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come on baby, light on my fire ( T )

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come on baby, light on my fire ( T ) Vide
MessageSujet: come on baby, light on my fire ( T ) come on baby, light on my fire ( T ) EmptyLun 22 Déc - 17:11

    heathcliff jasper clapton


      come on baby, light on my fire ( T ) 10012

      Choisir la vie, choisir un boulot, choisir une carrière, choisir une famille, choisir une putain de télé à la con, choisir des machines à laver, des bagnoles, des platines laser, des ouvre-boîtes électroniques, choisir la santé, un faible taux de cholestérol et une bonne mutuelle, choisir les prêts à taux fixe, choisir son petit pavillon, choisir ses amis, choisir son survet' et le sac qui va avec, choisir son canapé avec les deux fauteuils, le tout à crédit avec un choix de tissu de merde, choisir de bricoler le dimanche matin en s'interrogeant sur le sens de sa vie, choisir de s'affaler sur ce putain de canapé, et se lobotomiser aux jeux télé en se bourrant de MacDo, choisir de pourrir à l'hospice et de finir en se pissant dessus dans la misère en réalisant qu'on fait honte aux enfants niqués de la tête qu'on a pondu pour qu'ils prennent le relais, choisir son avenir, choisir la vie.


        première promenade ; les vampires ont de la chance : ils se nourrissent des autres . nous, on est obligés de se dévorer nous-mêmes

    « Déclinez votre identité, je vous prie .
          – Heatcliff Jasper Clapton . Appelez-moi tout simplement Heat' ou Cliff . Comme il vous plaira, mais je dois vous prévenir que j'ai horreur des surnoms , en général . Vous voilà prévenus, sorciers et moldus il rit – je plaisantais, bien sûre . Que dire plus ? Je suis né un vingt-quatre décembre . Je ne peux me rappeler la date . Cela me paraît loin maintenant, j'en suis désolé . Et pourtant, je n'ai que 85o ans . J'ai tout de même garder mon enveloppe charnelle de vingt ans . Rien d'extraordinaire pour un immortel de ma trempe, je vous l'accorde . Les souvenirs se font rares et je ne peux retenir que les merveilleux moments en bonne compagnie . Cependant, j'ai du sang français dans les veines, mais mon coeur est londonnien . Mon accent ? Il est totalement british, of course ! Malheureusement, je ne peux m'empêcher de parler parfois ma langue maternelle, surtout d'injurier ... Passons . Vampire de mon état et sous traitement, je fus expié de toutes mes fautes . Aujourd'hui, je recommence ma vie . Je retourne sur les bancs de l'école pour achever ma scolarité comme mes autres camarades sorciers . Je suis actuellement en sixième année . Est-ce un rêve absurde ? Peut-être . Suis-je un fou ? Oui, pas vous ? »

          enregistré le ??/??/??


        deuxième promenade ; marcher, c'est mieux que courir, non ?
        Que dire de ce forum ? Premièrement, l'intrigue est génialissime . Deuxièment, le design est sublimissime . Et troisièmemt, j'adore le code du réglement : supermassive black hole . J'ai découvert ce forum sur EZ ( Existence Zero ) et grâce à Sunny <3 Mon surnom, c'est vodoochild, j'ai dix-sept ans et sur mon avatar, c'est le magnifique mathias lauridsen <3



Dernière édition par Heatcliff J. Clapton le Dim 28 Déc - 17:32, édité 6 fois
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come on baby, light on my fire ( T ) Vide
MessageSujet: Re: come on baby, light on my fire ( T ) come on baby, light on my fire ( T ) EmptyMer 24 Déc - 14:30

        troisième promenade ; il y a bien les souvenirs, mais quelqu'un les a electrifiés et connectés à nos cils, dès qu'on y pense on a les yeux qui brûlent
    come on baby, light on my fire ( T ) 5mbkn7

    Sauver la vie de quelqu'un c'est comme tomber amoureux ; il n'y a pas de meilleure drogue . Après, pendant des jours, on marche dans les rues et tout ce qu'on voit est transfiguré . On se croit devenu immortel, comme si c'était sa propre vie qu'on avait sauvée . Il n'en est rien, car quand il pense à tout ce que lui est arrivé, il ne peut s'ôter de l'esprit l'idée qu'un mystérieux destin tisse les fils de nos vies avec une vision très claire du futur, sans prendre en compte nos désirs et nos projets . Avachi sur le fauteuil de la salle commune, le feu brûlait intensément dans le foyer . Je regardai les flammes danser, virevolter en de jolis arabesques comme si elles étaient constituées de minuscules danseuses . Leur couleur incandescente me fit frémir, ce mélanfe de rouge et d'orange m'a toujours fasciné . Les flammèches, ces parcelles de matière enflammée qui s'envolent les crépitements . Ce doux son, cette chaleur provenant du foyer m'apaisaient avec une douceur que je ne pouvais qualifier que de maternelle et de magique . Pendant des décennies, cet instant de paix m'avait manqué, je m'abreuvai de cette sérénité jusqu'à la dernière goutte . J'aurai tant voulu dormir, me jeter dans les bras enchanteurs du beau Morphée . Cet instant, ce bien-être, cette paix, cette sérénité furent de courte durée à mon gré . Mes pensées vinrent m'envahir mon corps et dévorèrent mes entrailles . Je regardai ma montre moldue, l'heure n'avait plus d'importance pour moi depuis des siècles . J'ai cessé de compter . A quoi bon alors que le temps s'était déjà arrêté pour moi . La notion de vieillesse n'existait pas dans mon enfer personnel . Damné à vie dans un corps où les organes vitaux ne sont plus que poussière . Les minutes passaient, je ne ressentais rien . Peut-être de l'ennuie, certes mais prisonnié dans cette enveloppe charnelle d'adolescent . Les secondes, les minutes, les heures ne déteignaient pas autant que ces jours ennuyeux, ces semaines tourmentées, ces années perpétuelles, ces siècles interminables . Qui ne serait pas devenu fou ? Je me levai du fauteuil, estimant que broyer du noir n'était pas la solution .

    Comme une personne normale ou du moins presque, j'allais monter au dortoir, puis dormir . La nuit allait être bien longue . Accoudé contre l'embrasure de la porte, une symphonie de ronflement s'offrait à moi . Je souris puis je sautai sur mon lit . Mon corps d'éphèbe attérit lentement sur les draps de soie d'un bruit étouffé, mon ventre serré contre le matelas . Je soupirai encore, mon regard se posa sur un vieux réveil . Encore dis heures à tenir . J'aurai tant voulu dormir, j'inspirai les merveilleuses effluves de marguerite de l'oreiller que j'appréciais tant, puis j'expirai avec délice . Je devrais peut-être me mettre en pyjama, cela paraîtrait moins louche . Je me déshabillais, j'enfilai un simple bas puis regardai mon visage cadavérique dans le miroir . Un teint d'albâtre, des lèvres légérement rosées, un nez droit et aquilin, des dents régulières, des cheveux courts aux boucles blondes éméchées, des yeux bleu gris glacial, en dessous étaient dessinés des cernes ; j'avais une mine affreuse . Bien que je sois sous traitement, je continuais parfois à ressentir des vagues de fatigue dues au manque de fer et pourtant, je n'étais plus prisonnié de la soif . J'espère que cela durera . Goûter à cet havre de paix me faisait sentir humain . J'approchai de plus près du miroir . La main dans les cheveux, mes yeux s'arrêtèrent sur deux horribles orifices cicatrisées de mon cou . Mes doigts touchèrent ces trous : des traces de canines . Je les caressai, je grimaçai . J'ai senti une vive douleur comme une piqûre, mais je savais que cette douleur n'était pas réelle . Elle n'était qu'un réminiscence, une bribe de ma mémoire perdue . Je pris une chaise, je m'assis puis j'examinai inlassablement mon cou . Et pourtant, je n'avais pas oublié cette nuit funeste où j'ai péri, où je suis revenu à la vie .

    Le lieu, l'année, le jour, le siècle, tout n'était que flou et brouillard .
    Huit cent cinquante ans de damnation avaient flétri mes souvenirs, ma mémoire avait soigneusement effacé le pasé . Un passé révolu et trop douloureux . Me remérorer de cette nuit, je le pouvais . Mon coeur se déchira, je n'entendais plus qu'un bruit sourd et lointain alors que je sombrais peu à peu dans les méandres de mes pensées noires . Je me souvenais de ce jour-là, de la fumée qui sortait des chaumières des petites maisons, l'odeur du blé moulu, les plaisirs champêtres que j'aimais tant . Ces prés au ton mélancolique était le terrain de jeux des enfants orphelins, je faisais parti de l'un d'entre eux . Les rires, les chants des enfants résonnaient encore dans me tête et s'éteignaient pour ne devenir qu'un son muet . Je ne pouvais voir leur visage . Et soudain, le ciel s'obscurssit, les ténèbres engloutissaient les derniers rayons du Soleil . L'odeur putride du sang flottait dans les airs . Du feu brûlait ardemment, le petit village avait été réduit en cendres . Ils étaient venus par ici, ces créatures de la nuit . J''assistais à ce spectacle avec effroi, impuissant, des larmes de rage coulaient abondamment sur mon visage, tandis qu'étaient empilés sur mon dos des corps morts d'enfants et d'adultes . Ne pouvant plus respirer, je sentais mes forces me quitter petit à petit . J'agrippai fermement mon chapelet que je tenais dans ma main libre de tout poids corporel, mes doigts tremblaient car il restera toujours la peur . Un homme peut détruire tout chose en lui-même : l'amour, la foi, la haine et même le doute . Mais aussi longtemps qu'il tient à la vie, il ne peut pas détruire la peur . Je voyais une faible lueur qui mappelait au loin . Les membres de mon corps étaient complètement engourdis, je ne sentais plus mes jambes . Mon coeur battait lentement et le froid gagnait peu à peu mon corps meurtri, mais la douleur n'en était que plus vive . Je perdais beaucoup de sang . Une lueur d'espoir naquit dans mes yeux . J'entendis quelqu'un s'approcher du tas de cadavres . Un instant, j'ai cru que c'était mon sauveur . Mais il n'en était rien . Je voyais pour la première fois une créature de nuit aussi près . Je dégluttis, mes mains continuaient à trembler . Je m'accrochais à mon petit chapelet comme si cela allait me sauver . Je priais, je priais encore, encore et encore, jusqu'à mon dernier souffle . J'entendais à peine la conversation entre les deux créatures . L'un d'elles me vit, un lèger rictus se dessina sur ses lèvres . Elle s'approcha et me caressa délicatement les cheveux . La créature avait un visage humain . Qui plus est, elle était une jeune femme, une femme éblouïssante . Un cou gracile, un visage aux traits divins, des yeux de couleur miel, des lèvres rouge sang, elle était merveilleuse, envoûtante, dangeureuse . Elle me prit le chapelet des mains .
      « Avez-vous peur de la mort, très cher ?
    Sa beauté m'empêchait de réfléchir, ma tête était vidée de toute pensée . J'en oublais même de respirer . Ses yeux restaient braqués sur moi avec intensité . Son regard me brûlait et je consumais à petit feu . De toute ma vie, je n'avais kamais vu une femme aussi angélique . Des yeux empreints d'une telle humanité que ma gorge se retrouvait serrée . Etais-je au paradis ? Elle rit, elle attendait ma réponse . Cette question résonnait en moi comme un écho interminable, je ne m'étais jamais posé la question, à vrai dire . Elle perdait patience, je le voyais dans son regard si incandescent : quelle jolie façon de brûler . Je ne pouvais détacher mon regard de ses yeux, j'étais comme hypnotisé . Etait-ce la mort qui me faisait délirer ? Aucun mot ne sortit de ma bouche de peur de briser ce moment parfait . J'entendais les perles se frottant contre la paume de sa main . Puis le bruit résonnant du chapelet qui tombait sur le sol . D'un trait, elle balaya les corps de mon dos . Ses mains douces caressèrent mes joues et je frissonnais, surpris par un contact si froid .
      – Vous êtes beau . Quel gâchis ! Je ne vais pas me répéter : avez-vous peur de la mort, oui ou non ?
    Avec le peu de force qui me restait, je saisis sa main, puis la serra dans la mienne tendrement . Aucun mot ne voulait sortir, j'essayais inlassablement, mais j'avais fais mon choix que je ne regrette nullement aujourd'hui . Eberluée, elle me dévisageait, je lui souris . Ses lèvres remuaient très vite, je ne comprenais pas un traître mot de ce qu'elle disait . Elle s'avança, ses lèvres à quelques centimètres des miennes .
      stupide humain ! »
    Elle posa délicatement ses lèvres sur mon cou, puis des canines vinrent transpercer la chair douloureusement . Je criais de douleur et j'essayai de me débattre . Elle était plus forte que moi, elle reserra son étreinte . Ma vision se brouillait, je me sentais happé par un gros trou noir . Je sombrais peu à peu dans les tèénèbres . Quinze jours plus tard, en me réveillant, je sus que j'étais devenu l'un des leurs .
    Quand vous pouvez vivre pour toujours, pour quoi allez-vous vivre ?


Dernière édition par Heatcliff J. Clapton le Sam 27 Déc - 15:04, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: come on baby, light on my fire ( T ) come on baby, light on my fire ( T ) EmptyVen 26 Déc - 9:08

            quatrième promenade ; aujourd'hui est le premier jour du reste de ta vie


      supermassive black hole


      _______Après huit cent cinquante ans de damnation, Heat' est resté fidèle à lui-même . Un sourire intemporel et un regard séducteur pouvaient faire faillir plus d'une ( et d'un ) . Vampire de son état, le temps n'existait plus , son existence n'en était plus sanglante . Secret et réservé, il cachait une plaie béante sous ce visage d'ange . Il connut beaucoup de gens, des gens connus, des inconnus . Le jeune Adonis se dévoilait très peu . Et pourtant, les gens sont surpris par son caractère candide et joyeux . Etait-ce un masque ? Jadis, il était un garçon turbulent, orphelin, remplie d'amertume . Sa tranformation en était - en partie - la cause de sa douleur . Le temps passe . Une certaine mélancolie habite dans ses yeux . Il a souffert et il ne veut plus souffrir . Animé par une volonté de fer et sa foi en l'être humain, il réussit toujours toujours tout ce qu'il entreprend . Bien qu'il n'ait aucune confiance en l'être humain, il ne pourrait jamais faire du mal à aucun d'entre eux, même s'ils subsistent quelques exceptions . Perfectionniste dans l'âme, sa personnalité en était empreint . Cultivé, musicien, vif, intelligent, appliqué, imprévisible, séducteur, provocant, mordant, dangeureux, il est le néant et vous êtes sa fatalité .

      tout ce que vous avez voulu toujours savoir sur heatcliff sans jamais avoir osé demander

      « Mon dieu, je suis retard . Meg, pourquoi ne m’as-tu pas réveillé ?
      – Excuse-moi, j’ai des choses beaucoup plus importantes à faire que te réveiller pour un stupide rendez-vous avec ce … monstre . »
    Je me tus, je ne préférais rien dire . Je m’habillai en vitesse en me débarbouillant au passage . Lorsque je franchis la porte du dortoir, je revins sur mes pas pour ensuite repartir avec un sac en bandoulière à la main . Je dévalai les escaliers en manquant de trébucher à plusieurs reprises . Paniquée, je regardai l’horloge dans la salle commune . J’avais dix minutes de retard, mon dieu ! Je me pressai hors de la salle sans saluer aucun de mes camarades . Arrivée dans la couloirs, je commençais à courir lorsque soudain je fus interpellée par le concierge qui me rappela à l’ordre . Je continuais à marcher, je sentais ses yeux globuleux sur moi me dévisageant . Une fois arrivée au bout du couloir, je me retournai, il n’était plus là . Je pris les jambes à mon cou . Piquer un sprint n’était pas dans ses habitudes, mais je ne voulais pas rater cette entrevue . Mes pieds me menèrent jusqu’à la Grande Salle . Les portes s’ouvrirent, j’entrai complètement essoufflée et exténuée . Je le cherchais des yeux . Était-il déjà parti ? Une main chaleureuse se posa sur mon épaule . Je lui fis volte-face, mes joues s’empourprèrent . Il ne paraissait pas du tout en colère, au contraire il me souriait doucement .
      « Excusez … excuse-moi pour mon, pour mon retard . , balbutiai-je
      – Vous savez, quelques minutes de retard ne sont rien comparés à des siècles d’attente . » il rit « En plus, vous n’étiez pas si en retard que cela . », dit-il en me remettant une de mes mèches de cheveux derrière l’oreille . « Que diriez-vous d’une promenade, très chère ? Ou si vous êtres trop fatigués, nous pouvons rester ici . Comme le vous le souhaitez, très chère .
      – Pourquoi pas . Une promenade n’a jamais tué personne, n’est-ce pas ? »
    Son rire cristallin semblait si mélancolique que j’avais la gorge serrée . Ses yeux bleus étaient indéfiniment généreux avec une certaine lueur de tristesse . Il semblait tellement humain sous ses traits éternels . Nous sortîmes du château . L’air était pur, doux . Il faisait un temps gris mais sans être pesant, un temps idéal pour un entretien avec un immortel . Nous marchâmes jusqu’à un banc près d’une fontaine . Je m’assis, je sortis mon petit carnet et mon stylo pour commencer enfin notre interview . Il se tenait debout, les mains dans les poches, le regard ailleurs . Ses traits figés, sa délicate chevelure, son corps d’éphèbe me donnaient l’impression d’avoir sous les yeux la statue d’un sculpteur antique. La statue reprit vie puis s’assit près de moi . J’étais tellement rouge que je devais ressembler à une tomate . Je repris mes esprits, cette artiste était indispensable pour être acceptée du journal de l’école . En plus, j’avais l’occasion de parler avec un … vampire . Ce mot me restait toujours à travers la gorge . J’avais conscience que je risquais ma peau, mais je n’avais pas peur, pas le moins du monde . Une première question me vint à l’esprit .
      « Ton nom, c’est bien Heatcliff Jasper Clapton . Quel est ton vrai nom ?
      – Mon vrai nom est un secret . Je ne peux le révéler à moins que vous vouliez mourir dans d’atroces souffrances . Question suivante . », répondit-il sèchement .
    Avais-je touché un point sensible ? Des questions jaillissaient de ma bouche comme une corne d’abondance, des questions plus souvent intimes . Heatcliff se révélait très peu sur lui et sur sa vie . Les seules questions où il se faisait une joie de répondre étaient souvent centrées sur la culture générale . Il avait une culture très impressionnante : quelques anecdotes sur des chefs d’État qu’il avait rencontrés ou encore des réalisateurs de film avec qui il discutait souvent . Des personnalités connues, inconnues qui ne sont plus de ce monde, malheureusement . Le jeune homme en face de moi avait déjà un métier en réalité, c’était plus un passe-temps qu’un métier . Il se passionnait pour la médecine ; c’est pour cela qu’il avait réussi à décrocher son diplôme durant la Guerre sanglante, mais depuis que Poudlard avait réouvert ses portes, il avait décidé de revenir à l’école pour terminer sa scolarité qu’il avait laissé en cour de route . Une fois l’interview terminée, quelques minutes plus tard, nous regagnâmes le château en discutant de tout et de rien . Nous nous séparâmes devant l’entrée, mais il me promit un jour de raconter de ses secrets .
      « Alors, ce rendez-vous avec le monstre, c’est bien passé ?
      – Meg, ferme-là ! Contrairement à ce que tu pense, j’ai passé une journée … magnifique . »
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MessageSujet: Re: come on baby, light on my fire ( T ) come on baby, light on my fire ( T ) EmptyDim 28 Déc - 17:30

    j'ai terminé ma fiche (L)
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Lokhyan Raphaël Dewitt
GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become

Lokhyan Raphaël Dewitt


♦ Lettres Envoyées : 3608
♦ Crédit : BS*
♦ Citation : "La cruauté est le remède de l'orgueil blessé"

A NEW BEGINNING
♦ Age du personnage: 1125 ans Ϟ 24ans d'apparence
♦ Nouvelle vie:

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MessageSujet: Re: come on baby, light on my fire ( T ) come on baby, light on my fire ( T ) EmptyLun 29 Déc - 9:35

      Heatcliff;
      Bienvenue dans l'école de magie Hogwart. Quelle intelligence,q uelle culture...Ton sourire a tout épreuve aurait eut raison de ton envoie a Poufsouffle mais c'est ton coté séducteur, et ta volonté de fer qui ont animé mon choix. Bienvenue a
      Ravenclaw.
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