gemma gerson.

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gemma GERSON
vingt ans
maison à définir, en cinquième année.
sorcière de sang-pur

Gemma, joli prénom d'origine anglaise, qu'elle porte avec une grande fierté
Gerson, nom de famille issu de son côté suédois.

Gemma est une jeune adolescente comme les autres, ou peut-être même
un peu plus folle que d'autres. Anglaise de sa mère, et suédoise de son père,
voici une jolie petite demoiselle ayant la double nationalité. Etant aussi
bilingue.

Côme, anciennement HET.

Je suis vraiment très attachée à ce forum,
et je compte y rester gemma gerson. 387595

.
Ma seconde fiche est donc en cours, et j'ai
connu ce forum par l'intermédiaire de Morgane
( Lohkyan ).
code : spirit's return

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Qui aurait cru, qu’un jour, moi Gemma Gerson, irait à Paris. Je parlais certes certaines langues et mon vocabulaire s’était agrandi durant les années, mais je ne connaissais pas le français, à part les mots si connu : « Tu veux coucher avec moi ce soir ? ». C’est fou comment tout le monde connait ces quelques mots. Bref, me voilà arrivé à l’aéroport principal de la capitale française. C’est beau. On m’avait toujours répété que Paris était magnifique, et je n’y avais pas cru, quelle bêtise. Maintenant, je n’ai plus de doute. Au haut de mes quatorze ans, je suis fière de pouvoir le crier : la France est cool. Ahaha ! Mais voilà, je ne suis malheureusement pas toute seule à Paris. Faut aussi que je me tape mes parents, et heureusement j’ai mon grand frère, Cojatö –encore un prénom suédois. Il est âgé de deux ans de plus que moi, et je peux lui faire confiance quand besoin est.

Je savais pertinemment qu’on ne serait pas là à onze heures, pour la bonne raison, que lorsque j’allais me promener avec Cojatö, on ne rentrait jamais avant trois heures du matin. Après tout, c’était Cojatö. Sérieusement, on ne pourra jamais le changer. Mais je l’aimais comme il était. Puis, nous avons dit au revoir à père et mère, pendant que lui et moi prenions un taxi, et que le brun passa quelques coups de téléphone.

Je l’écoutais, et le suivais. Il continua de parler et donner plusieurs coups de téléphone, et indiqua des noms de rues au chauffeur. Cela m’insupporta car je ne comprenais rien, je n’aime pas cette foutue langue. Elle ne servait à rien, je ne servais à rien . Je me sentais inutile, et j’en avais horreur. J’avais cette envie folle de sortir, mais je me retins, je ne voulais pas me retrouver seule dans cette ville où il était si simple de s’égarer. Alors je sortis de mon sac à main, un joint que j'alluma prudemment, et je commençais alors à crapoter, et Cojatö laissa échapper un rire. Je lui fis un doigt, et cela se termina par le chauffeur, qui annonçait qu’on était arrivé – Cojatö avait gentiment traduit. Il paya, et on sortit, on était dans un quartier chic de Paris, et pourtant, on aurait dit un quartier délabré tellement il y avait de drogues, et de bruits dans cet important. Je jetais alors le joint, et regarda Cojatö.

Il partit en premier, et je me décidais alors à rentrer, dans cet endroit typiquement français. Ils avaient de drôles de manières, il était vrai. Elle monta dans l’immeuble si immense qu’on pourrait s’y perdre. Pour savoir où avait lieu la fête, ce n’était pas bien difficile, il suffisait de suivre les allées et venues, ou bien suivre le son de la musique au niveau élevée. Elle poussa légèrement la porte, et vit alors des dizaines et des dizaines de français, et françaises. Cojatö avait raison, ils étaient pour la plupart beau. Chez eux, Cojatö et moi étions pratiquement les seuls bruns, ici, nous sommes quasiment les seuls a avoir les yeux bleus. C’était amusant, je riais toute seule.

C’est alors que je me rendis compte, que je n’étais pas si différente, c’était juste, qu’à Stockholm, peu de personnes me correspondaient. J’étais aussi folle qu’eux. J’en riais. C’est alors qu’un beau jeune homme s’approcha, et me tendit une bière que j’accepta avec un de mes sourires des plus séduisant.

laugh=rires

J’attrappa alors la bière française, qui avait un goût affreux, j’étais à la limite de courir dans les toilettes, ce que je ne fis pas. Je restais parler pendant quelques temps avec ce charmant français qui ne cessait de me faire des avances. Puis, il s’approcha à un moment un peu trop de moi, ayant moi-même un peu hors de mon état naturel, j’entendis une voix familière.

Mon frère était littéralement furieux, du peu que je me souviens, il avait fait frapper ce Gaspard, et avait laissé tomber son fantasme des françaises pour moi…

* Ce qui est écrit en anglais, est en anglais dans l'histoire.
Ce qui est en français est en suédois dans l'histoire mis à part la partie où Cojatö parle à ce fameux Henri. gemma gerson. 387595

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Jaune et or que j’étais, je m’étais habituée à ce monde magique, que je ne fréquentais guère avant mes quinze ans. Je me sentais désormais dans mon environnement, et malgré quelques sottises que je continuais à pratiquer, j’avais mûri depuis mes quatorze ans, depuis Paris. Toujours aussi proche de Cojatö, il est désormais en septième année, et lui en revanche n’a pas changé. Toujours aussi joyeux de vivre, il est aussi bon qu’avant, et aussi éberlué. On se ressemble en tout point, physiquement, et mentalement. C’est ma moitié à moi. Pourtant, j’avais découvert une nouvelle moitié de moi à Poudlard, mister Dev Rajiv. Etais-je vide ? Etais-je composé de deux personnes extérieur de moi ? Ma vie pouvait, à ce moment de ma vie se réduire en deux prénoms, en réalité : Cojatö et Mickey. Pourtant, avec Mickey, notre relation n’était pas des plus communes. J’ignorais, mes vrais sentiments pour lui, je savais seulement qu’avec lui, j’étais épanouie. J’étais normale, heureuse. Enfin moi, mais encore plus moi. Et puis, j’ai voulu le mettre à l’épreuve. Et puis, moi aussi par la même occasion. Comment allait réagir mon rouge et or préféré ? Allait-il découvrir mon plan plutôt machiavélique ?

C’est alors qu’à ce moment précis, une jeune fille à la cape bleu et argent au nom horrible de Camille arriva. Je me retourna vers Mickey, et lui fis un grand sourire et il m’interrogea du regard.

Il sourit fièrement, comme si il était sûr de gagner ce pari là. Il ne se rendit même pas compte de la peine que cela me procurait. Je m’interdisais de pleurer, et j’observais Mickey, mon rouge et or, à aller se rendre au bal avec Camille, cette bécasse assez mignonne. Je m’en voulais à moi-même. A cause de ce jeu minable je n’irais pas avec lui à ce bal d’hiver. Lui, il ira accompagné, je n’aurai plus qu’à me rabattre sur un joueur de mon équipe de Quidditch, désormais. Y’en aura bien un, qui me proposera. Ou j’en parlerai avec Cojatö, il sait toujours quoi faire. Mickey était radieux, mais encore moins que cette idiote. Elle avait un sourire qui paraissait scotché sur son visage. Le rouge et or, ne s’apercevait de rien. Lorsqu’il revint vers moi, il me donna un coup de coude, fier.

*

J’étais furieuse, j’étais désarçonnée. Il avait raté son test, ou bien, je l’avais surestimé. Et je me retrouvais seule, comme toujours. Je n’avais que moi-même. Je n’aurai jamais du m’attacher comme ça, à quelqu’un que je ne connaissais que depuis quelques années. J’ai été idiote. Je ne voulais plus le voir, j’avais été blessé, et je ne voulais pas l’être une seconde fois. Je commençais à marcher dans les couloirs interminables de cette école Poudlard, à laquelle je venais d’entrer, au début de l’année, car avant j’étudiais à Durmstrang, près de mon pays natal. Là où j’étais un peu près chez moi, quoi. C’était la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase, j’avais changé. Je ne me sentais plus moi-même. Il fallait que je me reprenne. Et vite.

GEMMA – Accio balais

J’attrapais mon balais par les deux mains, et tapa du pied méchamment pour m’envoler. Je partis en direction du stade de Quidditch, l’entraînement ne commençait que dans quelques heures. Mes larmes coulaient abondamment sans que j’y prenne attention. Mon seul but, désormais était d’être seule. Seule avec moi-même. Une fois arrivée au stade, je pointais mon balai vers le centre du terrain, afin de m’allonger au centre, une tâche humaine sur une herbe verte. Nulle part, mais en même temps dans le seul endroit de cette nouvelle école où j’étais à l’aise. Je m’endormie.

PETER – Eh bien, la petite dort ?

Une voix insupportable me réveilla de l’oubli. La voix insupportable de Peter McKarson. Le jaune et or de septième année, aussi le meilleur ami de Cojatö. Par respect pour mon frère, il m’apprit à manier le balai, avec une grande délicatesse. Mais, il n’a pas su résister à l’appel féminin, après mon premier match, lorsqu’on était seul à seule, dans les vestiaires. Bien évidemment, Cojatö n’en sait rien. Je me relevai doucement en lui adressant un regard noir.

Je ne pleurerai plus. Il en était hors de question. Je ne veux plus. Et j'aperçu au dessus de moi, l'équipe des jaunes et or, qui s'entraînait sur leurs balais à quelques mètres au-dessus de ma tête.

* Même si c'est écrit en anglais, elle le dit en suédois gemma gerson. 387595

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voilà je pense avoir terminé :/ . Merci d'avance.

Gemma;

Topaze

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