait peu à peu son ventre si habituellement creux. Elle l’aimait à l’avance, ce gosse, même s’il venait de lui faire perdre l’homme qu’elle aimait, réellement. »

Et elle finit par naître, le 30 septembre 2072, dans une clinique minable d’un sordide quartier de Londres. Lucy Ange Waels, du nom de jeune fille de sa mère puisque d’homme, pas une trace. Évidement, son père n’avait, en apprenant la nouvelle, fait que jauger avec mépris son aventure d’un soir en lui annonçant qu’elle le resterait avant de s’en aller sans plus se préoccuper d’un enfant que jamais il ne considèrerait comme sien. Une mère célibataire flanquée d’une gamine ne connaissant rien de l’homme qui l’a conçu, c’est d’un banal ! Tellement banal que personne n’a jugé bon ou important de s’en occuper plus qu’ils ne le feraient de n’importe quel autre personne dans la même situation.

« Lucy Ange… Elle a toujours trouvé que son deuxième nom était totalement stupide. Ange. Il faut dire que ce n’est pas ce qui lui va le mieux. Quand elle était gamine peut-être, avec sa bouille et ses long cheveux blonds. Elle était fière de les avoir aussi longs ses cheveux et souvent et quand on jouait ensemble, elle ne pouvait pas s’empêcher de se la jouer princesse avec. « Je ferais la princesse et toi tu serais sa copine la servante. » Et on jouait, parce que de toute façon je m’en foutais de qui était qui. Parfois, on jouait des heures jusqu’à ce que j’en ai marre. C’était toujours moi qui me lassait. Elle, elle aurait pu ne jamais s’arrêter. Jouer à des jeux de gosses quand elle était gamine, puis jouer pour en faire son métier plus tard. Ça me faisait bien rire d’ailleurs. Actrice. Elle a toujours voulu devenir actrice alors que moi, je me contentais de vouloir faire coiffeuse. »

Elève dissipée, enfant rêveuse et peu attentive, toujours à chercher la bêtise à faire, Lucy aurait pu grandir tranquillement. Le salaire de sa mère suffisait à peine à leur payer un douze mètres carrés minable dans Londres et à les nourrir, mais au moins c’était déjà ça. C’est l’année de ses huit ans que les choses ont commencer à déraper. Un soir de grosse déprime et une dizaine de verres de whisky en trop ont eu raison de ce fragile équilibre. Une fois, deux fois… Puis toutes les semaines, et enfin tous les jours jusqu’à ce que Jane, à cause de ses absences répétées ne perde définitivement son travail trois ans après avoir sombré dans l’alcoolisme. Mère célibataire d’une fillette de onze ans, alcoolique et au chômage. Ça sonnait encore tellement comme un cliché…

« Lucy, malgré ses galères en cours, elle était intelligente. Elle a vite vu que ça avait mal tourné même si sa mère lui a d’abord caché son chômage. Il lui aura suffit de sécher une ou deux fois de plus pour se rendre compte qu’elle était continuellement à la maison, seule avec les bouteilles dans lesquelles elle mettait ce qu’il pouvait bien lui rester comme argent. Ça a duré quatre ans. Pendant quatre ans, j’ai vu Lucy faire comme si de rien n’était. Elle venait en cours, séchait, sortait et rêvait toujours d’être actrice. Et puis elle a eu quinze ans. Et en même temps qu’eux, elle a trouvé un casting pour une vieille série sans intérêt. Elle aurait pu ne pas être prise mais elle l’a été. Sans réfléchir – mais réfléchie, elle ne l’a jamais été – elle a tout lâché pour ça. Même sa mère, mais elle était tellement attaquée que parfois, elle ne reconnaissait même pas sa fille. Elle a tout laisse tombé, s’est fait payer un minuscule studio par son patron et a commencé à partir en live. Bonne actrice ou non, la série était tellement mauvaise que ça ne changeait rien. Elle est partie en vrille. Clope, sorties, alcool, orgies… elle me disait que ça lui allait très bien, qu’elle s’éclatait mais je sais bien qu’au fond, ce n’est pas de ça dont elle rêvait. Rien à voir avec les paillettes, les tapis rouges et les projecteurs dont nous parlions quand nous étions gamines. Mais elle s’est enfoncée là dedans, en enchaînant série minable sur série minable et surtout, mec sur mec. Elle disait souvent qu’elle ne ferait pas les même conneries que sa mère, qu’elle savait ce qu’elle faisait… Mais c’était sans compter avec cette énième soirée beaucoup trop arrosée, l’année de ses vingt ans. Comme souvent, c’est dans les bras d’un inconnu qu’elle est rentrée dans son minuscule studio à cinq heures du matin. Sauf que cette fois, elle était bien trop bourrée pour penser à la capote et autres détails du genre. Comme on dit, il suffit d’une fois pour choper une saloperie, mais il suffit aussi d’une fois pour tomber enceinte. Quand elle s’est réveillée, l’inconnu était partit et elle ne le savait pas encore, mais un petit bout de vie avait été déposé dans son ventre. C’est à partir de là que tout est devenu vraiment galère pour elle. Elle me faisait de la peine, je dois l’avouer d’ailleurs, à la voir ramer comme ça alors que moi… j’étais coiffeuse. »

En effet, deux mois plus tard, Lucy avait bien dû se rendre à l’évidence : elle était enceinte. Finalement, même les erreurs de sa mère la rattrapaient. Pourtant, il était hors de question de se séparer de l’enfant. Durant les sept mois qui suivirent, elle tenta tant bien que mal de se montrer exemplaire. Elle se donna à fond dans son boulot, allant même jusqu’à accepter de poser nue pour divers magazines – même avec son ventre de futur mère, oui – et se trouva un autre job, de serveuse cette fois, dans un bar louche et mal fréquenté. Elle avait vingt et un ans lorsque, le 12 juin 2093, dans la même clinique minable que celle où elle avait vu le jour, elle donna naissance à Joy. Tout changea l’espace de quelques jours. Les beuveries, les aventures, les endroits pas net, les dealers… Tous ces aspects de sa vie perdirent de leur importance lorsque les prunelles croisèrent celles de sa fille. Elle était bien trop jeune, bien trop en galère, dans une situation bien trop instable pour être mère, mais les premiers temps, elle l’oublia totalement. Elle dû néanmoins vite s’en souvenir. Débordée, elle valsait, sa fille au bras, entre ses différents boulots, tous destinés à gagner les quelques livres qui lui manquaient cruellement. Le loyer de son minuscule studio, de quoi s’occuper de Joy… tout cela était trop lourd pour elle, mais elle ne put s’y résoudre avant que l’évidence ne la rattrape. Avant qu’un jour l’on vienne frapper à sa porte pour lui enlever sa fille. Qui l’avait dénoncée et pourquoi, elle n’en su rien. Mais les faits étaient là : une assistante sociale, considérant les conditions de vie dans lesquelles Lucy vivait, décida qu’il n’était pas sain pour Joy de demeurer avec une pareille mère. Un mois, et déjà on lui enlevait la seule chose au monde à laquelle elle tenait.

La séparation fut douloureuse. Les premiers jours, elle tenta de garder la tête haute, de tout faire pour prouver qu’elle en était capable. Mais à force de se heurter à un mur, elle replongea et tous ses vieux démons la rattrapèrent. Alcool, clope, drogues… Toutefois, elle restait convaincue qu’elle pouvait le faire, qu’elle pouvait récupérer Joy. Alors elle continua. Magazines un peu louches, mauvaises séries… Si seulement elle avait pu être une véritable actrice, comme elle l’avait toujours souhaité, rien de tout cela ne serait arrivé, et sa fille ne lui aurait pas été arrachée. Et pourtant, Lucy était loin, très loin d’être au bout…



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▬ THE FIRST DAY OF THE REST OF YOUR LIFE.
Les conflits qui commençaient à éclater, Lucy n’en avait jamais rien eu à faire. Que tout ce petit monde s’arrange tout seul, la jeune femme n’en avait rien à faire. Tout ce qu’elle voulait, c’était se sortir de ses galères, avec sa fille. Les vampires, les sorciers… tout cela la dépassait, lui entrait par une oreille et sortait par l’autre au milieu des chambardements et de l’agitation qui mettait sans dessus dessous sa propre et sordide vie. Lucy n’avait jamais rien demandé à ce fichu Spirit… et pourtant. Et pourtant, il fallu qui lui vienne lui demander quelque chose. Pour une fois, ce soir là, elle était encore clean. Il était minuit, et à part la cigarette, elle n’avait encore rien touché de la journée. Pas plus d’alcool que d’argent d’ailleurs. Elle allait se trouver un homme chez qui passer la nuit, après avoir pris un verre ou deux dans un bar ; ou un hôtel pas trop cher… puisque l’avis d’expulsion placardé sur la porte de son studio dont il y avait trois mois qu’elle n’avait pas payé le loyer ne l’autorisait plus à y rentrer. Mais ce soir-là, c’était un bien autre endroit qui allait l’héberger. Parce que ces conflits dont elle n’avait rien à faire allaient inévitablement la rattraper. Comme toujours.

Lorsqu’elle se réveilla, un temps indéterminé plus tard, la première chose qui la frappa fut qu’elle n’était absolument pas dans les bras d’un quelconque homme dont même le nom lui échapperait, pas plus que dans un de ses hôtels miteux qui grouillaient dans les bas-quartiers de Londres. Non, l’endroit était bien trop immaculé et parfumé à la javel ou autres produits aseptisant. Pourquoi se retrouvait-elle clouée à un lit d’hôpital avec une longue entaille le long du dos et quelques autres stigmates du même genre, Lucy mit un certain temps et pas mal d’efforts à s’en souvenir. Et encore, pour ce dont elle pouvait bien se souvenir… Cette ruelle déserte et obscure, ce bruit suspect derrière elle, puis ce coup sur la nuque et enfin cette vive douleur avant le noir complet. Une agression sans raison évidente, lui avaient dit les médecins. Vu l’endroit, une personne certainement sérieusement attaquée puisqu’elle n’avait même sur elle de quoi justifier un vol. Ni drogue, ni argent, ni rien d’une quelconque valeur à part un paquet de cigarettes presque vide. Lucy resta un peu plus d’une semaine à l’hôpital, la blessure n’étant pas des plus jolies et son bilan sanguin tellement désastreux de cochonneries que les docteurs voulurent lui proposer quelques aides diverses et variées qu’elle avait refusé. « Et c’est non négociable. »

Elle était à peine sortie des murs stériles et définitivement trop blancs de l’hôpital que les choses lamentablement quotidiennes qui rythmaient son existence reprirent le dessus. Ses boulots, son manque flagrant d’argent et de domicile, Joy… Ça aurait pu durer encore longtemps tout ça mais quelque chose de nouveau, d’encore endormi, s’était infiltré dans sa vie pour achever de la rendre totalement sordide. Quelque chose qui s’éveilla brusquement deux jours plus tard et qui la poussa à se retrouver dans cette épicerie, un sourire mauvais aux lèvres, une arme pas même chargée braquée sur la vendeuse. Sous le regard étrangement argenté de Lucy, cette dernière vidait précipitamment sa caisse et finit par lui tendre une poignée de dollars. Douze. Douze dollars que la jeune femme empoigna avant de tourner brusquement les talons en laissant échapper un éclat de rire qui ne lui ressemblait pas. Pas plus que toute cette mascarade, ce revolver inutile, cet argent volé… Ce quelque chose était entrain de la changer sans qu’elle ne comprenne ni pourquoi ni comment.

Les jours qui suivirent, rien de tel ne se passa de nouveau et bercée par le secret espoir que ce qu’elle avait fait à l’épicerie n’était qu’un accident isolé, qu’elle était totalement stone, elle tenta de reprendre là où elle l’avait laissée jusqu’à ce soir là. Un bar, quelques verres et ce type un peu con, pas très fréquentable à première vue. Un parmi tant d’autres dans le lit duquel elle se contenterait d’une nuit avant de s’éclipser le matin venu. Comme toujours. Elle n’était même pas sûre de se souvenir de son nom lorsque, en soutient gorge et en jean dans son salon, sa main s’est emparée du premier objet sur lequel elle tombait et que ses prunelles bleues grises viraient soudain à l’argenté. Ce qui se passait chez elle, Lucy n’en avait aucune idée. Tout ce qu’elle savait c’était qu’elle avait irrésistiblement envie, presque besoin… de lui enfoncer cette pelle à tarte dans l’abdomen. Au point, après avoir été brusquement écartée, de se lancer à sa poursuite en brandissant son arme, indifférente au crachin anglais et à son indécente tenue, diraient certains. Quelque part, dans un coin reculé de son cerveau, elle sentait qu’elle ne devrait pas se laisser aller à cette… pulsion de violence, mais son corps avait décidément décidé de n’en faire qu’à sa tête et elle ne pouvait que courir après le jeune homme, aveuglée de furie. C’en était à se demander qui était le plus fréquentable des deux, finalement…

Les lumières aveuglantes des véhicules de la Scotland Yard s’allumèrent enfin sur une Lucy ahurie, encore à cheval sur le thorax de sa victime, une pelle à tarte ensanglantée à la main. Avant qu’elle n’ai put faire le moindre mouvement, deux agents l’avaient débarrassée de son arme de fortune et l’avaient fermement empoignée et emmenée à quelques pas du corps de ce type qui n’avait rien fait d’autre que de la draguer. Le regard argenté de la belle s’était de nouveau estompé pour faire place à l’ébahissement et elle se laissa embarquer sans faire le moindre mouvement. Elle n’avait aucune idée de ce qui se passait mais quoi que cela soit, ça n’était pas bon. Enfin, aucune idée… Les quelques jours qu’elle passa dans cette cellule minable lui donnèrent tout de même l’occasion de réfléchir et de s’intéresser, pour une fois, à ce qui se tramait au dehors de sa petite vie pourrie. Les vampires, leur sang, le Spirit… Lorsqu’on lui annonça qu’elle pouvait s’en aller sans être plus inquiétée, Lucy avait eut le temps de se faire des doutes sur ce qui lui arrivait. Doutes qu’elle s’efforçait pourtant de ne pas écouter. Pour Joy, pour elles, pour s’en sortir… ça ne devait pas être ça. Et pour preuve, elle allait retrouver ce type, ce Zadig – il lui aura néanmoins fallu tomber par hasard sur un encart dans un journal datant du lendemain de l’agression pour s’en souvenir – et lui s’excuser. Ce n’était qu’un coup de fatigue, ça passerait…

Some more about me...

Sur internet, c'est LovZz, dans la vraie vie c'est Marie 8] Je suis pas tombée par hasard sur le forum : j'ai fais du troc de personnages avec Zadig, mais chuut faut pas le dire *sbaf*
Sinon, j'aime beaucoup le forum. Design agréable, bien organisé et surtout avec des bons RP's donc c'est chouette.
Que dire d'autre ? Ah oui, j'ai pris Léa Seydoux pour mon avatar et le code c'est : Raising Hope - à re-vérifier, j'ai vu ça rapidement tout à l'heure.
Voilà, voilà.

Merci à tous
Voui, j'aime cet avatar aussi (L) J'essaye de finir ma fiche au plus vite - que j'édite de temps à autres d'ailleurs. Ce soir peut-être, ou demain. Parce qu'après, je pars au ski donc bon XD

Zadig > T'as raison, sinon ça craint *sbaf* Je te le dirais jamais assez d'ailleurs, mais je kiff' ton perso *0*