| Sujet: cojatö gerson, suédois, septième année. libre Sam 14 Mar - 13:22 | |
| william MOSELEY
/!\ discutable, d'autres propositions vous sont faites juste en bas, mais n'hésitez pas, il faut simplement qu'il soit plutôt bruns, et de préférence, les yeux clairs.
| cojatö GERSON vingt-deux ans, septième année maison à définir.
caractère ; drôle – heureux – épanoui – arrogant protecteur – déluré – courageux – indépendant – joueur – droit – rusé.
histoire ; Cojatö est un sorcier de sang-pur. Il a grandi aux côtés de sa famille à Stockholm, mère anglaise et père suédois, donne à ce garçon le don d'être bilingue. Il a toujours participé aux fêtes auxquelles il pouvait assisté, et a du faire avec ses amis, les quatre cents coups.
liens avec gemma ; Gemma n'est qu'autre que sa petite soeur. Sa petite chérie. Cojatö et Gemma partagent une relation fusionnelle, ils savent tout, l'un sur l'autre. Ils étaient à Durmstrang, et ont été envoyé tous les deux à Poudlard, et leurs relations n'a pas reçu une seule égratinure. Il s'est toujours montré très protecteur envers sa petite soeur, de deux ans sa cadette.
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fiche de gemma : *
voici un RP, montrant parfaitement la relation qu'ils entretiennent, à votre plaisir de la lire
- Spoiler:
Qui aurait cru, qu’un jour, moi Gemma Gerson, irait à Paris. Je parlais certes certaines langues et mon vocabulaire s’était agrandi durant les années, mais je ne connaissais pas le français, à part les mots si connu : « Tu veux coucher avec moi ce soir ? ». C’est fou comment tout le monde connait ces quelques mots. Bref, me voilà arrivé à l’aéroport principal de la capitale française. C’est beau. On m’avait toujours répété que Paris était magnifique, et je n’y avais pas cru, quelle bêtise. Maintenant, je n’ai plus de doute. Au haut de mes quatorze ans, je suis fière de pouvoir le crier : la France est cool. Ahaha ! Mais voilà, je ne suis malheureusement pas toute seule à Paris. Faut aussi que je me tape mes parents, et heureusement j’ai mon grand frère, Cojatö –encore un prénom suédois. Il est âgé de deux ans de plus que moi, et je peux lui faire confiance quand besoin est.
MERE – Gemma ? Darling ? GEMMA – Yeah ? I’m here with Cojatö. MERE – Not forgotten, we'll find ourselves at the hotel. Don't stay too long in the streets of Paris, it's a real puzzle. COJATO – Don’t matter mum, I take care of the baby. GEMMA – You know what she says the baby? COJATO – What’s fuck ? You’re a baby. MERE – STOP IT ! Check, I make you in trust Cojatö. See you tomorrow? We're back to eleven o'clock, right ? GEMMA et COJATO – No problems.
Je savais pertinemment qu’on ne serait pas là à onze heures, pour la bonne raison, que lorsque j’allais me promener avec Cojatö, on ne rentrait jamais avant trois heures du matin. Après tout, c’était Cojatö. Sérieusement, on ne pourra jamais le changer. Mais je l’aimais comme il était. Puis, nous avons dit au revoir à père et mère, pendant que lui et moi prenions un taxi, et que le brun passa quelques coups de téléphone.
GEMMA – Tu parles français maintenant? COJATO – Gemma, tais-toi. Je suis au téléphone. Oui, salut Henri! C’est Cojato, tu te souviens? Tu sais pas où y’a une soirée ici ? Ok, en revanche j’me tape ma soeur, pas de soucis ? Ok on arrive. GEMMA – Cojatö, quel est ce bordel? COJATO – Tu veux t'amuser ou non, ce soir? GEMMA – Oui. COJATO – Alors tais-toi, et suis-moi.
Je l’écoutais, et le suivais. Il continua de parler et donner plusieurs coups de téléphone, et indiqua des noms de rues au chauffeur. Cela m’insupporta car je ne comprenais rien, je n’aime pas cette foutue langue. Elle ne servait à rien, je ne servais à rien . Je me sentais inutile, et j’en avais horreur. J’avais cette envie folle de sortir, mais je me retins, je ne voulais pas me retrouver seule dans cette ville où il était si simple de s’égarer. Alors je sortis de mon sac à main, un joint que j'alluma prudemment, et je commençais alors à crapoter, et Cojatö laissa échapper un rire. Je lui fis un doigt, et cela se termina par le chauffeur, qui annonçait qu’on était arrivé – Cojatö avait gentiment traduit. Il paya, et on sortit, on était dans un quartier chic de Paris, et pourtant, on aurait dit un quartier délabré tellement il y avait de drogues, et de bruits dans cet important. Je jetais alors le joint, et regarda Cojatö.
GEMMA – Tu m’as emmené où ? COJATO – On peut appeler ça, une fête française ! GEMMA – Pourquoi, ici ? COJATO – Parce que je rêve depuis mes treize ans, de voir des françaises.. Enfin , voilà quoi. T’as ton portable ? GEMMA – Ouais. COJATO – Eh bien, je t’appelle dans quelques heures, ils te laisseront entré, don’t worry. Mais je suis pas ton père, donc t'es gentille, laisse-moi seul. GEMMA – OK . Merci grand frère. COJATO – De rien.
Il partit en premier, et je me décidais alors à rentrer, dans cet endroit typiquement français. Ils avaient de drôles de manières, il était vrai. Elle monta dans l’immeuble si immense qu’on pourrait s’y perdre. Pour savoir où avait lieu la fête, ce n’était pas bien difficile, il suffisait de suivre les allées et venues, ou bien suivre le son de la musique au niveau élevée. Elle poussa légèrement la porte, et vit alors des dizaines et des dizaines de français, et françaises. Cojatö avait raison, ils étaient pour la plupart beau. Chez eux, Cojatö et moi étions pratiquement les seuls bruns, ici, nous sommes quasiment les seuls a avoir les yeux bleus. C’était amusant, je riais toute seule.
C’est alors que je me rendis compte, que je n’étais pas si différente, c’était juste, qu’à Stockholm, peu de personnes me correspondaient. J’étais aussi folle qu’eux. J’en riais. C’est alors qu’un beau jeune homme s’approcha, et me tendit une bière que j’accepta avec un de mes sourires des plus séduisant.
FRANÇAIS – Ca te dis ? GEMMA – Sorry, i don’t speak french. FRANÇAIS – Oh, right. No problem, i will speak english. My name is Gaspard, nice to meet you. GEMMA – Gemma. GASPARD – What is the honnor of your visit in paris ? GEMMA – laugh=rires. Your english is funny. Well I am here on holiday for three days with my brother, Cojatö . GASPARD – Want a beer? GEMMA – Well. Thanks.
J’attrappa alors la bière française, qui avait un goût affreux, j’étais à la limite de courir dans les toilettes, ce que je ne fis pas. Je restais parler pendant quelques temps avec ce charmant français qui ne cessait de me faire des avances. Puis, il s’approcha à un moment un peu trop de moi, ayant moi-même un peu hors de mon état naturel, j’entendis une voix familière.
COJATO – Let my sister man! GASPARD – Cool man, it’s vacation. COJATO – I don’t mean it. DON’T APPROACH MY SISTA, RIGHT ? GASPARD – Right, right, cool man !
Mon frère était littéralement furieux, du peu que je me souviens, il avait fait frapper ce Gaspard, et avait laissé tomber son fantasme des françaises pour moi…
* Ce qui est écrit en anglais, est en anglais dans l'histoire. Ce qui est en français est en suédois dans l'histoire mis à part la partie où Cojatö parle à ce fameux Henri.
d'autres exemples d'avatar ;
- Spoiler:
adam brody
| ashton kutcher
| nicholas hoult
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Dernière édition par Gemma Gerson le Sam 14 Mar - 17:12, édité 1 fois |
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