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when I saw your tears ; elliot

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when I saw your tears ; elliot Vide
MessageSujet: when I saw your tears ; elliot when I saw your tears ; elliot EmptyMar 7 Avr - 22:25

    Allongée sur mon lit, je fixais le plafond de mes grands yeux azurs. Je n'arrivais pas à dormir comme la plupart du temps. Depuis mon arrivée à Poudlard plus rien n'était pareil. Je me sentais différente des autres. J'étais une moldue et je m'efforçais de l'oublier. Seulement j'y pensais sans cesse. Jour et nuit. Mes nuits étaient agitées. Je n'arrivais pas à fermer l'oeil et j'étais toujours dans mes pensées. Des pensées guère très réjouissantes. Les moqueries des autres élèves à mon égard n'avaient toujours pas cessé. Leur amusement semblait même augmenter de jour en jour. Et dès que j'essayais de fermer l'oeil, je voyais cette scène horrible à laquelle j'essayais de ne plus penser depuis que c'était arrivé. Je voyais cet homme au visage inconnu, un sourire pervers aux lèvres se pencher sur moi. J'avais l'impression de revivre la scène chaque nuit, chaque minute, chaque seconde. Cela m'était insupportable. Trop insupportable. Tellement insupportable que les larmes ont roulé sur mes joues pendant quelques secondes. Je pleurais en silence comme chaque nuit. Faible que j'étais. Comme j'aurais voulu être quelqu'un d'autre. J'enviais toutes ces sorcières qui ne savaient pas la chance qu'elles avaient. La chance que je voulais avoir. Malheureusement pour moi devenir sorcière était impossible. Cela ne s'apprenait pas. Mais je croyais toujours aux miracles. Je pensais que tout pouvait toujours arriver. Que tout pouvait toujours changer. J'incarnais la naïveté à la perfection.

    J'en avais assez. Assez de fixer le plafond de mes prunelles myosotis tandis que des ombres me traversaient l'esprit. Je me suis levée enfilant juste un large pull chaud au dessus de ma robe avant de descendre vers la salle commune. La salle était plongée dans un noir intense et pourtant je sentais comme une présence. Et j'avais vu juste. Je distinguais une silhouette la tête entre les mains qui avait l'air aussi mal en point que moi. Cette personne pleurait. Le plus étonnant c'était que c'était un garçon. Et pas n'importe lequel. Elliot. Même si je ne voyais rien je l'avais reconnu, il avait quelque chose qui faisait que je savais de suite que c'était lui. Je n'en croyais pas mes yeux. Lui en train de pleurer. Je m'étais toujours demandé ce qu'il faisait chez les opales. Toujours violent. Blessant. Il ne valait pas mieux que les autres. Il était même encore pire. Je n'étais pas prête de lui pardonner ce qu'il m'avait fait subir. En fait c'était la personne que j'avais le moins envie de voir cette nuit-là. J'aurais voulu courir et retourner dans mon lit aussi vite que possible. Mais quelque chose m'en empêchait. Il semblait différent. Etrangement différent. Et cela m'intriguait plus que tout. Je me suis assise en face de lui. J'ai vu sa tête se lever vers moi et ses iris brillants s'ancrer dans les miens. Son regard aussi était différent. Il n'y avait aucune haine. Juste de la tendresse, de la tristesse et une certaine sincérité.

      ELECTRA ; suis-je en train de rêver où Elliot Duberlay pleure ?

    Il n'y avait aucun sarcasme, aucune moquerie dans ma voix. C'était une voix douce, qui se voulait gentille. Bien qu'au fond sonnait un peu de rancune que je n'arrivais pas à dissimuler totalement.
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when I saw your tears ; elliot Vide
MessageSujet: Re: when I saw your tears ; elliot when I saw your tears ; elliot EmptyJeu 9 Avr - 17:52



      YOU DON'T KNOW ME AT ALL.


    Un débat se déroulait en son fort intérieur. Spirit. Elliot. Le premier contrôlait le second et pourtant le second n’avait pas dit son dernier mot au premier.
    Le dortoir était désert. Il n’y avait pas un chat. Le soleil perçait derrière la fenêtre légèrement ouverte sur l’extérieur, et laissait entrevoir un ciel dépourvu de nuages ce qui était plutôt rare pour la région. Et pour la période. Pourtant, le moral d’Elliot était au plus bas. L’esprit se faisait pressant, insistant et il avait de plus en plus de mal à refaire surface, à reprendre possession de son corps, de ses pensées, de ses émotions. Ses yeux possédaient des nuances argentées qui s’affirmaient, les grands yeux bleus semblaient avoir prit congé de lui. Rares étaient devenus les moments de lucidité, où il parvenait à être assez fort. Et il se maudissait.

    Ses prunelles grises observaient les rideaux d’un jaune profond et d’une propreté exemplaire. Pas une seule poussière n’y résidait. Ses pensées étaient tout autres, pourtant. La menace était palpable à travers son regard brumeux et pourtant, il y avait ces dixièmes, ces centièmes de secondes durant lesquelles le bleu renaissait. L’espoir était presque permit. Une certaine confusion régnait dans son esprit. Le Spirit ne le laissait pourtant pas faire, le forçant à se soumettre à lui : et Elliot luttait, il luttait toujours. Il essayait de reprendre assez de force pour lever juste un bras. Serrer son poing. Bouger le petit doigt. Rien. Le néant, même pas l’once d’un mouvement. C’était médiocre et Elliot abandonna un moment la partie. Durant ces secondes où le Spirit n’a plus eu à se préoccuper du garçon, le corps de l’adolescent se leva et se dirigea lentement, dans une démarche fière et assurée, jusque le mur à l’opposé de la pièce. Quand il s’y arrêta, devant son reflet perceptible dans le miroir, son expression se durcit. Et Elliot réapparut soudain.

      ELLIOT - NOOON.

    Le son était sortit naturellement des lèvres charnues du garçon. Un simple cri. La seule différence résidait dans le fait que le Spirit n’en était pas à l’origine. Les prunelles argentées se figèrent alors et tournèrent en un bleu plus prononcé, plus intense que le gris sombre et désormais ordinaire. Le combat devint plus fort, les deux parties se démenant à forces égales. Soudain, le poing d’Elliot frémit et il frappa un grand coup sur le miroir face à lui. Le bruit ne fut pas à la hauteur de la puissance de l’acte. Le coup fut si violent, si fort, qu’à cet endroit la surface lisse du miroir se brisa, laissant le sang perler à grosses gouttes sur les jointures devenues blanches du garçon. Ses pupilles n’arrêtaient pas de changer de couleur, virant de l’argenté au bleu plus ou moins fort, tandis que l’esprit devenait plus confus encore, plus embrouillé. Les maux de tête auraient suffit à en abattre plus d’un et pourtant Elliot se battait de toutes ses maigres forces. Et alors, enfin, le bleu finit par l’emporter. La quiétude prit place sur son visage, abandonnant ses nuances menaçantes. Le Spirit le laissa reprendre possession de son corps, ce dont il avait rêvé depuis si longtemps, enfermé dans ce corps qu’il ne contrôlait plus. Il observa ses mains un moment, ses jointures ensanglantées. Ses doigts vinrent caresser les perles de sang et ses sourcils se froncèrent. Il posa son regard sur son reflet, dans le miroir brisé et y aperçut l’ombre d’un garçon qui semblait faible. Ses cheveux étaient en bataille, ses yeux bleus voilés de tristesse affichait un air soumis, las, épuisé. Le visage d’un homme qui luttait de toutes ses forces pour survivre. Il agita la main, se tourna, se dirigea vers sa table de chevet dont il ouvrit le premier tiroir, cherchant à tâtons un paquet de mouchoirs. Une fois trouvé, il se frotta énergiquement la main. Le mouchoir devint vite maculé de sang et il jeta dans une poubelle. Soudain, il se figea. Il agita la tête, de droite à gauche, et se jeta quasiment sur sa valise. Il en sortit chaque élément, chaque babiole qui s’y trouvait pour la trouver. Il devait y en avoir une. Il ne serait pas partit sans. Il chercha, fouilla dans les moindres coins et recoins avant de la trouver. Dans la poche intérieur. Il la prit et l’observa intensément.

    Des larmes roulèrent sur ses joues, ses yeux brillant et ressortant sur son visage si pale. Il la prit, la pressa contre sa poitrine. La détresse s’était emparé de lui au moment même où il l’avait trouvé.
    Soudain, la porte s’ouvrit en grand et Josh, un ténébreux avec qui il partageait son dortoir fit son entrée. Sa vue était brouillée, mais Elliot le reconnut quand même. Il se leva alors d’un bond, et sortit de la salle. Il était tard, il ne s’en était pas rendu compte, les autres devaient encore traîner dans on ne savait quelle partie du château.
    Il descendit les marches quatre à quatre, jusqu’à la salle commune. Quasiment vide. Décidemment, où étaient donc tous les élèves Opales ? Il se dirigea vers un sofa d’un noir de jais, près de la cheminée dont le feu flamboyait, formant quelques étincelles rougeoyantes, tournoyant légèrement avant de mourir. Il jeta un bref regard à ces dernières avant de la poser sur ses genoux.
    Sur la photo, Thilbault et Margaret se lançaient des grands sourires avant de jeter des regards aimants à leur fils unique. Ils avaient l’air si vivant, bougeant de cette manière.
    Une larme solitaire s’écrasa contre la photo et Elliot se prit la tête dans les mains. Il resta un long moment ainsi, entendant la porte de la salle commune s’ouvrir à chaque fois, les exclamations des élèves qui le voyaient, et enfin, plus rien, le calme complet. Il resta dans son sofa, ses genoux contre sa poitrine, les larmes rendant ses yeux tout rouges.
    Jusqu’à ce qu’il entende sa voix. Une voix féminine. Agréable.

      ELECTRA - Suis-je en train de rêver où Elliot Duberlay pleure ?

    Il haussa les sourcils avant de lever son regard vers la nouvelle arrivée. Electra Yanoquelque chose. Il fronça les sourcils, sa tristesse était si immense qu’elle avait temporairement éliminé le Spirit de son corps. Car son humanité en cet instant était trop grande pour que l’esprit ne le transperce. Il prit un air las avant de reprendre son visage entre ses mains, le regard voilé.

      ELLIOT - S’il te plait, laisse-moi.

    Sa voix était plus douce que d’accoutumée. Ce n’était plus son grognement incessant qui sortait de sa bouche quand le Spirit le contrôlait, son timbre de voix était plus tendre. Il se frotta les yeux espérant de toutes ses forces que la jeune fille comprendrait le message. S’il te plait, va-t-en, je n’en demande pas plus, suppliait-il intérieurement.
    Mais quand il leva ses prunelles, elle était toujours là. Presque figée. Il se souvint alors d’elle. Un soir, une fois, le Spirit l’ayant rendu menaçant, il l’avait bousculé, d’énervement. Il l’avait insulté, par pur plaisir vicieux. C’était une moldue. Et il lui avait dit les mêmes horribles, ignobles mots prononcés juste avant qu’il ne tue sa mère. Sang de bourbe. « Vulgaire sang de bourbe ».
    Ses yeux s’emplirent de larmes et il détourna le regard, gêné. Les larmes silencieuses reprirent leur chemin et il ferma les yeux.

      ELLIOT - Pitié.
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when I saw your tears ; elliot Vide
MessageSujet: Re: when I saw your tears ; elliot when I saw your tears ; elliot EmptyJeu 9 Avr - 21:10


    Sa tristesse me troublait. Ses yeux baignés de larmes me mettaient mal à l'aise et m'attendrissaient. Où était passé Elliot Duberlay ? Celui que je connaissais. Celui qui était violent dans ses paroles mais aussi dans ses gestes. Peu importe ce qu'il m'avait fait subir, je ne pouvais pas le laisser dans cet état. J'avais un coeur. Cela m'intriguait et le voir triste me rendait triste moi aussi. J'avais envie de l'aider. Je connaissais ces moments de tristesse. Je savais que la chose dont il avait le plus envie c'était de solitude mais je savais aussi que la compagnie ne faisait jamais de mal.

      ELLIOT ; S'il te plait, laisse-moi.

    Le laisser. On voyait bien qu'il ne me connaissait pas. Je n'étais pas du genre à faire ça. Sa voix douce me surprit. C'était la première fois que cela arrivait. Et je préférais largement cette voix à l'autre. Il releva ses yeux vers les miens et nos yeux ne se sont pas quittés pendant quelques secondes. J'essayais de voir au plus profond de son être. De comprendre ce qu'il se passait. Pourquoi il pleurait. Pourquoi il était si différent. J'aurais voulu dire quelque chose, mais il n'y avait rien à dire. Parfois le silence valait mieux.

      ELLIOT ; Pitié.

      ELECTRA ; non.

    Ma voix était d'une douceur extrême. Je voyais ses larmes couler sans savoir rien faire. Il a détourné son regard du mien, embarrassé. Consoler une fille était plus ou moins dans mes cordes, mais un garçon ce n'était jamais arrivé. Ce n'était pas le même mode d'emploi. C'était totalement différent. Cependant j'ai tenté le coup. J'ai pris ses mains dans les miennes, elles étaient baignées de larmes. Je les ai serrées fort mais avec douceur. Et c'est là que j'ai remarqué la photo. Mouillée par les larmes. Je l'ai prise doucement entre mes doigts et l'ai observée longuement de mes yeux azures. Il était sur la photo avec deux personnes que je supposais ses parents. Les personnes de la photo bougeaient, comme sur toutes les photos de sorciers, mais cela me surprenait toujours autant à chaque fois et je me suis mise à la contempler quelques instants. J'ai souri tristement en regardant la photo. Ce que j'aurais aimé avoir une famille comme ça. Qui me regarde avec tant d'amour. Mais sans père cela n'était pas facile. Et avec une mère alcoolique encore pire. Seulement pour lui ça ne devait pas aller non plus vu ses larmes. J'ai repris une de ses mains dans une des miennes. Je ne savais pas que faire. J'avais peur d'être maladroite. De dire quelque chose qui l'affecterait. De faire un geste déplacé. Si seulement c'était facile.

      ELECTRA ; je sais qu'on ne se connait pas, mais je sais aussi que pour se sentir bien il faut parler ; et je suis là. Tu peux me faire confiance. Je ne sais pas de quoi il s'agit, mais tu n'es pas le seul à avoir des problèmes avec ta famille.

    Je lui ai souri gentiment et ai planté mes iris dans les siens tandis que le silence s'installait peu à peu.
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when I saw your tears ; elliot Vide
MessageSujet: Re: when I saw your tears ; elliot when I saw your tears ; elliot EmptySam 18 Avr - 19:08

    Il ne désirait qu’une seule chose. Ou plutôt deux, précisément. Chasser ce monstre qui lui enlevait toute liberté, toute paix, toute quiétude, toute autonomie. Et puis, il voulait qu’on le laisse. Pleurer. Profiter de ces quelques moments de lucidité, de délivrance. Les larmes roulaient toujours, à son grand regret, elles roulaient, se rejoignaient, formaient de grosses perles et disparaissaient en transperçant le tissu de ses vêtements. Il était fatigué de devoir lutter contre un monstre qui avait élu domicile en son corps. Las de ne plus avoir le plein contrôle sur lui-même. De se mutiler. Son regard se dirigea vers sa main endolorie, sur laquelle le sang avait séché.
    Alors, il jeta un regard derrière lui et aperçut Electra qui n’était pas partie. Qui le dévorait toujours de ses grands yeux bleus inquiets. Ses doigts frôlèrent ses joues humides de larmes, son index traçant un chemin de son œil jusqu’à sa bouche, avant de s’y arrêter, perplexe. Ses pensées se dirigèrent vers Charlotte Cardon un bref instant. Il avait goûté au désir un si court instant que c’en était frustrant. A ce stade, le mot amour n’était pas inclus dans leur brève aventure. Comment avait-il fait pour ne pas se rendre compte que l’esprit la possédait ? Qu’il deviendrait sa prochaine victime ? La colère monta en lui l’espace de quelques secondes seulement. Il était naïf, ingénu, candide, niais. Et tellement idiot. Il baissa son visage, sentit les larmes lui revenir et pria une dernière fois pour que la jeune fille blonde s’en aille, qu’elle retourne à ses occupations ou il ne savait quoi. Hélas, on aurait dit qu’elle était bien décidé à briser la glace et à en apprendre davantage sur son compte. La curiosité était donc un bien vilain défaut.

    ELECTRA - Non.

    Catégorie, assuré. Mais doux. Elliot secoua la tête en signe de dénégation.

    ELLIOT - Va-t-en.

    Son regard croisa à nouveau les flammes de la cheminé et s’y plongea, n’ayant pour seul recours que la douleur d’un feu qui lui brûlait les entrailles. C’est alors qu’il sentit sa présence dans son dos. Electra s’était approchée, le regard plein de compassion.

    ELECTRA - Je sais que l’on ne se connaît pas. Mais je sais aussi que pour se sentir bien, il faut parler, et je suis là. Tu peux me faire confiance. Je ne sais pas de quoi il s’agit mais tu n’es pas le seul à avoir des problèmes avec ta famille.

    Elle prit une de ses mains entre les siennes et commença à ressentir de la sympathie pour elle.
    Le Spirit choisit précisément ce moment-là pour se manifester. Alors le garçon lutta de toutes ses forces, fit tout son possible pour l’exclure de son corps. Le Spirit était pourtant déterminé et puissant, et finit par reprendre le dessus un court instant. Instant succinct durant lequel les reflets argentés se propagèrent dans les nuances bleutées. Il se leva, dégagea les mains d‘Electra des siennes et donna un coup de pied dans le sofa, serra les poings si forts que les jointures devinrent blanches, que le sang faillit jaillir une nouvelle fois. Mais le bleu revint et il retrouva son calme. Le Spirit l’avait quitté un moment. Il s’assit devant le feu, et il ne pu supporter la douleur. Alors les larmes revinrent. Il fit face à la jeune fille et cria presque.

    ELLIOT - Tu ne me connais pas. Ma famille ? Mais tu ne sais même pas que…

    Les sanglots interrompirent son discours et les mots restèrent coincés dans sa gorge. Il aurait donné n’importe quoi pour qu’elle soit encore en vie. Sa famille. Son père et sa mère. Il observa la photo restée sur l’accoudoir du sofa et la prit entre ses mains. Alors il murmura d’une voix si basse que même Electra risquait de ne pas l’entendre.

    ELLIOT - Pardonnez-moi. Je ne voulais pas… C’est lui. Lui. Je n’y suis pour rien. J’aimerai tellement…

    Ses paupières se refermèrent et il prit sa tête entre ses mains. Le chagrin était pire que tout, que le Spirit qui bataillait en lui-même.

    ELLIOT - Pa…pardon.

    Son corps fut prit de sanglots et ses mains se rejoignirent dans sa nuque. Tout espoir était vain. Elliot ne pouvait pas les faire revenir. L’espoir ne suffisait même pas.
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