|TERMINE|ANDROPOV IRINA A| Que les apparences soient belles, on ne juge que par elles ||

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Citation de Roger Bussy-Rabutin

|TERMINE|ANDROPOV IRINA A| Que les apparences soient belles, on ne juge que par elles || Vavaa23

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LA LISTE DE SCHINDLER

Spoiler:

Vous est-il déjà arrivé de jeter un regard sur votre vie passée, vos échecs et vos succès avec une pointe de nostalgie ou de regret ? Il paraît que c’est ça : se remettre en question et qu’il est nécessaire d’apprendre de ses erreurs pour avancer et grandir. C’est une façon de mûrir, paraît-il. J’en suis incapable. Je ne suis qu'une obstinée.

Certes, bien avant mon statut vampirique, j’ai toujours su que j’étais une bizarrerie. Les seules fois où j’ai regardé derrière moi, je me suis adulée pour mon habileté à trouver des solutions en créant aux autres des problèmes, je me suis enorgueillie de mes tours de passe-passe qui m’enlèvent des épines du pied et surtout, je me suis déifiée de pouvoir obtenir tout ce que j’attends des uns et des autres sans trop m’impliquer. Et aujourd’hui ? Que m’arrive-t-il ? Dans mon antre, j’accepte et je cohabite. Je me plie aux règles qu’on m’impose sans rechigner. Mon obstination me fugue et rejoins à toute jambe ma sensibilité. Je pensais pourtant l’avoir bien domptée derrière ma plus fervente passion : La musique.

Je m’appelle Irina et j’ai toujours été incapable de prendre part à la vie des Hommes si je n’y trouve aucun avantage. J’ai plus d’un siècle et je demeure incapable d’aimer plus de quelques mois. J’ai dix-neuf ans d’apparence et je suis sans scrupule. J’élabore des stratagèmes ingénieux pour rallier les autres à mes désirs.

Je m’appelle Irina Anna Andropov et de toute mon existence, je ne me souviens pas m’être déjà remise en question depuis ce jour. C’est douloureux et inquiétant. Tellement inquiétant. Je regrette ne pouvoir pleurer.

Miroir, mon beau miroir, toi qui ne mens jamais. Rassure-moi ou tue-moi. Suis-je à la hauteur de ma propre vie ? Ô Miroir, mon beau miroir, toi qui ne mâche pas tes mots, confie-moi tes maux. Aide-moi ou abats-moi. Je m’accroche à mes souvenirs, m’agrippe à cette nuit de ma petite mort, je m’enracine à mes certitudes. Certes, mais devant ces autres, rends cette apparence de femme forte et impassible. Rends-moi mes illusions, car ils ne jugeront que par elles.

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Que préfères-tu,
celui qui veut te priver de pain au nom de la liberté
ou celui qui veut t'enlever ta liberté
pour assurer ton pain ?

Albert Camus

J’endigue ma vaine fuite, ma fuite sans autre poursuivante que ma propre folie. Haletante, épuisée, Moi, Irina, être famélique, me laisse glisser contre la pierre bleue devinée froide d’un bâtiment ancien des rues de Moscou. Nous sommes un 22 septembre et il est dix-neuf heures quand je sombre dans l’inconscience de mes divagations. Je reste immobile, les mains et les pieds dans la neige recouvrant le sol de mon pays et j’ai le regard vide. J’ai peur. Je n’ose délaisser ma place. Je suis en sécurité, ici, à l’abri des regards humains. J’enlace mes propres bras. Je tente de me réconforter, mais c’est inutile.

Mes muscles sont contractés et mes membres engourdis. Engourdis comme si le froid glacial de cette soirée enneigée perçait le marbre de ma peau, engourdis comme si j’étais l’humaine d’antan, sensible aux chaleureuses flammes d’un feu de bois crépitant dans l’âtre d’une cheminée. Or, il ne fait ni chaud ni froid dans mon corps de vampire. Pourtant, il souffre. Il souffre de cette carence sanguine. Pas étonnant que si peu d’entre nous n’osent déserter les pharmacies. Tant que mon sang irriguait encore cette camisole chimique à travers toute ma personne, je pouvais supporter d’être privée de sang. Mais aujourd’hui, je suis nettoyé de toute impureté et mon corps braille. Il réclame sans rémission de l’aide à ma raison qui lutte pour conserver un minimum de discernement. Cette bataille incessante livrée entre ma chair et mon être s’éternisera des heures, des jours et des semaines. Elle s’éternisera jusqu’à me rendre folle. Je perdrai pied. Des violents tremblements agiteront mon corps. Je suerai à grosses gouttes. Mes sueurs seront froides et je croirai mourir. J’aurai peur, très peur de voler une vie. Je ne trouverai plus la force de demander à l’aide, plus la force de me tenir debout, plus la force de marcher. L’arôme des êtres humains me deviendra insoutenable. Je serai habitée d’ardentes crampes et je donnerai n’importe quoi pour qu’on me soulage, pour qu’on me vienne en aide sans appeler. Mon être sera mis en échec, ma volonté fondra comme neige au soleil. Mes promesses voleront en éclat. Je trouverai un rat, volerai un chat et détruirai son maître par dépit. Mes douleurs se dissiperont alors. Mes craintes s’enfuiront. Je serai bien….enfin…. Je serai aussi fort qu’un lion et dans mon paradis artificiel, terre plane sans montagne et sans caillou, plus rien ne pourra jamais m’atteindre. Je serai la reine des hommes et le maître du monde. Quel tableau.

Que ma vie serait douce sans ce traitement. Je ne rêverais de gloire, de vengeance ou d’êtres humains. Je maîtriserais ma force, mes envies, ma vitesse, ma magie et j’étancherais ma soif par le sang animal : Aucunement agressive, aucunement violente, aucunement dangereuse. Nul humain ne mérite le châtiment du rejet. Je vivrai heureuse d’être moi, sans frontière, sans barrière, sans limite sauf peut-être, celles de ma conscience. Devant le cancer, l’homme bat retraite. Il m’a laissé mourir. Et aujourd’hui ? Alors que je suis saine de corps et d’esprit, il prétend vouloir me soigner ? Mais de qui ? De quoi ? De leur bêtise ? De leur ignorance ? De leurs propres peurs ? De leurs propres questions ? De leurs propres incompréhensions ? N’est-ce pas injuste. Plutôt qu’apprivoiser leur appréhension, ils les brident. Mais, la baguette d’un sorcier n’est-elle pas plus à craindre que ma vigueur herculéenne ? L’Avada Kedavra n’est-il pas plus meurtrier que mes inexistants crocs ? Dieu que je hais cette médecine. Que je la déteste. Je la déteste presqu’autant que ce sol heurté de mon poing brisé refusant de se fissurer.

De mes cheveux dégoulinent déjà de lourdes gouttes d’eau, la pluie tombe et le tonnerre gronde. Ferais-je la météo ? A cette idée, j’esquisse un sourire. J’inspire une énorme bouffée d’air et enfin, je prends la décision de quitter mon assise inconfortable. Il me faut voir mon sage. Alexei. De son expérience de la vie nait des paroles aguerries. Elles sauront me raisonner et m’apaiser. J’abandonnerai mes réfutations à cette pharmacie, à ce poison, à cette prison. Je m’abandonnerai toute entière et dormirai tout le jour du lendemain. Je me redresse alors. Inspirant l’air souillé des grandes villes et je quitte mon appui de pierre pour retrouver les miens.

Soudain, une terrible douleur me paralyse. Mon estomac me fait souffrir. Est-il de pierre ? Pourquoi est-il si lourd à porter ? J’ai la nausée. La fragrance des humains m’est intolérable. Elles chatouillent mon nez et je grimace. Je suis un animal affamé et apeuré. Parmi l’odeur pâtissière des diabétiques, le parfum salé des adolescents, les effluves laiteux des femmes enceintes et les relents enivrants des alcooliques, je distingue l’exhalaison de ma propre hémoglobine. Qu’ai-je fait ? D’un furtif coup d’œil sur ma main souillée de sang séché, j’écarquille grand les yeux. Une plaie ouverte se soigne déjà. Lentement mais sûrement. Tendue, immobile et pantelante, je nettoie de mon pied droit le sol foulé de ma main. Une cavité de la taille de mon poing l’entaille légèrement. Suffit-il de quelques mois seulement pour retrouver mes sens ? Est-ce pour cette raison que l’odeur du sang humain me donne la nausée ? Je cognai le macadam de ma force à moitié retrouvée et je me blessai. Je me blessai telle une humaine. Est-ce seulement possible ?

J’hume trop…Dans mes veines se répand alors une méprise : L’illusion d’être invincible. Un pesant silence s’installe. Mes défiantes prunelles reflètent la lumière tremblotante d’un réverbère, dessinant au sol, vacillante telle la flamme d’une bougie au vent, l’ombre cambrée, figée et aux aguets de mon corps décharné. Plongé dans le noir, les coups de klaxons des conducteurs pressés, le tintement des talons des femmes sur le macadam, les piétons hélant un taxi jaune d’un sifflement ne suffirent à m’éloigner de ma décision. Je m’observe en chien de faïence. Je contemple les ravages de cette découverte sur mes traits sévères dans une flaque d’eau croupie. Les tempes tremblantes, la lèvre retroussée, je ne peux plus traîner. Quiconque me trouverait me châtierait d’avoir désobéi aux règles. Je pue le vampire non traité à plein nez.

Il est 22 heures. Je suis inquiète et inquiétante. Errant dans les artères de Moscou, une voix mélodieuse tinte telle la clochette de la liberté à mes oreilles. La voix de Saskia. La voix de cette sœur qui, une nuit d’arcane, me promit son oreille à jamais. Elle n’est pas la pourtant. Elle n’est pas autour de moi. Je m’empresse donc de la rejoindre, tentant de maîtriser mon pas malgré ce déchirant besoin de laisser mes jambes exprimer leur nouvelle liberté. Impossible à dompter. Je cours. Je cours vite, très vite. Je suis véloce et ignore le danger. Je cours à en perdre haleine. Alors, l’air n’atteint plusmes poumons mais je ne risque rien à en être privée. L’obscurité ne m’handicape en rien, mes réflexes n’en souffrent point, je suis à nouveau moi. Je suis à nouveau entière.

E : Halte-la.

On m’interpelle et j’interromps ma course effrénée. Mes noirs cheveux s’abattent, désordonnées dans mon dos. Ma tresse africaine n’est plus que l’ombre d’elle-même. Mon regard cramoisi se pose sur les traits fatigués d’un inconnu subjugué par mes lèvres vermeilles et mon diaphane teint reflétant les rais argentés de l’astre lunaire. Je m'amuse de mon charme et je soutiens cette prunelle agressive sans me soucier de mon sort. Je n’ai rien à craindre. Rien d’autres à penser qu'envoûter cet homme vétû d’une modeste robe de sorcier mauve et jaune.

E : Andropov ou non, vous devez vous plier au traitement.

Je me raidis, tétanisée. Cet homme m’est inconnu. Je le supplie de me répondre mais, il disparaît dès que des bras forts sans porteur m’enlacent de toute part. Je lutte et me débats mais, c'est inutile. Ils sont plus forts que moi. Je suis piégée. J’essaie d’appeler, d’appeler à l’aide mais ma voix reste prisonnière de ma jugulaire. La panique prend possession de moi, ma vue se trouble, ma respiration se coupe et mes esprits s'assèchent. J’oublie. J’ai peur, peur de mourir et je tape du pied....mais dans le vide. J'attendais pourtant le sol rigide. Il ne persiste que néant. Ce néant qui m’attire inexorablement vers une chute infinie. Mon cœur bat pour la première fois depuis des siècles. Il se retourne. Ma peur s’accentue. Mes mots sont mort-nés. Je ressuscite pour mourir une seconde fois. Que m’arrive-t-il ? La descente est longue, lente, interminable. Je ferme les yeux. J’attends la mort. Je baisse les bras et j’ai des remords. Tête la première, je plonge dans un aquarium de verre remplis d'eau. L’eau est fraîche et le choc est rude et je m’éveille dans un effroyable cri qui alarmera les miens. Sans aucun doute.

Est-ce que tu as terminé ?

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Bienvenue !! =)

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Bienvenue et bon courage pour la suite =)

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Bienvenue à toi =)

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Satine, Ricochet et Olympe. Merci pour vos messages de bienvenue.

______

Charlotte.
Après avoir relu, corrigé (je pense), ajouter les détails manquants, je pense avoir terminé.
J'espère combler vos attentes, obtenir le rôle (avec Christina bien que j'en changerai s'il le faut.) et surtout, avoir bien saisi les subtilités de votre type de fiche (fort original mais sujet à nombre de frayeur )

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Bienvenue!!
OMG Christina |TERMINE|ANDROPOV IRINA A| Que les apparences soient belles, on ne juge que par elles || 371365

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très bon choix Very Happy

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Merci Imogen.
Je l'aime aussi beaucoup. Je la trouve indéfiniment vampirique pour une humaine.

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Je suis tout à fait d'accord^^ je l'ai su dès que je l'ai vu petite dans la famille Addams (la référence Very Happy

)

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Vaut mieux Adams que Casper hein.

D'accord
Nous allons donc attendre que l'autre Irina termine sa fiche, puisqu'elle l'a commencée, et nous choisirons ensuite.
Si elle mettait toutefois trop de temps, nous te ferons parvenir notre réponse. Désolée mais il va maintenant falloir patienter un peu

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Oh.
Pas de problème. J'avais compris que c'était à celle qui finissait (cf message effacé de Box&shock) sa fiche la première mais, ce n'est pas un problème pour moi d'attendre.

Pour le moins, j'imagine qu'il n'est rien à modifier sur ma fiche ? Ou alors, peut-être attendez-vous que les deux fiches soient postées pour vous décider.

Et une dernière question, considérez vous les fiches sur le niveau d'écriture ? Car...si la longue venait à jouer un rôle, je me considèrerais un peu lésée compte tenu que ma fiche est postée. Tu vois ou je veux en venir?
Ma question peut parâitre bête mais, si cela entrait en ligne de compte, j'ajouterai bon nombre d'informations à ma fiche. Les idées ne me manquent nullement

Hum. Si deux personnes s'inscrivent pour le même post vacant et que l'une d'elle termine sa fiche alors que l'autre ne l'a pas commencée, la première serait validée pour peu qu'elle est cernée le rôle.
Or ici, l'autre Irina a déjà posté. Et, effectivement, nous attendons de lire les deux pour nous décider

Je demanderai quand même confirmation à Lokhyan, si ça se trouve je dis des bêtises. Mais de toute manière, l'attente ne sera pas excessivement longue

Tu peux encore modifier ta fiche si tu le souhaites tant que l'autre Irina n'a pas terminé, mais je pense que tout y est.
Nous jugeons sur le niveau d'écriture et sur la façon dont vous aurez cerné le personnage, et non sur la longueur (je suppose que c'est ce que tu as voulu dire ?)
Lokhyan me corrigera si j'ai raconté de la bouse

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Ah ben ma foi, je pourrais presque m'allier à ta subtile nuance si je n'étais pas un peu de mauvaise foi. Elle a juste poser une citation après tout. Je pourrais l'être un peu non ? *Sifflotte*

Blague à part, tu as très bien compris ma question. (Lokhyan, ta tension n'a rien à voir, je m'exprime mal, la preuve en est )

Je ne toucherai plus à ma fiche. Si qualité ne rime pas avec quantité, je crains qu'un quelconque détail supplémentaire ne la rende ennuyeuse (en espérant qu'elle ne l'est pas déjà)

Merci pour toutes les précisions. Ce n'était pas des contestations hein, juste éviter toute déception née d'un malentendu. Je préfère perdre Irina pour ne pas être à la hauteur, plutôt que par gêne de vous questionner.

Tu seras repartie dans l'heure, après reflexion ta fiche est superbe et l'autre n'a pas commencé a la rmeplir, donc je prefere que tu sois validée de suite, pour ne pas que tu perdes de temps!

Pas de soucis pour les questions, on est aussi là pour y répondre

Ta fiche est vraiment magnifique. Nous pensons que tu as bien compris le personnage. Christina Ricci n'est en aucun cas un problème, au contraire Nous avons voulu donner des idées d'avatars mais pas des obligations pour que les membres puissent choisir et prennent les personnages pour leurs caractères.

Donc, pour résumer, tu as le rôle

Et je trouve que tu as une très belle écriture
Validée.

Invité Invité

AHHHHH

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Merci à vous.
Je suis vraiment ravie. Ravie que ma fiche vous ait plus, ravie d'avoir le rôle.
Je fais des bonds sur ma chaise. Je lorgne le personnage depuis hier soir

J'espère réellement être à la hauteur.

Merci pour vos compliments sur mon écriture, ma fiche, votre patience....
Ce type de présentation est faite pour moi qui aime décrire les sentiments intimes de mes personnages (négligeant parfois les descriptions alentours d'ailleurs)

J'attends donc avec impatience l'heure de la répartition. (Juste le temps de souper. Si c'est pas merveilleux)

Et merci encore

Ca fait surtout plaisir d'avoir des rplayers aussi doués (L)

Voila tu es reparties, et la Russie et ta maison s'ouvrent à toi (L)

EDIT- Ta maison sera choisie lorsqu'on changera de pays, et donc que tu ne seras plus consideres comme "un accueillant Andropov"

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Douée ?
Moi ?
La, vous allez me mettre mal à l'aise. *Se cache*

Je file faire connaissance avec le forum, sa disposition, ses catégories et je commencerai à RP très vite. C'est promis.

Merci encore.

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