| Sujet: Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ; st ange. uc Jeu 28 Mai - 19:40 | |
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"Once Upon a Time..."
—Nom—Prenom. St. Ange Cassili autrefois connue sous le nom de Marie-Sophie Béatrix de France. —Age. C'est une jolie nymphe de deux cents vingt deux ans qui à l'apparence d'une jeune fille en fleur. —Année. sixième année —Catégorie . vampire moldu —Traits de Caractère. —Informations Supplémentaires.
"And There was a Story..." —When I was Young. Marie Sophie Hélène Beatrix de France (1786-1787), dite "Madame Sophie", fut le dernier des quatre enfants du roi Louis XVI et de la reine Marie-Antoinette. L'annonce d'une nouvelle grossesse avait été, pour la reine, une réelle surprise : elle venait tout juste d'offrir un second fils à la France (le futur Louis XVII) et semblait ne plus désirer d'enfants, ayant déjà donné deux "mâles" aux Bourbon. Dès sa naissance, la petite princesse, de taille supérieure à la normale, fut la fierté de ses parents et un réconfort pour sa mère, attaquée de tous côtés. Malheureusement, de santé fragile, victime de la tuberculose ou d'une autre infection, l'enfant mourut le 19 juin 1787. Marie-Antoinette se verra inconsolable par la perte de sa "petite Sophie" et Louis XVI profondément attristé. source wikipédia
« Madame Sophie, poupée au teint d’opale, diamant de Versailles, joyaux de la révolution. On te proclamait déjà Madame alors que tu atteignais difficilement tes un an, peut-être à cause de la beauté de tes lèvres carmines ou la sérénité qui dansait dans tes grands yeux sombres. Alors que les amies de ta mère finissaient égorgées au détour des ruelles, que ton père quittait son règne fastueux pour les trottoirs au milieu des badauds, toi, tu commençais à vivre. Silencieuse, tu contemplais un monde que tu connaissais à peine changer pour le pire. Pour la destruction de ta lignée, pour l’annihilation de ta famille. Tu sentais les rouages de la révolution se mettre en place, mais tu ne fus pas la seule. Marie Antoinette, tendre mère, savait que le vent était entrain de tourner et qu’il vous menait droit vers les rochers tranchants de la guillotine. Elle devait faire quelque chose, sauver ce qu’il restait à sauver. Pour tes frères et ta sœur , c’était trop tard. L’attention était braquée sur eux, mais toi, toi la petite malade, la madame Sophie, l’héritière au cœur fragile elle pouvait changer les choses. Elle te fit déclarer morte le 19 juin 1787, sans rien dire à ton père, elle imagina la fuite la plus poignante de l’histoire. La cour pleurait la princesse âgée de quelques mois, alors qu’à l’aide d’une servante tu rejoignais la Suède. Ce fut l’amant de ta mère qui te recueillit, le comte suédois Hans Axel de Fersen, il était aussi beau et charismatique que ton père était fade et ennuyeux. Quand tu fus âgée de deux ans, ta famille s’éteignit mais pas la lignée des Bourbon. Non. Tu le sentais courir en toi le sang, bouillir dans tes veines, les Bourbon n’ étaient pas mort. Louis, Marie-Antoinette, Marie Thérèse, Joseph, Charles: ils vivaient tous en toi. Derrière tes battements de cœur se cachaient les leurs.
En 1810, tu fus âgée de vingt quatre ans et la mort flirtait toujours autant avec ta santé fragile. Pourtant cette année là, ce fût Axel qu’elle enlaça dans ses bras osseux. Après t’avoir arraché ta famille, elle venait te voler ton deuxième père. Le cœur au bord des lèvres, l’âme prête à chavirer, tu te mis à fréquenter les cercles de jeux que ton comte suédois avait fréquenté avant toi. Tu découvris ces hommes et ces femmes de la nuit qui s’amusaient de rien et riaient de tout. Tu aurais aimé avoir leurs légèretés, leurs forces, mais tu n’avais rien de cela. Rien qu’un nom qu’on ne prononçait plus et des origines calcinées au plus profond de ta mémoire. Tu n’avais rien à perdre et c’est peut-être pour cela qu’ils t’avaient choisie.
Ils te voulaient éternelle. Et tu voulais comme eux que la nuit te rende belle, que la maladie ne te fasse plus frissonner et que quitte à ce que ton âme t’abandonne qu’elle le fasse quand tu l’aurais désiré. Katarina Valisena de Fersen fut retrouvée morte, vidée de son sang, à l’aube de ses vingt quatre ans. Encore une autre que tu quittais. Tu n’étais plus Katarina, tu n’avais jamais vraiment été Madame Sophie. Tu n’étais qu’une fille de la rue qui avait tout la vie pour s’apprendre.
Tu traversas les siècles sans que le temps n’altère ta beauté pale et la profondeur des ténèbres qui s’écoulait de tes yeux. Tu quittas la Suède en 1812, deux ans après ta transformation, pour fuir les campagnes Napoléoniennes qui ravageaient l’Europe. Tes nouveaux amis étaient amusés par ton impudence et ta colère de jeune vampire. Comment tes enfants, les français, pouvaient ils te chasser de ta terre d’exil, de ton Eden?
Après un voyage tumultueux, l’Ecosse vous tendit les bras et en son sein tu retrouvas la chaleur d’une terre. Comme les humains, les liens se font et se défont. Tu te trouvas seule, mais c’était ton choix, n’est-ce-pas ? C’est toi, cruelle femme, fille de Satan, qui le 09 Novembre 1831 tua sans remords Gabriel Arbrown, Elisa Zweig, Mélio Barbery et Sasha Maiden : tes créateurs. Le lien du sang était fort mais l’envie de carnage surpassait tout. Tu n’avais jamais pu te résigner à te contenter d’animaux quand tu pouvais fondre tes dents dans le corps des hommes.
La solitude ne t’avait jamais effrayé mais tu étais une femme du monde, tu avais besoin de briller dans les yeux de tes amants d’un soir, pour combler le creux dans ta poitrine. C’est pour ça que tu décidas de repartir pour la France en 1914. Tu habitas dans un modeste appartement près de Versailles et quand la nuit étendait son manteau épais sur Paris tu quittais ton nid pour ravir le dernier souffle des belles qui se languissaient de leurs soldats. Tu restas jusqu’à la fin de la guerre, pour en attendre une autre. Tu partis en 1940, sous les bombardements, lasse de voir les hommes se déchirer. Tu restas quelques temps en Suisse avant de joindre à nouveau l’Ecosse.
Tu rachetas le château que tu avais habité autrefois. Fersen t’avais laissé beaucoup d’argent et tes anciens amis n’avaient pas eût le temps de réclamer le leurs. Tu te retrouvais riche dans un pays que la paix embrassait sans pudeur. Du moins c’est ce que tu pensais, jusqu’à cette année 2008, cette année de terreur.»
—And Now. Nous vous demandons, une anecdote, concernant la période de vos études avant Poudlard, lorsque votre départ pour differents pays vous a été annoncé. Vous pouvez aussi parler de vos premiers jours dans votre nouvel école en Inde. Minumum 20lignes COMPLETES (les dialogues ne comptent pas.)[/list] |
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Charlotte Leonhart BLOODY GIRL † Would you Die for me ?
♦ Lettres Envoyées : 3682 ♦ Crédit : Fatal†Error ♦ Citation : What doesn't kill me... will probably kill you.
A NEW BEGINNING ♦ Age du personnage: 432 ans - 18 d'apparence ♦ Nouvelle vie:
| Sujet: Re: Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ; st ange. Lun 1 Juin - 10:05 | |
| Bonjour et bienvenue ici
Merci de mettre l'état d'avancement de ta fiche dans le titre du sujet, qu'on ne passe pour rien. Bon courage pour la suite |
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Lokhyan Raphaël Dewitt GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become
♦ Lettres Envoyées : 3608 ♦ Crédit : BS* ♦ Citation : "La cruauté est le remède de l'orgueil blessé"
A NEW BEGINNING ♦ Age du personnage: 1125 ans Ϟ 24ans d'apparence ♦ Nouvelle vie:
| Sujet: Re: Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ; st ange. Ven 12 Juin - 20:59 | |
| Déplacée |
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| Sujet: Re: Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques ; st ange. | |
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