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| | elliot's got the hell into himself. |    |
| | Auteur | Message |
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 |  Sujet: elliot's got the hell into himself. Ven 3 Avr - 20:15 | |
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Elliot Duberlay
The son of the Hell.
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Dernière édition par Elliot Duberlay le Sam 4 Avr - 11:24, édité 2 fois |
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| | Sujet: Re: elliot's got the hell into himself. Ven 3 Avr - 20:30 | |
| « I would like earn money. I would like to be a good pupil. I would like to be a prince, not a looser. »
« Elliot, tu prends une bière ? »
« Heu. Non. »
Le garçon lança un grand sourire à Agathe, qui reprit la bière qu’elle lui avait tendu. Il aimait ce genre de soirée. Calme, paisible, entre amis. Louis avait profité du fait que ses parents soient partis un week-end à la montagne pour inviter toute la joyeuse bande d’amis à l‘appartement. Pour Elliot, cela signifiait être loin de chez lui. C’était parfait, l’ambiance y était trop soutenue, tendue, depuis qu’il était revenu pour les vacances d’hiver à la maison. Comment leur dire qu’il ne pouvait pas être aussi bon à l’école qu’ils ne l’espéraient ? Il faisait son possible, c’était un bosseur qui travaillait sans rechigner, mais il n’y parvenait tout simplement pas. Alors, papa et maman râlaient. Comme souvent, d’ailleurs.
Le salon du petit appartement parisien des Cardon était confortable, rien à voir avec ce qu’Elliot pouvait connaître chez lui. Il y avait ces grands tableaux aux couleurs diverses et variées accrochées sur les murs qu’Elliot admirait sans cesse. Il y avait ces sofas si confortables dans lesquels il aurait pu tout aussi bien s’endormir. Il y avait Charlotte, la sœur jumelle de Louis, si attirante. Il jeta un regard furtif à la jeune fille de dix-sept ans, installée sur le sofa entourée de Jeremy et d’Alex. Il soupira. Ne le remarquerait-elle donc jamais ? Et bien sûr, au moment même où cette pensée lui traversa l’esprit, leurs regards se croisèrent. Presque gêné, il détourna le regard.
« Agathe ? Finalement j’en veux bien. »
« Toi alors, tu sais vraiment jamais ce que tu veux ! »
***
Elliot sortit de l’appartement, un mince sourire aux lèvres. Il avait passé une bonne soirée. Mais il n’avait toujours pas réussi à l’aborder. Oui, c’était la sœur jumelle d’un de ses meilleurs amis, mais alors quoi ? Le rêve n’était-il donc pas permit ?
Il commença à marcher, ou plutôt zigzaguer sous l’effet de l’alcool. A vrai dire, il n’aurait pas du accepter autant de fois. Il titubait, faillit tomber, se reprit en douceur, et finit les fesses sur le macadam, l’air ailleurs. Il resta assis, penaud.
« Elliot ? »
Eh merde. Pourquoi fallait-il qu‘il accumule toujours les bourdes ? Pourquoi fallait-il que quelqueun soit là, derrière lui, sûrement en train de se moquer de sa douce chute. Ne pouvait-on donc pas le laisser tranquille un moment ? Non, évidemment, c’était trop beau pour lui. Il se retourna.
Double merde. Charlotte. Elle se mit à courir jusqu’à lui. La brise soulevait ses cheveux et ses joues étaient légèrement rosées par le froid. Adorable. Dans ses mains fragiles, elle tenait une veste modeste.
« Tu as oublié ça. »
Évidemment. Elle arriva enfin à sa hauteur et lui tendit le vêtement avec un petit sourire au bout des lèvres. Elliot, quant à lui, en resta muet.
« Heu. Merci. »
« De rien. »
Un sourire s’installa sur ses lèvres et pourtant il se sentit mal à l’aise. Il n’avait jamais été adroit avec les filles. Il se contentait souvent de les observer de loin, sans jamais oser tenter une approche. C’était inscrit dans son caractère : maladroit, réservé et presque timide parfois. De plus, il n’était pas vraiment à son avantage. Sa tête lui tournait et il avait du mal à aligner plus de deux mots. Charlotte resta plantée devant lui, l’air pensif. Ses bras croisés, sa moue si attirante, il la dévorait littéralement du regard sans même s’en rendre compte. Ses prunelles brillaient d’intensité, et quand elle croisa ce regard, il le fuit une nouvelle fois. Alors elle s’approcha.
« Tu sais Elliot, tu devrais avoir plus confiance en toi, parfois. Tu ne te doutes même pas du charme que tu as. »
Il en resta bouche bée, tout simplement, les yeux légèrement écartés. Il était abasourdi. Depuis quand il possédait du charme, lui, Elliot Duberlay. Quelle blague.
« Je… »
Il s’interrompit, ne sachant tout simplement pas quoi dire. Charlotte posa alors sa main sur son épaule et lui décocha un regard hypnotisant.
« Parviendras-tu un jour à prendre ton courage à deux mains pour m’inviter ? »
« Je… »
« Chut. »
Elle lui sourit, avant de s’approcher un peu plus de lui. Leurs nez se touchaient et il pouvait sentir l’arôme de sa douce haleine de là où il se tenait. Il posa une main sur sa joue, la caressant un instant avant de la retirer immédiatement, le rouge lui montant aux joues. Alors elle se pencha encore un peu plus et posa délicatement ses lèvres sur les siennes. La danse du baiser débuta alors, doucement, simplement. Elliot était dans un état second, comme si un nouveau Monde était né, comme si rien d’autre n’existait à part cette magnifique créature se tenant devant elle. Même son mal-être avait temporairement disparu. Mais soudain le baiser devint plus fougueux comme si Charlotte ne pouvait s’arrêter. Elliot, qui n’était pas avare de baisers, ne s’en rendit pas compte tout de suite mais soudain les lèvres de la jeune fille se pressèrent violemment contre les siennes et il du la repousser. Les yeux de la jeune fille étaient exorbités et elle avait une dangereuse expression. Comme si elle était possédée. Soudain, elle lui agrippa le bras et le griffa d’une seule traite. Et avant même qu’il ait pu jeter un regard à son bras, elle avait disparu dans les profondeurs de la nuit.
La douleur commença à se propager dans le corps d’une jeune homme et le sang coula. Il passa sa paume de main sur son autre bras, le visage tordu de douleur. L’esprit s’était emparé de son être.
« I would like forget this night. This monster , this killer in my flesh. I would like to be me, not him. »
« Mais qu’est-ce qui t’arrive, à la fin ? On ne te reconnaît plus ! Tu n’es plus le même ! Où est passé notre Elliot sensible, timide et maladroit ? »
« En enfer ! »
« Tu vois ! Même avant tu ne me répondais pas comme ça ! »
Margaret Duberlay l’observait avec attention, une expression horrifiée sur son visage d’ordinaire si calme. Thibault, à sa droite, regardait son fils d’une façon plus dure, il n’aimait pas ce qu’il était devenue. En quatre mois, quatre tout petits mois, il avait changé d’une façon considérable. Il était devenu violent, agressif, cette expression mauvaise toujours affichée sur son visage. Ses yeux avaient ces reflets argentés qu’il n’appréciait guère. Il soupira.
« Ta mère a raison. »
« Ferme-là, toi, on t’a pas sonné ! »
« Ca suffit Elliot ! »
Elliot la dévisagea, une expression cruelle ouvertement affichée. Sa main, dans sa poche, serrait sa baguette magique, ses doigts crispés autour de celle-ci. Si seulement ils pouvaient se taire. Si seulement ils pouvaient arrêter de l’emmerder comme ça.
« Vous ne pouvez pas comprendre, bande d’ignorants. Vous ne pouvez pas comprendre »
Il détacha chaque mot de sa dernière phrase d’une façon menancante. Margaret lui lança un regard plein de compassion :
« Nous pouvons comprendre, Elliot. Qu’est-ce qui se passe ? On dirait un possédé… »
« Qu’est-ce que t’en sais, toi, de toute façon, les sang de bourbe n’y connaissent rien… vulgaire sang de bourbe. J’ai honte, j’ai toujours eu honte. »
Pour Thibault, c’en était trop, il sortit sa baguette magique et la dirigea vers son fils :
« Tu ne diras plus jamais ça à ta mère, compris ? Tu t’excuses tout de suite ! »
« Plutôt mourir que de m’excuser devant une sang de bourbe ! »
Il sortit lui aussi sa baguette magique, ses yeux lançant des regards d’un noir impitoyable.
« Moi aussi je sais utiliser ma baguette magique, papa, ne l’oublie pas ! »
« Elliot ne fait pas ça »
Sa mère le suppliait.
« Pourquoi pas ? Le Monde ne s’en porterait pas plus mal. »
« ELLIOT ! »
« LA FERME ! »
« BAISSE CA TOUT DE SUITE ! »
« LA FERME, J’AI DIS. »
« Chéri, arrête, tu n’es plus le même. »
« J’AI DIS LA… AVADA KEDAVRA. »
Une lumière d’un vert pur sortit de sa baguette magique et le sort frappa Thibault de plein fouet, dont le corps tomba sec sur le sol. Désormais les larmes coulaient sur le visage de Margaret.
« Elliot… Elliot… comment diable as-tu pu faire ça ? »
Elle se dirigea vers le corps de son mari, gisant sur le carrelage, et s’agenouilla à ses cotés. Son visage était déformé par la tristesse et elle lançait parfois des regards affligeant à son fils unique. Les larmes, des perles rondes et transparentes tombaient sur le visage du défunt dont les paupières étaient retombées, son visage tordu de douleur, figé à jamais. Elliot était resté debout, le visage impassible devant les sanglots de sa mère qui releva soudain la tête.
« Va-t-en, espèce de monstre. »
« Ferme-là, toi aussi tu veux finir comme ce vieux débris ? »
« ELLIOT, NE DIS PAS CA ! »
« Ne comprends-tu donc pas le français ? Faut-il donc que je parle en anglais, ta langue maternelle ? SHUT UP. »
Elle ouvrit la bouche mais n’eut pas le temps de prononcer un seul mot qu’un nouveau jet de lumière vert transperça son corps, qui tomba pile à coté de celui de son mari.
« Allez tous en enfer ! »
Ses yeux argentés tremblaient de menace, ses traits déformés par la fureur. Et pourtant, en l’espace d’une seconde, tout changea. Une douleur transcendante monta dans son corps, et un cri déchirant sortit d’entre ses lèvres. Il tomba à terre, à genoux, et se prit la tête entre ses mains qu’il secouait vigoureusement. Son visage tremblait et des larmes perlaient sur son visage.
Il n’y était pour rien. Il faisait tout pour sortit l’esprit de son corps, tout. Mais il était si fort, si puissant, ses efforts étaient vains, il n’y parvenait pas.
« NOOOOOOOOOOOOOON. »
Il se pencha sur le corps de ses parents, dans un instant de lucidité, pris leurs mains gelées entre les siennes avant d’enfouir son visage sur la poitrine de sa mère.
« Pourquoi ? Pourquoi ai-je fais ça ? »
Mais la seconde d’après, les larmes avaient disparu. La tristesse avait laissé place à la colère. Elliot avait laissé l’esprit reprendre le contrôle de son corps.
***
Elliot s’assit dans le siège confortable observant inlassablement le paysage qui défilait sous ses yeux. Poudlard Express. Il allait à Poudlard. Ayant commencé sa scolarité à Beaux-Bâtons, il changeait désormais pour le prestigieux collège anglais de renommée internationale. Cela ne faisait qu’un mois que le meurtre avait eu lieu, et l’esprit avait encore prit plus possession de son corps. Rares étaient devenu ses instants de lucidités, pendant lesquels il pleurait à grosses larmes chaudes, en repensant à ses parents, à son impuissance devant la force obscure. Mais ses yeux reprenaient toujours leur éclat argenté et les larmes disparaissaient alors comme par enchantement.
« Je peux entrer ? Il n’y a plus de place nulle part dans ce train. »
Il détourna le regard de la vitre pour observer la jeune fille qui était entré, suivi d‘une bonne demi douzaine d‘amis à elle. Marlowe. Vanessa Marlowe.
FLASH-BACK. Three years ago.
Elliot se trouvait dans les rues du Chemin de Traverse, où il faisait quelques emplettes en compagnie de Grayson, son meilleur ami sorcier. Il était devant la librairie de Fleury & Bott, se demandant s’il allait entrer quand soudain quelqu'un lui tapota l’épaule.
« Excuse-moi, mais je suis pressée. »
Il se retourna, et se retrouva devant une petite brune menue aux prunelles troublantes. Surpris, il ne bougea pas d’un cil, se contentant de la dévisager. Derrière elle se trouvaient trois garçons et une fille, qui parlaient avec animation.
« Eh oh, excuse-moi ! »
La jeune fille soupira d’un air las avant qu’il daigne enfin se décaler vers la gauche pour la laisser entrer.
« Déso… »
« Merci ! »
Il avait balbutié, n’avait même pas terminé sa phrase qu’elle était entré dans la boutique. Lui aussi soupira et Grayson arriva à ce moment même.
« Dis donc, plus abruti y a pas ! »
« Hein ? Quoi ? »
« T’as pas vu comment tu la fixais ? »
« Euh. Non. »
/FLASH BACK.
Et en un instant, Elliot parvint à chasser l’esprit de ses pensées et le rouge lui monta aux joues.
« Euh. Oui. »
« Vos papiers, s'il vous plait ? »
PAR RAPPORT A ELLIOT.
Nom: Duberlay
Prénom : Elliot Jimmy.
Année : Troisième.
Groupe : Sorcier.
Quelques traits de caractère : Avant d'être possédé, Elliot était quelqu'un de timide, et surtout très maladroit. C'était quelqu'un de réservé, qui vivait dans l'ombre de ses amis.
Désormais, il est devenu violent, agressif. Sans aucun remord.
PAR RAPPORT AU JOUEUR.
Pseudo : Gwn.
Age : Dix-huit ans.
Avatar choisi : Chace Crawford.
Avis sur le forum : Bien que j'aime beaucoup le design, ce qui m'a le plus interpellé fut l'intrigue ! Ca mêle pleins d'univers, vampires, sorciers, moldus. Et je le trouve vraiment bien inventé et écrit.
Code du règlement : Spirit's return
Dernière édition par Elliot Duberlay le Sam 4 Avr - 16:11, édité 2 fois |
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| | Sujet: Re: elliot's got the hell into himself. Sam 4 Avr - 11:24 | |
| | J'ai terminé : ) |
| | | | Lokhyan Raphaël Dewitt GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become
♦ Lettres Envoyées : 3608
♦ Crédit : BS*
♦ Citation : "La cruauté est le remède de l'orgueil blessé"
A NEW BEGINNING
♦ Age du personnage: 1125 ans Ϟ 24ans d'apparence
♦ Nouvelle vie:
| | Sujet: Re: elliot's got the hell into himself. Sam 4 Avr - 12:04 | |
| Bienvenue ici!
Allooors très bele fiche, j'adore tout simplement. Pas ou peu de fautes, une belle expression, pour moi c'est nickel. Tu as bien cerné le personnage en plus. Mais il manque un petit truc -la partie HJ, on demandait ton pseudo, ton avis sur le forum, et pour Elliot, son age, sa maison, quelques traits de caractère. Même si c'ets un vacant. Dès que tu as fait ça, je te valide! |
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| | Sujet: Re: elliot's got the hell into himself. Sam 4 Avr - 12:22 | |
| Voilà j'ai edité : S
Je pensais qu'il fallait mettre mes caractéristiques du peros à l'intérieur de la fiche RP  Quant au topo par rapport au joueur, j'avais oublié !
Désolée, j'espère que ça ira : ) |
| | | | Lokhyan Raphaël Dewitt GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become
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| | Sujet: Re: elliot's got the hell into himself. Sam 4 Avr - 12:28 | |
| oui, oui, mais on prefere avoir quelques traits de caractère en dehors du rp, comme ça si on "hésite" et beh on regarde.
Vu que tu es vacant, je te valide sans trop de cérémonie XD
Bravo! |
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| | Sujet: Re: elliot's got the hell into himself. Sam 4 Avr - 12:29 | |
| | Merci beaucoup : D |
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| | Sujet: Re: elliot's got the hell into himself. | |
| |
| | | | | | elliot's got the hell into himself. | |
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