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| Kallistamania ▬ moi j'ai un chien. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Kallistamania ▬ moi j'ai un chien. Dim 21 Juin - 16:27 | |
| © WONDER GIRL
KALLISTA MILANA MOSCOVITCH
« Tu es comme un chat sauvage qui n'en fait qu'à sa tête, tu es très fière et libre mais... Tu portait une blessure incurable. Moi qui suit candide, j'admirais aussi cet aspect de ta personnalité sans savoir combien tu souffrais. » ▬ 2073 - ? ▬
gamine – compliquée – rêveuse – souriante – légèrement folle – maternelle – colérique – extravagante – déterminée – jalouse – rancunière – violente – sensuelle – créative – sensible – réfléchie – trompeuse – sympatique -
- Spoiler:
Soy un perdedor, I'm a loser baby, so why don't you kill me ? Forces of evil in a bozo nightmare, Banned all the music with a phony gas chamber, 'Cuz one's got a weasel, And the other's got a flag, One's on the pole, shove the other in a bag, With the rerun shows, And the cocaine nose-job, The daytime crap of the folksinger slop, He hung himself with a guitar string, Slap the turkey-neck, And it's hanging' from a pigeon wing, You can't write if you can't relate, Trade the cash for the beef, For the body for the hate, And my time is a piece of wax, Falling' on a termite, Who's choking' on the splinters, Soy un perdedor, I'm a loser baby, so why don't you kill me ? Get Crazy with the cheeze whiz ; Soy une perdedor, I'm a loser baby, so why don't you kill me ?
Dernière édition par Kallista M. Moscovitch le Sam 27 Juin - 14:57, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Kallistamania ▬ moi j'ai un chien. Dim 21 Juin - 16:27 | |
| CHAPITRE UN ▬ Et si je te disais que ta mère elle est tellement grosse que sa ceinture, c'est l'équateur ? – Mauvaise pioche, j'ai pas de mère.
Kallista secouait silencieusement sa tête au rythme de la musique qui défilait joyeusement dans ses tympans. Les rues de Moscou n'avaient aucun secret pour elle, la jeune femme s'y sentait tellement à l'aise qu'elle pouvait valser dans toutes les rues de ce gigantesque labyrinthe, rien n'y changerait et elle s'y retrouverait toujours. Son amie, B.B. qui devait la retrouver dans quelques minutes, et elle avaient projeté un coup d'enfer pour cette nuit de Noël. Quelque chose qu'elle avait toujours rêvé de faire. Elle chantonna en murmurant les paroles d'une chanson de Beck, dont elle connaissait les paroles par cœur. Il était assez tard dans le soir, les rues enluminées de la ville éblouissaient son regard et son cœur s'emballait au rythme de la musique. Elle allait repartir à zéro. Elle allait enfin faire ce dont elle avait toujours rêvé. Kallista Milana Droski n'allait plus être Kallista Milana Droski. Elle allait tout lâcher, puisque sa liberté lui avait enfin été donnée. Cela faisait tellement longtemps qu'elle attendait ça. Kallista, ayant vécu dans un orphelinat pour une raison qu'elle avait toujours ignoré – très certainement parce qu'elle n'avait pas de parents, logique – avait souvent été envoyée dans des champs pour travailler pour des pauvres, pour cultiver de la pomme de terre parce qu'elle n'avait pas été sage, souvent envoyée dans le bureau de la mère supérieure pour se faire corriger par une fessée déculottée parce qu'elle avait fait l'école buissonnière en pleine heure de catéchisme, Kallista ne pouvait plus supporter d'être enfermée dans ce trou à rat dans lequel elle avait vécu dix-sept longues années. Elle avait fait tellement de « bêtises » d'après les bonnes sœurs depuis qu'elle savait marcher qu'il paraissait que Dieu l'avait déjà condamné dès sa naissance aux enfers. Peut-être. Kallista n'avait jamais réussi à être croyante – une faute de plus. La dernière fois qu'elle avait commis une « erreur », ça avait été quand elle avait lancé une tomate volée et trop mûre sur le manteau en fourrure d'une femme qui les lui avait bien brisé pendant une visite à l'orphelinat. Cette femme ronde et arrogante l'avait regardé de travers et murmuré dans l'oreille de la mère supérieure qu'il fallait la corriger au plus vite – paraissait-il qu'il ne fallait pas regarder les adultes dans les yeux. Ce soir-là, la mère supérieure l'avait fortement réprimandé car Kallista avait salit la réputation de l'orphelinat avec un simple coup d'œil. Bonne blague. KALLISTA ▬ T'es en retard. DIANA ▬ Désolée. Les deux jeunes femmes se dirigèrent vers le quartier de l'ancien Arbat, où se trouvaient de nombreuses grandes demeures tsaristes et bourgeoises. Kallista commença à se demander si c'était une bonne idée finalement. Mais il était trop tard pour reculer. Elle n'avait plus rien à regretter. Kallista et Diana s'arrêtèrent devant une gigantesque maison à trois étages, au vaste jardin, celui du maire de Moscou. Ce maire ennuyait presque tout le monde, et malgré tout, se faisait toujours réélire à cause de sa richesse. Comme c'était malheureux. Était-ce pour cette raison que les demoiselles voulaient s'attaquer à cette famille et non à une autre ? Enfin. L'orpheline savait qu'il y avait de nombreux jets d'eau dans le jardin, pour irriguer correctement la pelouse. Ça serait encore plus magique.
Cette nuit-là, celle du 1 février 2090, le maire de Moscou aperçut à travers sa fenêtre deux jeunes femmes, nues, qui couraient dans son jardin, en rond, entre les giclées d'eau. Trente ans plus tôt, il aurait certainement remercié Dieu pour ce cadeau du ciel. Cependant, il avait mûri, et ordonna seulement à une bonne d'aller apporter quelques vêtements à ces demoiselles. Le plus étrange fut qu'en un clignement d'yeux, l'une d'elles avait disparu, comme volatilisée tandis que sa camarade semblait la chercher partout.
CHAPITRE DEUX ▬ Kallistamania, ou l'ouragan Kallista.
MERE SUPERIEURE ▬ Tu n'iras pas à Dumstrang. Tu sais pourquoi ? Parce que tu ne le mérites pas. KALLISTA ▬ J'irais là où je voudrais, rien ne vous empêchera de me laisser partir. MERE SUPERIEURE ▬ Tu ne peux pas, tu n'as pas mon autorisation, tu sais ? KALLISTA ▬ Vous irez en enfer pour cette erreur. MERE SUPERIEURE ▬ Je t'interdis ! KALLISTA ▬ Vous avez l'air d'y croire en plus, à votre Dieu et à votre petit charabia. Ainsi soit-il alors. Allez brûler, vous en rêvez déjà... MERE SUPERIEURE ▬ Va ! Va à Dumstrang mais enfin, tais-toi ! Va ! VA ! * DIANA ▬ C'est toi qui est allée demander à Isaak si je voulais sortir avec lui ? KALLISTA ▬ Moi aussi je t'aime. DIANA ▬ MAIS T'ES MALADE ? POUR... KALLISTA ▬ ...Quoi ? Parce que sinon, il m'aurait demandé de sortir avec toi. Ou avec moi. Tu vois ? DIANA ▬ T'es con ou t'es con ? KALLISTA ▬ Hum... Laisse-moi réfléchir... Chu con. DIANA ▬ T'as que ça à faire de la vie ? KALLISTA ▬ On dirait bien. DIANA ▬ De toute façon, il me préfère. KALLISTA ▬ Félicitations. Diana alluma une cigarette. DIANA ▬ T'as bien fait. KALLISTA ▬ Tu vois ? DIANA ▬ Ouais. KALLISTA ▬ Dis « t'es la meilleure Kallista ». DIANA ▬ T'es la meilleure Kallista. * ISAAK ▬ Je... Je t'aime Kallista. KALLISTA ▬ Ta gueule Isaak. ISAAK ▬ Je... Je suis sérieux... KALLISTA ▬ Tu perds la tête Isaak. ISAAK ▬ Je... KALLISTA ▬ Tu es fatigué Isaak. Va dormir, et tu oubliras tout demain matin. Il s'approche d'elle. Elle recule et fronce des sourcils. Il baisse les épaules, comme dépité. Elle s'avance et lui tapotte la tête. Il la serre dans ses bras, ce qui la rend mal à l'aise. Et si Diana arrivait ? ISAAK ▬ Laisse-moi rester avec toi jusqu'à la fin de mes jours. KALLISTA ▬ Tu ferais mieux de te reposer Isaak.
Dernière édition par Kallista M. Moscovitch le Dim 9 Aoû - 20:45, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Kallistamania ▬ moi j'ai un chien. Mar 23 Juin - 13:36 | |
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| | | Charlotte Leonhart BLOODY GIRL † Would you Die for me ?
♦ Lettres Envoyées : 3682 ♦ Crédit : Fatal†Error ♦ Citation : What doesn't kill me... will probably kill you.
A NEW BEGINNING ♦ Age du personnage: 432 ans - 18 d'apparence ♦ Nouvelle vie:
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| Sujet: Re: Kallistamania ▬ moi j'ai un chien. | |
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| | | | Kallistamania ▬ moi j'ai un chien. | |
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