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| Sujet: Odâkon_ foul temper. Dim 27 Déc - 15:28 | |
| • Odâkon DaPojan
. | Le joueur derrière a 17 ans mais est déjà vacciné (contre la grippe A), il a choisi David Gandy pour illustrer son personnage, parce qu'il aime jouer les vieux croûtons. Avouez, un mec qui a dépassé les trente ans physiquement sur un forums Rp, on ne trouve pas souvent. Le joueur, vous pouvez aussi l'appeler Patate, quoique tout autre nom de légume ou de féculent sera accepté. Pâtes, poireau ou Navet seront donc acceptés. Patate passe tous les jours sur les forums Rp où il s'est inscrit en temps normal, mais ce n'est pas pour autant qu'il fait un Rp chaque jour, parce qu'à côté, il a une vie de bulot à tenir. Comprenez par là que c'est un gros flemmard. Patate a découvert le forum grâce à PRD, et pense ne pas se tromper en disant que le code règlement est raising hope. d'ailleurs, Patate est nul en anglais et ne sait pas ce que cela veut dire. Que fait du raison sur un forum plein de vampirous ? |
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Je vais vous conter l'histoire d’un homme qui jamais n’eût de chance. Il naquit à l’aube d’un soir, de la chair d’une mère anglaise et d’un père saoudien, dans un hôpital tout blanc et tout gris de Londres, qui sentait le désinfectant et la mort, mais qui aussi donnait la vie. C’était un trois juillet, il y a à présent trente-six ans. Il avait déjà les cheveux noirs comme la nuit profonde, la peau basanée comme son père, les yeux azurin comme sa mère. On ne voyait pas le ciel, aucune fenêtre ne perçait dans la salle d’accouchement. Mais Deidre savait, sans avoir à contempler les autres astérismes, que son enfant était l’étoile la plus coruscante qu’il se pouvait d’être ici, sur cette terre et dans ce ciel. Avec Azerwal, son aimé, Deidre décida d’appeler l’enfant Odâkon Alnilam Altaïr Noho-Loa, et qu’il porterait le nom de son paternel, DaPojan. Ensuite, tous deux firent le vœu que leur enfant soit heureux.
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Dernière édition par Odâkon DaPojan le Lun 28 Déc - 11:29, édité 13 fois |
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| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. Dim 27 Déc - 15:29 | |
| Il était une fois deux chasseurs de vampires, qui s’aimaient éperdument. La belle se nommait Babette, alors que le beau avait pour prénom Odâkon. Ils se connaissaient depuis tout petits, leurs parents ayant étés voisins depuis avant même leurs naissances. Babette était celle qui dirigeait, car la belle avait un atout indéniable - c'était une sorcière. Dès la maternelle, leurs mauvais coups, ils les firent à deux. Casser les jouets préférés des autres, tuer le lapin au fond de la classe, intimider les autres, couper les cheveux des petites filles et casser les nez des petits garçons. Ils n’avaient rien d’humains. Pourtant, l’étaient. Éperdument.
| « On se mariera plus tard, hein ? » « On se mariera, et on aura des enfants. » « Non, pas d’enfants. Ce n’est pas amusant. » « D’accord, pas d’enfants. » « Et tu m’offriras des diamants. » « Oui, et des rubis, et des saphirs. » « Et moi, je t’offrirai… Hm… » « Rien. Ta présence me suffit, Babe. » | Entendre de si belles paroles de la part d'enfants en auraient fait pleurer plus d'un, de cœur. Mais quand on les voyait, allongés dans l'herbe du jardin de la famille DaPojan, Babette découpant un lombric et Odâkon lisant tranquillement les malheurs de Sophie, tous se demandaient quel mauvais coup fomentaient-ils encore. Les deux mouflons n'avaient pas caractère à être sensibles, surtout le brun. Prêt à tout pour épater la rousse, il redoublait de ruse, de méchanceté, d'horreurs. Son intelligence lui servait à faire des plans d'attaques contre tout le monde, sa force lui permettait de les mettre en action. Et plus le temps passait, plus cela empirait. C’était pourtant un charmant petit homme, un gentleman. Il aidait volontiers sa mère aux taches ménagères, et c’était toujours pour lui un plaisir que de classer les livres avec son père, alors libraire. Ceux qui n’étaient pas des proches de la famille s’extasiant devant ses yeux merveilleux et ses politesses. Jamais un mot plus haut que l’autre, des compliments en veux-tu en voilà. Mais c’était pour mieux mettre les gens dans ses poches, qu’ainsi ils lui pardonnaient tous ses facéties. Il n’y avait que les enfants pour vraiment le connaître, les enfants toujours à le supporter en souffrant, et aucun pour se rebeller. La sorcière le protégeait. Oui, Babette était sorcière en herbe, ce qui faisait peur à tout garnement existant. Sauf à Odâkon évidemment, car il était son préféré. Cela aurait pu durer indéfiniment. Mais non. Des plaintes se mirent à pleuvoir, quand vers l’adolescence ils se dirigèrent. Leurs farces de quand ils avaient sept ou huit ans ne passaient plus. Et Babette approchait des onze ans. Il était temps pour elle d’apprendre correctement la magie. D’un commun accord, ses parents l’envoyèrent en Irlande, auprès d’une tante forte en sorts. Mais aussi le plus loin possible de ce jeune garnement qui faisait mal tourner leur fille ! Les DaPojan aussi furent fiers que Babette disparut, car c’était elle la source des tracas de leur fils ! Babette cria, Odâkon pleura. De quel droit pouvaient-ils faire cela ? De quel droit pouvaient-ils décider de ce qui serait bien pour eux. Ils se recroisèrent chaque été, mais ce n’était suffisant. Le brun s’ennuyait horriblement, et une certaine mollesse s’installa en son caractère. Il grandissait, grandissait à en devenir un géant, un géant apollonien. Sa musculature se développa fortement, et si son mignon petit nez prit la forme d’un bec d’aigle, cela ne faisait que rajouter à son charme d’encore adolescent. Et ses yeux ! Toujours aussi bleus. C’est certainement en regardant ces yeux, ces yeux trop bleus que Babette prononça cette phrase, parce que folle, parce qu’amoureuse, parce que ne voulant plus le quitter.
Parce qu’ils ne voulaient plus être séparés. Cela marcha. Ils avaient seize ans, ou peut-être dix-sept, quand Babette mit au monde une fille. Cela fit le tour du quartier, els parents en étaient verts. Plus question de séparer ces deux-là, ils voulaient à deux élever leur enfant. Brune comme son père, avec les yeux foncés de sa mère. Elle avait déjà leur sale caractère, c’en était sûr. Babette ne retourna plus jamais chez sa tante, et prit la liberté d’emménager chez les DaPojan. Ses parents étaient ses voisins, ses beaux-parents sa famille. Elle ne reprocha pas à Odâkon son changement d’humeur, la maternité la chamboula elle aussi. Protectrice, quoique toujours farouche. Et Odâkon qui grandissait, grandissait encore, couvrant de son regard bleu le monde, à un mètre quatre-vingt cinq du sol. Mais sur cette terre maudite, on n’a pas le droit d’être heureux. Dans ce monde, tout doit être démoli, y compris le bonheur. Ne doit subsister le malheur, et encore, on n’a le droit de se plaindre. Deidre, la mère du fils DaPojan, attrapa le Spirit. On ne sait comment. Peut-être par un client, peut-être autrement. Son humeur changea petit à petit, elle devint plus violente, agressive, elle si douce auparavant. Elle s’en prit à l’enfant du trop jeune couple. Tenta de s’en prendre à Babette qui s’interposait. Ne vit pas son fils derrière, qui d’un coup sec l’assomma par derrière la tête. Babette, abasourdie, leva ses yeux vers ceux de son mari. Ils s’étaient mariés il y a peu, à peine leur majorité atteinte. Aucun remord ne secouait son visage. Même si c’était sa mère, ce monstre purulent de Spirit, personne ne pouvait ne serais-ce que menacer celle qu’il aimait. Babette, encore secouée, se jeta pour lui en l’embrassant, ne sachant pas pleurer. La réalité les avait rattrapés.
On s’en va. Derrière eux ils laissèrent Deidre allongée sur le sol. Azerwal n’était pas là, pas encore. Et étrangement, ils laissèrent leur fille. La voisine conta plus tard qu’elle les avait vus s’enfuir en riant, sans aucun bagage à la main, comme s’ils étaient de nouveau des enfants. Odâkon avait peur. Babette aussi. Ils avaient peur tous les deux de ce qui pouvait leur arriver dans cette maison, peur pour eux, aussi pour leur fille, mais là où ils allaient, ils auraient encore plus peur. Ils firent le tour de l’Angleterre, durant ses longues années. Ils étaient chasseurs. De vampires, évidemment. Discrets, leur cavalcade sans fin leur permettait de ne pas se faire repérer. Des adolescents en fugue, pour toujours. Voilà ce qu’ils étaient. Jusqu’à. La fin.
Du crépuscule à l’aurore il la veilla, midi venu elle mourut. C’était allé très vite. Un vampire, un peu trop fort. Une surprise, une chute, un coup, un coup de couteau, des canines, des crocs. Un dernier cri, un homme laissé pour mort. L’hôpital, l’annonce, pas même une larme. Il avait oublié comment on pleure lui aussi. Il avait… Bon Dieu ! Trente-quatre ans. Déjà. Les rides, déjà. Sans même attendre que l’on enterre sa femme, son épouse, son espoir perdu, de nouveau il s’envola vers l’ailleurs. Londres de nouveau l’accueillit. Ce fut penaud, seul qu’il se retrouva devant la librairie de ses parents. Il lui en restait les clefs. Il ouvrit la porte. Rien n’avait changé, mais la poussière s’était installée. Fébrilement, il fouilla au travers des étagères, faisant tomber tous ces vieux livres, des vieux livres jaunis, des vieux livres abandonnés, datant parfois de plusieurs siècles. Rares étaient ceux qui encore lisaient, qui lisaient du Boris Vian, du Molière, des trucs comme ça. Des classiques d’autres époques. Rares sont ceux qui un jour, ont donné une gifle à Odâkon. Une gifle si sonore. Comme le bruit d’un fouet. Une gamine, d’un bon mètre quatre-vingt, qui sur ses talons le dépassait. Elle avait les traits de sa mère, les traits de Babette. Avant même de demander qui il était, elle lui cria que c’était un cinglé, qu’on ne rentrait pas ainsi chez les autres pour tout mettre sans dessus dessous. Odâkon, à son tour, la gifla.
| «On respecte son père, jeune fille ! » | Surprise. Les bras de la jeune adulte en tombèrent, et restèrent par terre. Azerwal était mort il y a peu. Odâkon ne ressemblait plus à grand-chose après ses années de vadrouille, à caracoler après quelques sangsues, pour vendre leur sang. Il s’était préservé du Spirit, de cette chose qui lui faisait peur, l’avait surtout préservée elle, parce que si le brun tremblait, c’était bien pour Babette, et non pour lui. Sa fille, sa fille était là, devant lui. Il s’évanouit.
• Pour clore
. Crétin sur les bords, obtus, souvent méchant, bon danseur mais je le répète, crétin. Se croit plus intelligent que tout le monde, est un vrai snob quand l'envie lui en prend. Chante et danse très bien. Joue du piano et du saxophone. Amateur de jazz et de vieux livres. Maniaque, tout doit être fait à sa manière, sinon rien ne va. Fume beaucoup, est toujours bien habillé. Est solitaire, crise pour un rien, aime se chamailler. S’est avec le temps attendri, n’aspire plus à la violence. Est un pitre, parce qu'il aime faire rire et amuser la galerie. A mit de côté son statut de chasseur, pour être simple humain. Voue une attention toute particulière à sa fille. On le trouve charmant, bien qu’il soit un mécréant. Charmeur, il aime aussi les ragots et ne se prive jamais de nouer de nouvelles amitiés, parce que pour être flatté, rien ne vaut des amis. Porte toujours son alliance de mariage. Est un goupil qui n’est pas prêt de prendre sa retraite. A reprit la librairie de ses parents, tous deux décédés, mais ne vend pas de livres neufs, il est une sorte d’antiquaire qui aime le cuir et les vieilles reliures. Il est capable de s’endormir n’importe où, sauf dans son lit. N'aime pas spécialement qu'on lui parle de son passé, tente de couper les ponts avec tous ceux qu'il a connu avant son retour à Londres. Est toujours là pour donner un coup de main, mais ayant toujours derrière la tête l'idée qu'on lui est par la suite redevable. Dit beaucoup de gros mots, mais boit peu. A un caractère entier qui en rebute plus d'un, c'en est certain.
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Dernière édition par Odâkon DaPojan le Lun 28 Déc - 14:55, édité 10 fois |
| | | Lokhyan Raphaël Dewitt GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become
♦ Lettres Envoyées : 3608 ♦ Crédit : BS* ♦ Citation : "La cruauté est le remède de l'orgueil blessé"
A NEW BEGINNING ♦ Age du personnage: 1125 ans Ϟ 24ans d'apparence ♦ Nouvelle vie:
| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. Dim 27 Déc - 15:31 | |
| Bienvenue Patate( je peux t'appeler tagliatelle? (a)) et merci pour ton inscription ! David Gandy (à moins que tu ne changes de célébrité en cours ou qu'elle soit prise avant toi) t'appartiendra totalement dès que tu auras 50 messages hors rp et 3 messages rp ;D Si tu as une question ou un problème, la boite mp des admins t'es grande ouverte, donc n'hésite pas Bonne chance pour ta fiche, tu as une semaine pour la terminer!
Je me suis permise de fermer une balise dans ta présentation car cela faisait bugguer la page Et le code, en fait, signifie" L'espoir grandi" (ou littéralement " l'élévation de l'espoir" XD) |
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| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. Lun 28 Déc - 9:19 | |
| Tagliatelle, ui ui c'est très bien comme surnom, ça. Et de rien pour l'inscription hein, ça coûte pas grand-chose. On pourra me féliciter quand j'aurais commencé à Rp, muahah. Et j'aime faire buguer les pages, c'est ma grande passion dans la vie, je suis né pour ça. u.U Merci de l'accueil en tout cas. Il n'y avait donc pas d'histoire de levure dans le code. ^-^'
...
*resserre mentalement le nœud de cravate de Lokhyan*
J'ai fini ma fiche. u.u' Pas fameux-fameux, j'espère que cela ira. |
| | | Lokhyan Raphaël Dewitt GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become
♦ Lettres Envoyées : 3608 ♦ Crédit : BS* ♦ Citation : "La cruauté est le remède de l'orgueil blessé"
A NEW BEGINNING ♦ Age du personnage: 1125 ans Ϟ 24ans d'apparence ♦ Nouvelle vie:
| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. Lun 28 Déc - 11:06 | |
| On lit tout ça jolie tagliatelle et on te redis dans la journée (L) |
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| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. Lun 28 Déc - 12:25 | |
| Bienvenue sur le forum |
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| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. Lun 28 Déc - 13:05 | |
| Bienvenue à toi, j'aime bien ton personnage et ta présentation en tout cas. |
| | | Madjulinah P. Cash
♦ Lettres Envoyées : 163 ♦ Crédit : Elisa
A NEW BEGINNING ♦ Age du personnage: ♦ Nouvelle vie:
| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. Lun 28 Déc - 13:50 | |
| Bienvenue à toi! J'ai bien aimé ta fiche, très agréable à lire && En effet, il est habituellement rare de voir un homme de 30 ans et plus choisit comme avatars. Mais tu va voir TSN brise cette tradition =) |
| | | Charlotte Leonhart BLOODY GIRL † Would you Die for me ?
♦ Lettres Envoyées : 3682 ♦ Crédit : Fatal†Error ♦ Citation : What doesn't kill me... will probably kill you.
A NEW BEGINNING ♦ Age du personnage: 432 ans - 18 d'apparence ♦ Nouvelle vie:
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| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. Lun 28 Déc - 15:10 | |
| Merci pour vos salutations, tout d'abord. Mieux vaut que la présentation plaise, c'est quand-même dessus que je suis jugé -ou du moins, mon personnage-. J'aime briser les traditions ! Puis j'ai joué tellement de jeunes que j'ai soudain eu envie de rides, comme certains ont des envies soudaines de frites... Ou de sang. O,..,O << ceci est une tête de mante religieuse. u.u' Je ne sais pas faire des vampires en smiley. (+,,+) ? Hum, on dirait une tête de mort. *voilà, tagliatelle repars dans ses délires étranges...*
Enfin bref, content d'être validé, et j'espère couler des jours heureux parmi vous ! En espérant continuer à faire tripper Charlotte, parce que. (Finir ma phrase ? Pourquoi donc ?)
*va bondir ailleurs* Muahahahahahaha. |
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| Sujet: Re: Odâkon_ foul temper. | |
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