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Helena Carlton - Disparue à jamais... ou peut être pas

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Anonymous



Helena Carlton - Disparue à jamais... ou peut être pas Vide
MessageSujet: Helena Carlton - Disparue à jamais... ou peut être pas Helena Carlton - Disparue à jamais... ou peut être pas EmptyMar 5 Jan - 16:46

Helena Carlton - Disparue à jamais... ou peut être pas Nicolekidmanchanelno5 Helena Carlton - Disparue à jamais... ou peut être pas Nicolekidmanchanel1

Helena Carlton, 30 ans

*

Puissante – Arrogante – Sublime – Séductrice - Intelligente – Orgueilleuse – Narcissique

DON : Animagus panthère des neiges

HISTOIRE DU LIEN

14 ans plus tôt, 27 Mai 2079, Suède, Stockholm point de vue de Helena

La jeune fille était furieuse. Comment avait on pu lui faire une chose pareille ? Comment sa grand mère avait elle osé ? Qu’est ce que c’était que cette vieille mage noire !? Alors même qu’elle voyait sa petite fille pour la première fois depuis dix ans elle osait lui interdire de se rendre au grand bal de Stockholm qui était l’événement festif le plus important de Suède, en particulier pour la gent féminine. Et puis de nombreux étrangers venaient dans ce pays glacé de Scandinavie pour l’occasion tant les sorciers septentrionaux faisaient montre de brio en matière de festivités et de création d’œuvres d’art. La grande salle de balle Ivanski était alors décorée de mille et une statues de glace représentant les sorciers au fait de leur gloire tandis qu’une fontaine d’or liquide illuminait le centre de la salle de son éclat hypnotique. Bref, c’était un endroit qui regroupait toute la haute société et jeunesse dorée, où l’on ne pouvait que s’amuser en en ayant plein les yeux.

Pourtant sa grand mère voulait qu’elle lui tienne compagnie ! Ha la bonne blague ! A quoi cela servait il de s’évader du trou perdu en campagne de ses parents pour aller chez sa riche grand mère si celle ci la mettait en cage ? Autant rester dans le manoir de ses parents, situé au fin fond du comté de Dalarna. Et pourtant Merlin savait que l’adolescente en avait plus qu’assez de cet esprit de bourgeois provinciaux étriqués que l’on retrouvait chez ses parents et tout particulièrement chez son père.

Mais qu’importait tout cela puisqu’elle avait décidé de passer outre l’interdiction de sa grand mère, de passer outre son souhait de n’être pas seule ce soir. Et c’est pour cela que discrètement, sans un bruit, elle était en train d’ouvrir la fenêtre de sa chambre située au rez de chaussée, coutumière pourtant des grincements, la magnifique chevelure blonde et ondoyante de Helena s’affolant sous le vent qui soudain pénétrait dans la pièce. Un vent un peu trop fort pour la saison se dit elle. Mais qu’importait. Enveloppée autant que dissimulée dans une cape pourvue d’un sortilège de chaleur achetée à grand prix à Paris lors de son dernier voyage là bas, Helena, qui avait réussi à ouvrir la fenêtre sans que celle ci ne proteste bruyamment, s’apprêtait à poser un pied dehors.

Quand cela survint. Un bruit énorme, un incroyable vacarme en provenance de l’entrée de la maison. D’après le bruit que Helena avait entendu une chose avait été éjectée de sa place habituelle et avait atterri violemment ailleurs. Une chose massive. Comme une porte d’entrée. Aussitôt Helena abandonna ses projets d’évasion et courut à perdre haleine vers la chambre de sa grand mère. Elle avait beau critiquer vertement sa famille, elle y tenait la jeune aristocrate.

Mais quand elle y arriva… ses beaux yeux bleus se transformèrent en un indicible trou noir, sa peau déjà d’un naturel pâle devint d’une blancheur effrayante, ses traits se creusèrent, s’affaissèrent, sa tête bourdonna comme si elle rejetait la réalité de ce que Helena voyait. La jeune fille se mit à trembler, sur le point de vomir. Ses jambes ne la portèrent plus et elle chuta abruptement sur le sol sans toutefois ressentir le choc.

Sa grand mère répandait ses boyaux par le trou dans son ventre. La vision était immonde, défiant toute description. Ou peut être que l’intégralité de la scène était plus immonde encore. A côté de sa grand mère, un corps se consumait, atteint par un sort de feu. Et sa bouche, sa gueule plutôt, était ouverte. Laissant voir des crocs acérés tandis que ses yeux étincelaient d’un feu pourpre. Heureusement à ce moment là, Helena s’évanouit, plongeant dans une douce mère de miséricorde.


5 ans plus tôt, 13 Décembre 2088, Enclave Nord Américaine, Point de vue de Helena

Dans l’Enclave, zone fortifiée par des hauts murs et de la magie englobant une vaste zone des états unis d’amérique, de la Floride à la Caroline du Nord, presque tout le monde était sombre, triste et perdu. Comment ne pas l’être ? En dehors de l’Enclave tout appartenait au Spirit, à ce maudit Esprit qui avait frappé avec la plus grande violence, avec une ignominie n’ayant d’égale que son inhumaine efficacité. Oui, on pouvait le dire, l’Enclave, dont le siège durait depuis maintenant une année, était l’ultime bastion nord américain que l’Esprit n’avait pas à sa merci. Et ce grâce à des sorciers, héroïques, qui chaque jours luttaient pour défendre ces terres et en reconquérir d’autres. Jusque là ils arrivaient à peine à défendre l’Enclave contre la chose qui rodait, dehors, dans les ténèbres. En somme on comprenait aisément que la population n’ait pas le cœur à rire.

Même le dîner mondain mensuel de Mme De Saint-Lemarc était bien terne ce soir se dit Helena. Son hôte était une philosophe française vivant aux états unis qui d’habitude réunissait autour d’elle une cour enthousiaste d’intellectuels sorciers, d’hommes politiques des différents ministères sans oublier les artistes. Bref si l’on se flattait d’appartenir à l’élite sorcière, il fallait s’y rendre. Pour sa part Helena n’avait que mépris pour la vieille sorcière au charme passé et si elle avait accepté l’invitation c’était uniquement dans l’intérêt de sa cause.

En effet Helena était une sorcière connue et respectée à seulement vingt huit ans. Et cela à cause de sa grande intelligence, de son charisme, de sa beauté envoûtante et de sa richesse. Et être connue et respectée permettait de faire passer des messages, de diffuser ses opinions, ce que la jeune femme ne se privait pas de faire. Elle avait pris la parole dans de nombreux lieux en de nombreuses reprises se faisant l’ambassadrice d’une union des peuples contre le Spirit, d’actions concertées, de fouilles dans le passé pour trouver des informations utile. Bref elle était la porte parole d’une coopération mondiale de toutes les races, comme l’étaient d’autres intellectuelles sorcières à travers le monde.

Mais elle avait un objectif plus secret, qui lui était propre. Elle voulait qu’une fois le Spirit vaincu les sorciers s’unissent. Et dominent. Après la mort de sa grand mère et le choc qui en avait suivi elle avait tiré une seule conclusion : les sorciers doivent être les maîtres de la création pour que leur sagesse puisse permettre de brider les transgresseurs moldus et vampires. Et pour réaliser ce rêve elle prenait contact discrètement avec diverses notabilités influentes présentes dans des soirées comme celle ci. Mais pour l’instant choux blanc. Pour le premier objectif comme pour le second d’ailleurs. Elle avait affaire à des sorciers de salon qui se croyaient en sécurité derrière la ligne de défense magique EPIDOR qui entourait l’Enclave et qui refusaient de faire quoique ce soit de risqué où de contraignants. Bref des larves. Assise sur un fauteuil de l’appartement de Saint Lemarc, éconduisant les hommes trop téméraires, Helena réfléchissait et se disait qu’elle allait quitter cette assemblée pathétique. Mais trop tard. Elle était restée trop longtemps et son destin venait de prendre un carrefour.

La porte principale de l’immense appartement magique s’ouvrit en grand pour laisser entrer un homme élégant qui portait un costume manifestement sur mesure. Un attroupement se formait déjà autour de lui, empêchant Helena de voir son visage, tandis que Mme de Lemarc jouait des coudes pour s’approcher du mystérieux visiteur. Helena fut curieuse de voir qui pouvait bien susciter pareille remue ménage et jouant de son sourire enjôleur elle se fit ouvrir la voie par un des invités les plus massifs de la soirée.

Et elle le vit. Un homme bien différent de tous ceux qui étaient à côté d’elle en cette soirée. Elle lui donnait la trentaine. Ses cheveux étaient courts mais on devinait leur blond platine. Ses traits ne manquaient pas de dureté mais on y sentait aussi un raffinement patricien qui n’était pas sans faire penser à de nombreux hommes illustres. Mais ce qui émut Helena, ce qui la figea sur place comme une enfant, ce fut son regard. Un regard glacé, froid au delà de toute mesure, mais beau sans aucun doute. Un regard plein de puissance et d’intellect, un regard dans lequel on devinait aussi une profonde souffrance enfermée. Un regard qui ressemblait beaucoup au sien mais… en plus dur. En plus impitoyable. Un regard incroyable. Qui se tourna vers elle et lui fit perdre contenance.


5 ans plus tôt 13 décembre 2088, Enclave Nord Américaine, Point de vue d’Adam

Il était en retard. Qu’importait. Un sourire plein de morgue se peignit sur son visage. Cette vieille femme, Mme de Lemarc pourrait bien l’attendre des heures que cela ne la tuerait pas. Il savait qu’elle mourrait littéralement d’envie de le voir. Le président tout neuf de la Fondation des Sorcière des Sciences Magiques internationales était très attendu. D’une part parce que cette organisation qu’il avait fondée s’était montrée si prompte à la découverte et à l’invention que ses concurrentes, agences d’état principalement, avaient dû avouer leur impuissance et que par conséquent, se disaient les masses, Adam était sans doute l’homme qui en savait le plus long en matière de magie. Et puis il y avait l’homme en lui même. Riche. Puissant. Célèbre. Aux grands projets. Un héros qui galvanisait les troupes contre le Spirit et qui découvrait sans cesse de nouveaux moyens de lutter.

Donc, c’est sans honte, avec une attitude fière, comme à son habitude, qu’il ouvrit la porte magique de l’appartement de Mme de Lemarc, arrivant avec deux bonnes heures de retard. Aussitôt la ruée. Tout le monde se précipita pour poser des questions, pour le féliciter, pour piailler des inepties. Il allait parler quand il la vit.

Ses yeux étaient fixés sur lui comme lui se plongeait dans les siens. Une femme incroyablement belle aux yeux comme un océan et à la grâce surnaturelle. Il faillit montrer son trouble tant il était sonné par l’apparition en robe d’or. Il ne prêtait aucune attention aux questions stupides qu’on lui posait. Il vit qu’elle était troublée par ce contact elle aussi mais manifestement elle n’avait pas sa discipline mentale. Il ne put s’empêcher de sourire. Et, ignorant toujours superbement les autres, il s’avança vers la jeune femme et, dégageant plus de prestance que jamais, fit le baisemain le plus exemplaire qu’il ait jamais concédé.


- Mademoiselle, si Mme de Lemarc m’avait dit que nous avions parmi nous ce soir une princesse, je me serais bien gardé d’arriver en retard. Puis je me faire pardonner en vous offrant une flûte de champagne ? Notre hôte a une cave exceptionnelle.

Elle était troublée, manifestement. Puisqu’elle rougissait. Il ne put s’empêcher de laisser un deuxième sourire sincèrement amusé percer sur la glace de ses traits.

5 ans plus tôt 13 décembre 2088, Enclave Nord Américaine, Point de vue de Helena

Quand il lui adressé la parole pour lui offrir un verre, malgré son arrogance coutumière, malgré son dédain pour ses pairs, malgré tout ce qu’il y en avait en elle qui eu put lui faire dire non d’un air légèrement condescendant, elle dit oui avant même qu’il ait terminé sa phrase. Preuve que cet homme n’était pas comme les autres. Et en effet il ne l’était pas. Ils parlèrent longtemps dans le petit salon, laissant les autres invités déplorer cette double perte. Ils parlèrent de tout et de rien mais surtout de leurs projets.

- Et dites moi Mr Shave, vous dont on parle tant, vous avez d’autres projets une fois que le Spirit aura été vaincu ?

- Appelez moi Adam je vous en prie, fit il d’un sourire qui remonta jusqu’à ses yeux glacés. Je vous répondrais ma chère qu’il faudrait déjà le vaincre. Si tous les sorciers sont ainsi à se chamailler et à croire en l’efficacité d’une ligne EPIDOR dressée à la va vite qui tombera sous peu, alors l’Esprit peut envoûter tranquille.

Elle lui fit un sourire lumineux. Comme elle s’y attendait de sa part il méprisait ces sorciers qui ne méritaient pas leur nom ni leurs pouvoirs. Il répondit par un sourire à l’approbation de sa compagne qu’il avait par ailleurs pressenti.

- Dans ce cas vous serez mon obligé si vous m’appelez Helena. Par ailleurs je suis d’accord avec vous. Dans cet endroit autour de nous il n’y a que de pathétiques intrigants, des lâches et des pleutres. Il me font horreur d’autant plus qu’ils ignorent mes appels à la raison, que leur inaction les ménera à la mort plus facilement que toute autre chose. Mais vous le savez n’est ce pas ? Vous Adam, vous n’êtes pas comme eux. N’est ce pas ?

- Oui, oui c’est la triste vérité Helena, répondit il, passionné. Voyez vous tant qu’il n’y aura pas d’autorité pour leur imposer le courage et la vertu ces sorciers qui prétendent être nos élites ne résisteront pas, se laisseront dicter leur conduite par des envoûtés ou même se laisseront envoûter. Et au delà même du Spirit, savez vous comme nous serions loin sans les divisions des ministères magiques ? Sans ces rivalités imbéciles ? La vérité Helena c’est qu’il faut établir un nouvel ordre, il faut des chefs, il faut que ces sorciers indolents et corrompus soient mis au pas et acceptent de revendiquer avec leurs pairs la place qui est la nôtre à nous sorciers.

Au dessus des moldus, au dessus de ces cafards que l’on tolère et qui détruisent notre Terre, empêchent les vampires d’être des vampires avec leur ignoble traitement et ce sans que nous, sorciers, ne prenions la défense des éternels. Oh je sais ! Je sais Helena pour votre grand mère, j’en avais entendu parler bien sûr. Cependant il n’empêche, ce que font les moldus à ceux qui étaient auparavant nos alliés Helena, c’est une barbarie moderne ! Et je changerais cela. Et d’autres choses. Je changerais le monde sorcier, dès que le Spirit sera vaincu il n’y aura pas de ligne EPIDOR assez haute, assez dure, pour protéger les moldus et les corrompus.

Mais pas seulement eux. Votre grand mère, haut fonctionnaire du ministère dont jamais arrêté l’assassin et qui n’a jamais eu aucun hommage parce qu’elle était politiquement incorrecte, votre grand mère dont la porte a cédé si facilement, je le sais, qu’il est évident qu’on avait neutralisé les sceaux ministériels à l’avance, votre ministre qui n’est jamais venu vous présenter ses condoléances pour une ignominie qui l’arrangeait bien. Je ne permettrais plus à ces gens, à leurs sembables, d’exister.


Elle se serait sans doute formalisé de cette défense des vampires, de ces paroles au sujet de sa grand mère. Si ce n’eut été lui. Il parlait avec une telle conviction, une force, une puissance qu’il semblait impossible de le contredire. Et puis elle adhérait. Elle adhérait en toute conscience à tout ce qu’il venait de dire. Les yeux de la jeune femme brillaient. Cet homme là, cet homme là… elle se fit le serment de l’aider. Et puis aussi peut être, que cet homme là, cet unique homme serait pour elle ce qu’elle n’avait jamais osé espérer.


3 ans plus tôt 1er Janvier 2090, France, Paris Point de vue d’Adam

L’or d’Adam coulait à une vitesse alarmante. Comme un maléfice lancé par un sorcier particulièrement infâme qui aurait pour seule et unique fonction de transformer Adam en acheteur compulsif de bijoux, de robes, de parfum et de diverses autres choses du même genre. Et même que ce maléfice avait un nom en six lettres. Helena. Elle qui était si fière d’ordinaire et refusait de dépendre financièrement d’Adam se vengeait cette fois qu’il n’ait pas pu se rendre à leur rendez vous du nouvel an en Espagne. Elle l’avait traîné jusqu’à Paris alors qu’il n’avait rien à y faire et prenait systématiquement ce qu’il y avait de plus cher. Le sorcier se tourna vers sa compagne prenant un air de chien battu. Sa voix eut une nuance amusée toutefois.

- Dis moi Helena, sais tu que si tu me ruines comme tu prends plaisir à le faire je ne pourrais plus jamais aller en Espagne puisque je serais traqué par les gobelins – crois moi c’est terrible d’être traqué par un gobelin – de cette maudite banque qui me vole déjà bien suffisamment ?

Helena tourna vers lui son visage d’ange. Ses longs cheveux blonds brillaient d’une façon sublime, presque surnaturelle sous le soleil de Paris, dont la brillance était accentué par la neige. Un sourire lumineux acheva de faire vaciller tous les cœurs à un kilomètre alentours.

- Mais mon chéri voyons, tu ne vas pas refuser de m’offrir ces petits plaisirs non ? C’est bien toi qui te plains que je suis vexante, à refuser tout cadeau ? Mais soit, si tu ne fais que parler et que tu es incapable d’agir je saurais m’en souvenir…

Dès les premiers mots il retint une grimace. Le « mon chéri » ou autre surnom praline du genre était, chez Helena, une taquinerie implicite, qui visait autant Adam que les niais que l’on voyait enlacés dans la neige en train de se murmurer des mots doux. Quand elle eut fini Adam rit de bon cœur.

- Et dire que le Journal du Mage ose me traiter de manipulateurs. Tu fais plus de dégâts qu’un régiment d’envoûtés mon ange.

Et la journée se poursuivit, dans une atmosphère de plaisir partagé. Jusqu’à ce que les deux mages entrent dans Les Halles du Roi, une des boutiques les plus chics de Paris, notoirement réservé aux sorciers. Et alors qu’ils regardaient les produits et qu’Adam se demandait bien comment se sortir de ce piège à or, cela se passa.

Deux moldus entrèrent. Très reconnaissables. Immédiatement des regards suspicieux les suivirent. Mais on ne pouvait prévoir l’impensable. Les moldus en question avaient des renflements sous le manteau. Mais tout le monde avait supposé qu’ils étaient simplement gros. Hélas. C’est seulement quand les deux bombes explosèrent et que les morceaux de chair volèrent que les sorciers se rendirent compte de leur erreur. Adam se jeta un sort de protection dès qu’il vit ce qui allait se produire mais ayant perdu de vue Helena il ne put la protéger elle aussi. Il espérait qu’elle avait pu le faire.

Vain espoir. Toute la boutique s’était effondrée. Un chaos de décombres. L’action de la bombe, technologique, ne pouvait pas tuer un sorcier mais les résultantes, si. Et alors qu’on évacuait l’influent Adam Shave hors de la zone dangereuse, et qu’on lui expliquait avec regret que personne n’aurait pu survivre, qu’il était le seul à avoir échappé à cet attentat perpétré par des moldus anti sorciers, il hurlait, ne cessait de hurler, de hurler.


- HELENA !!

Informations annexes & ce qu’il faut savoir pour prendre le rôle

La personne qui prendra le perso expliquera elle même comment Helena a survécu.

De la même façon la personne expliquera pourquoi Helena a attendu tout ce temps pour rechercher Adam.

Dans le passé Helena avait une relation fusionnelle avec Adam tout en refusant de comparer ça à un simple « amour », et partageait son rêve d’unifier les sorciers pour conduire le monde. A titre personnel j’aimerais qu’au moins le second point subsiste.

Helena comme mentionné plus haut est Animagus panthère des neiges mais cela peut être
négociable si l’animal ne convient pas à la personne qui prendra le perso.

Malgré la mort de sa grand père des mains d’un vampire, Helena ne les hait pas et a su différencier les fanatiques des vampires respectables.

En revanche Helena a du mépris pour les moldus.

Je demande un bon niveau pour prendre ce personnage qui me tiens tout particulièrement à cœur.



Avatar : Hautement négociable tant que ça reste le même genre de femme (blonde, pâle, touche aristocratique…)
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Helena Carlton - Disparue à jamais... ou peut être pas

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