Escape to an other world - Agathe

Mickey Dev Rajiv projetait déjà de partir se balader autre part, pour changer un peu d'air, et surtout pour se mettre quelque chose sous la dent. Il était partant pour toutes les destinations, même le Pôle Nord ou le Sahara, toutes sauf l'Inde. Il aimait ce pays, mais vu de loin, et c'était compréhensible. Et il voulait absolument manger quelque chose. Mais pas n'importe quoi. Mickey était presque un carnivore à vrai dire. Ou un herbivore, chacun à sa préférence à vrai dire... Le topaze ne se nourrissait soit que de viande, soit que de légumes, et jamais les deux en même temps. Mais généralement, c'était toujours sur la viande que tombait son doigt quand il faisait la plouf pour se décider. Et il en était très content la plupart du temps, car il préférait l'odeur alléchante de la viande à la morosité des légumes. D'accord, il adorait manger des tomates en cours et bouffer des concombres avant de dormir, mais la viande, il n'y avait rien de comparable. Et pourtant, dans ce château, il n'y avait jamais la viande qui lui plaisait, celle qui vient de tous les pays, car c'était toujours du bœuf, du veau, du porc et du civet de lapin qui étaient servis, jamais du kangourou ou du serpent. Pourquoi pas, ça ne faisait jamais de mal de goûter d'autres charcuteries...

Mickey toussa. Il se sentait fatigué. Il avait des frissons. Il avait des bouffées de chaleur. Il avait la grippe en fait. C'était une épidémie, et toute l'école l'avait. Il y avait aussi certaines rumeurs disant que certains avaient la méningite. Lui, il l'avait attrapé d'un autre élève, qui était à côté de lui en Métamorphose. Ensuite, il l'avait refilé à ceux qui étaient à côté de lui en Sortilèges et Enchantements, en Études des moldus, en Potions, en DFCM, en SCM, et tout le petit tralala. Il avait la gorge qui lui donnait un coup de massue dès qu'il avalait sa salive et le topaze se demandait même comment il arrivait à tenir debout. Peut-être était-ce grâce aux tomates et aux concombres... Ou peut-êtres grâce aux clémentines, dont il s'était goinfré pendant tout l'hiver – parce que quand on commence, on ne s'arrête plus.

Mickey se trouvait au second étage, et cherchait de la bouffe. A ce moment-là, il aurait pu être capable de manger de la peau de fesses, tellement il avait faim. Enfin, peut-être pas, non. Il attendait que un génie de la lampe apparaisse et lui offre un repas de carnivore, comme de l'antilope puisque c'est le festin du roi de la jungle – le lion bien sûr. D'ailleurs, c'était un joli jeu de mots vu que les topazes étaient les nouveaux Gryffindor. Trop marrant. Drôle d'humour tout de même. Mickey n'aurait pas dû s'appeler Mickey. Il aurait du s'appeler Antony, pour ses plaisanteries trois-sous-et-pas-du-tout-drôles. Reprenons donc. Il passa sa main dans ses cheveux bruns puis avançait, avec une extrême lenteur. On aurait dit un revenant ou quelque chose du genre qui faisait qu'il avait une tête atroce – alors que d'habitude, c'était le beau gosse de service. C'est alors qu'il la vit. Son superman à lui. Enfin, sa superwoman plutôt. Elle lui trouverait certainement du poulet – parce que ça a un parfum délicat tellement fin qu'on l'aime à la folie – ou une carotte – parce que ça rend les fesses roses.

AGAAAAATTHHEEEE ! (Kof Kof) J'ai faim.

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J'avais décidé de rester à l'intérieur du château, aujourd'hui. Il faisait assez froid ; aussi j'avais enfilé une veste. J'adorais traîner dans les couloirs, à la recherche de nouveaux mystères. Autant dire qu'à Poudlard, ce n'était pas rare. J'avais l'habitude de croiser des professeurs que je n'avais jamais vu auparavant, de découvrir de nouveaux élèves et surtout, d'entrer dans des pièces inconnues. C'était la grande aventure, celle que j'aimais tant. Evidemment, je ne partais jamais toute seule. Habituellement, mon frère m'accompagnait. Lorsqu'il n'était pas présent, je demandais à une amie. Mais c'était rare, que je dois toute seule. J'aimais trop peu la solitude, pour cela. Toute fois, j'avais décidé de partir à la bibliothèque sans être accompagnée, ce matin-là. Je n'étais pas de très bonne humeur. A vrai dire, j'étais même quelque peu malade. Qui devais-je remercier ? Mickey ; le seul et l'unique. Nous partagions la même maison, à Poudlard. Il y a deux jours, il était rentré trempé et surtout malade. Il tremblait, ses mains étaient gelés. Je m'étais occupée de lui, avant de tomber moi-même malade. Je retenais la leçon. Mon frère pouvait se débrouiller sans mon aide. Il savait comment attirer les ennuis. Bon, il avait été là pour moi depuis le temps. Rappelons qu'il avait fait mon éducation. Mes parents étaient morts, quelques années à peine après ma naissance. Mickey m'avait élevé, sans l'aide de personne. Nous avions de tuteurs mais ces derniers étaient plus attirés par l'argent que par notre éducation personnelle. Comme c'était malheureux. Cependant, j'avais eu la bonne idée de venir jusque dans cette école. Sur ce coup-là, j'étais fière. Mickey pouvait bien dire ce qu'il voulait. Nous avions un chez nous, c'était le principal. Ensuite, je pouvais approcher de très près les vampires. J'étais heureuse et fascinée.

Je soupirai de bonheur, en avançant dans les couloirs. J'avais le nez bouché et les yeux rouges, signe de ma fatigue accumulée. Je dormais peu. Heureusement, j'avais eu l'idée de me rendre à la bibliothèque. Je voulais absolument emprunter un livre sur les vampires. Histoire d'en apprendre un peu plus sur eux, sans doute. J'étais complètement sous le charme. Arrivée devant le lieu tant désiré, j'entrai. Je n'avais que quelques pas à faire. Je trouvai rapidement ce que j'étais venu chercher. Je me dirigeai ensuite vers la sortie, ayant signalé l'emprunt. Inutile que l'on me voit trop longtemps avec ce livre entre mes longs doigts fins. J'avais une réputation. Personne ne devait savoir toute l'importance que j'accordais aux vampires. Surtout pas mon frère. Il avait déjà si peur que je ne commette une erreur. Me dirigeant vers les dortoirs, j'entendis quelqu'un m'appeler. Je m'arrêtai. Je connaissais cette voix ; Mickey. Je soupirai à nouveau, fermant mes paupières quelques instants. Que voulait-il ?

Citation :: MICKEY - AGAAAAATTHHEEEE ! J'ai faim

Je levai les yeux au ciel, cachant le livre derrière mon dos. Vraiment, ce n'était pas le moment. Je pensais être libre quelques heures. C'était râté. Je me tournai vers mon frère, apparemment excédée. Bon, il n'était pas réellement dans son état normal. Légèrement malade, il mourait de faim. Ne pouvait-il pas descendre aux cuisines ? Je n'étais pas elfe de maison, non d'un dragon ! J'avançai vers lui, silencieusement. Arrivée à quelques pas de lui, je posai ma main sur son front. Il n'avait plus de température. Heureusement, je l'aurais tué autrement. Mickey me fixa, l'air désespéré. Je poussai un autre soupir, plus fort. J'étais occupée.

Citation :: AGATHE - Yes, what ? You're not a little boy anymore, Mike. Débrouilles-toi, par Merlin !

Je n'étais pas sa mère. Il pouvait descendre les escaliers sans mon aide, pour une fois. J'avais besoin de lire cet article. Je voulais être seule. C'était rare alors pour une fois. Impatiente, je tapai du pied par terre.

Wow. Mademoiselle avait l'air de s'être levée du pied gauche. D'accord, il l'avait contaminé quelques jours plus tôt, parce qu'elle avait joué les infirmières. Et pour une fois que Mickey Dev Rajiv se désirait être un peu égoïste, il se rendait compte qu'il avait choisi le mauvais moment. C'était savoir viser, ou ne pas savoir. Si on choisissait un jour au hasard sur le calendrier, en ayant les yeux bandés et que ça tombait un jour comme un samedi, il fallait que ce samedi là, Agathe soit d'une humeur atroce. Généralement, Mike laissait sa sœur tranquille lors de ces moments-là. Mais dans une année, il n'y avait qu'un jour où il pouvait se montrer égoïste – deux au pire, on ne sait jamais, si il y en a un qui ne lui a pas plu – et ça, il le faisait depuis plusieurs années. La topaze devait l'avoir compris depuis le temps, et pourtant, on aurait dit qu'elle était aveugle. Ou peut-être manquait-elle d'un peu d'intuition. Bref, le jeune homme se rapprocha, puis la regarda longuement avec un regard de Hercule Poirot. Il la toisa, comme si il cherchait un défaut dans ses yeux qui montreraient qu'elle était en fait un autre individu déguisé en Agathe Saya Rajiv. Rien.

Okay. Don't ya know that i have just one day to be selfish ? Oh Jesus ! I made a mistake, i'm stupid, i apologize. Is it alright now ? It's kinda nice to be two and not alone... We're both sick hahah. Gosh, it's good.

Et c'était partit pour un joli monologue. Ou peut-être pas. Sa grippe le faisait légèrement planer, mais ce n'était rien de grave, puisque à vrai dire, il était habitué. Il disait n'importe quoi, racontait, balançait tout ce qui se trouvait dans sa tête quand il était malade, parce qu'il n'avait quasiment aucune réelle conscience qu'il était en vie. Il se disait juste qu'il était mort et qu'il ne regretterait aucune de ses paroles et que donc, il pouvait faire ses petits besoins à chaque coin de Hogwarts, ça ne l'aurait pas gêné... Et avec sa souffrance, ses toux incessants et ses reniflements gênants, il faisait la taille de sa sœur, ce qui l'aurait dérangé en temps normaux, sauf que ce jour-là, il était tout sauf normal.

Need to eat a cot cot.

Je fais de l'hypoglycémie chérie, je vais tomber et tu m'emporteras à Cuba pour qu'on le bouffe, notre cot cot parce que là, j'étouffe. C'était comme ça qu'il fallait le comprendre et pas autrement, car un cot cot ne courrait certainement pas dans les couloirs du château et n'apparaîtrait certainement pas avec un simple accio – n'oublions pas qu'il a des ailes. Mickey Rajiv savait déjà que sa sœur l'enverrait valser, parce qu'il le vaut bien. Sauf que là, il n'envoyait pas ses cheveux dans tous les sens pour faire « effet de style » comme chez les Muggles, quand ils étudiaient l'anglais, et surtout, la poésie. Heureusement qu'il avait certaines choses plus intéressantes à faire que de travailler un texte pourri sur un auteur qui n'avait même plus ses os dans son cercueil. Il se trouvait extrèmement chanceux sur ce point-là. Sauf que si on en revenait au problème « Petite soeur ne veut pas jouer au docteur », il se sentait un peu malheureux, parce que son jour d'égoïsme tombait sur un jour où il était malade, et où Agathe voulait être seule – comme les fantômes dans leur manoir hanté.
Par chance, Mickey possédait la formule – presque – magique.

S'il te plaît, Saya.

Il n'y avait plus qu'à prendre des yeux de biche qui brame au clair de lune puis prendre la poudre de cheminette deux secondes plus tard.

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Citation :: AGATHE - Agathe, fucking God . You know it !

Je levai les yeux au ciel, exaspérée. Qui avait osé me donner un frère pareil ? Mes parents avaient réellement voulu me rendre folle. J'adorais Mickey ; parfois. Il était un grand frère modèle. Il s'occupait de moi, lorssque je n'allais pas bien.Je lui rendais mal la chose, en fin de compte. Pas de chance, ce n'était pas le bon jour. Mon frère préféré - et unique - était tombé sur mon jour de solitude intense. Pourtant, c'était rare. Il m'avait rendu malade, avec ses histoires de pauvre étudiant enrhumé. Bref, il ne méritait pas tant de blâme. J'étais parfois cruelle. Je me mordis la lèvre inférieure, regardant Mike. Il semblait réellement me supplier. Cela me mettait mal à l'aise. Je poussai un profond soupir. Oh, il devait savoir que je ne faisais pas ça de bon coeur. Quoi que, j'aimais me donner un genre. Je n'étais pas mauvaise, de nature. J'étais juste une adolescente perturbée.

Citation :: AGATHE - I'll do it for you ; lovely bro' ... But please, call me Agathe uh ? You know why, now

Je déglutis. Depuis la mort de mes parents, je reniais mes origines. Je ne pouvais penser à ces prénoms indiens, sans avoir envie de pleurer. Mickey et Agathe, voilà qui était mieux. C'était tellement plus simple que Saya ou Dev ; non ? Mon frère n'avait pas le même avis sur la question. Il était fier de ce qu'il était. Il m'avait sauvé dans l'intention de m'élever comme mes parents l'auraient fait. Toute fois, je n'étais pas docile. J'étais rebelle et ce, depuis mon plus jeune âge. Je n'aimais pas obéir. Etait-ce un mal ? Mike avait dû souffrir, en ma compagnie. Je regardai le couloir, gênée. Je regrettais mon attitude mais détestais le surnom qu'il utilisait pour me faire craquer. Il n'avait pas le droit de jouer avec moi, ainsi. Je n'étais pas un simple objet. J'étais humaine, je souffrais.

" Okay. Don't ya know that i have just one day to be selfish ? Oh Jesus ! I made a mistake, i'm stupid, i apologize. Is it alright now ? It's kinda nice to be two and not alone... We're both sick hahah. Gosh, it's good ".

Il n'avait pas eu tord. Mickey était très peu orgueilleux. Il n'aimait pas être égoïste, non plus. Rarement, du moins. Il avait choisi ce jour-là. J'étais juste de mauvais poil, comme on dit. Je détestais la solitude, en plus. Enfin, c'était bien parfois. Mais pas souvent. Nous devions nous serrer les coudes. Nous étions unis. Quant au cot-cot, c'était plus difficile. J'avais esquissé un sourire, à l'évocation de son désir profond. Mon frère avait des envies pressantes et étranges. Je posai les mains sur mes hanches.

Citation :: AGATHE - Je vais voir ce que je peux faire. Du poulet serait plus facile à trouver, si tu veux mon avis. Tu en veux un morceau ? Attends

Accio ; aussitôt dit & aussitôt fait. Une assiette remplie de poulet arriva avec douceur, jusqu'à nous. J'adorais ce sort. J'étais fière d'être aussi douée à l'école. J'étais une bonne sorcière, en fin de compte. J'avais écouté, en classe. J'attrapai l'assiette, que je tendai à Mike avec un sourire en coin. Il semblait affamé. J'espérais m'être calmée, désormais. Je ne voulais pas l'effrayer, par mes propos. J'étais d'une humeur de chien. Mais je pouvais faire un effort pour mon frère. C'était la moindre des choses. Il avait beau être énervant et malade, je l'aimais de tout mon coeur.

Ça sentait bon, oh oui, extrêmement bon. Ça semblait tellement délicieux que Mickey en perdait la tête, et dès qu'il tournait du regard, il semblait y avoir une tonne de lumière, comme quand on se promène à New York en pleine nuit – ce que le topaze avait souvent fait. Ce cot cot avait une forme bien dodue, et la chair semblait pouvoir fondre au simple regard tellement elle paraissait douce. C'était les cot cot qu'il aimait, comme le savait parfaitement Agathe. Bien grillés, avec quelques herbes provençales qui faisaient tourner la tête. Il ne manquait plus que quelques champy et ça aurait pu être magique. Mais il faut savoir montrer l'exemple aux plus petits que soi. Soit, il aurait pu prononcer le « accio » lui-même, mais Mike prenait un malin plaisir à emmerder les autres, lors de son « Selfish day ». Cependant, il prenait garde à ne pas trop y prendre goût, non, car il ne voulait plus être égoïste. Non, plus jamais. Il n'avait pensé qu'à lui ce soir-là. Il n'avait pensé qu'à sauver sa peau, et pourquoi pas celle de sa sœur. Mais d'abord la sienne. Lui, devait rester en vie. Les autres, il s'en était moqué. Puis c'était en grandissant, en ayant pris du recul, qu'il avait compris que son égoïsme l'avait emporté et qu'il aurait pu défendre ses parents – au risque d'y perdre sa peau, mais il s'en serait totalement balancé si ça avait été vers l'âge de 12 ans... C'était eux avant lui. Depuis, il n'espérait ne plus être égoïste, même si c'était à ce moment-là qu'il perdait la tête. Non, plus personne ne devait mourir à cause de lui.

Personne, non, personne n'avait jamais su ce que Mickey pensait réellement de cette nuit-là. Il avait toujours raconté l'histoire en essayant de rester le plus objectif possible, sans y intégrer ses états d'esprits, et ses sentiments. Il n'aimait pas la conter, car ça lui rappelait sa faute, oui, son erreur, irréparable, qui l'accablerait et le hanterait à jamais. Si seulement... Si seulement, il pouvait oublier... Mais il n'avait pas assez de courage pour s'envoyer le sort « oubliette » par le biais d'un miroir... Non, cette fois, il n'était pas assez courageux. Et pourtant, il y avait souvent pensé. Mais le monde avait encore besoin de lui – et son monde se réduisait à sa sœur et quelques proches.

Thanks Aggy.

Il lui sourit tristement, elle se demanderait certainement pourquoi. Tellement instable le pauvre Mickey, girouette qui changeait de direction tel que le vent le lui ordonnait – ici, sa douleur, et ses souvenirs. Puis soudainement, son sourire s'élargit, puis il prit une cuisse du cot cot, car quand on est malade, on s'en moque totalement du regard mauvais que vous jettent les autres.

Do you want some of it ?

Et alors, il mordit dans la chair, aussi moelleuse et savoureuse que ce qu'il avait imaginé. Il mâchait, longuement, pour faire durer le plaisir. Puis d'un coup, le topaze remarqua que sa sœur cachait quelque chose. Agathe cachait quelque chose. Certainement quelque chose de pas très joli, qui semblait assez épais, avec des pages. Un livre. Du porno ? Il ne voyait pas vraiment sa sœur en lire et Hogwarts en proposer, mais qui sait, la vie réserve toujours des surprises... Ou une BD tout simplement ? Mais Mickey ne voyait pas trop pourquoi elle le cacherait derrière elle si c'était de simple dessins dans dix cases par feuille. Il fit donc semblant d'avancer, et après avoir dépassé la jeune femme, il s'arrêta et se retourna, sans prévenir.

Oh... ~ A book about vampires... You seem very interested on them... I don't understand... They aren't special. They can live forever, so what ? They have an eternal beauty, oh so perfect, their beauty ! I don't understand. I hate them, they wanted to eat you... One day...

Son esprit jolival s'évanouit. C'était une histoire pas très ancienne, et pourtant, Mickey qui ne se souvenait pas de tout ce qui était récent mais avait une forte mémoire pour tout ce qui datait, s'en rappelait toujours, comme si c'était quelques heures plus tôt... Ou une éternité plus tôt.

[A voir dans la fiche de liens de Charlotte pour « l'histoire ». Au pire, si tu n'es pas d'accord, on modifie tout =§
& Désolée pour le retard, en plus de la qualité médiocre de ce post... Je suis impardonable...]

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