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SMACDRAW ; my sweet nightmare

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SMACDRAW ; my sweet nightmare Vide
MessageSujet: SMACDRAW ; my sweet nightmare SMACDRAW ; my sweet nightmare EmptySam 7 Mar - 14:45



SUNDAY ARIANE MACDRAW
SMACDRAW ; my sweet nightmare 5ez48n


    « Et Thésée abandonna Ariane sur cette île ; Dionysos la recueillit, faisant d'elle sa reine »
    Le voyage de retour fut plaisant, et après quelques jours, Thésée et Ariane arrivèrent sur l'ile de Naxos. Ariane s'endormit sur le rivage. Thésée se glissa à bord et mit les voiles. Personne ne savait pourquoi il l'avait abandonnée. Regrettait-il déjà sa promesse de l'épouser? Avait-il été mis en garde par Dionysos qui voulait lui-même la prendre pour femme? Ou bien était-il fatigué d'elle après quelques nuits d'amour et poursuivait-il déjà de ses ardeurs une autre jeune fille? Quelles qu'aient été ses raisons, la peur d'Ariane, lorsqu'elle se réveilla, ne dura pas longtemps. Elle pria les dieux, et Dionysos apparut avec ses compagnons débauchés, prêt à l'épouser sur-le-champ. La couronne qu'Ariane porta à son mariage fut ensuite placée dans le ciel et devint la constellation de Corona Borealis, la Couronne Boréale.
      «Voilà le conte que l'on raconte aux enfants. Vous voulez que je vous dise, moi? Dionysos l'a épousée, l'a emmenée dans son monde de volupté, de luxure et de débauche. Il a pris sa couronne, en a fait une auréole. Et lorsqu'il fut rassasié, il la tua par deux fois ; d'un large et long coup d'épée, qui lui coupa le souffle. Et enfin, il la laissa retomber du paradis, la décrochant de son auréole... Je suis Sunday Ariane MacDraw, autrefois humaine, aujourd'hui vampire... Faire partie des damnés ne présente pas autant d'attrait qu'on pourrait le croire, sachez-le. J'occupe mon temps, je vais, je viens. M'est venue l'idée d'intégrer les rangs des étudiants de Poudlard, en 7e année. Pourtant, je suis bien, bien plus âgée que cela... aujourd'hui presque 6 siècles d'existence... Avez-vous déjà dansé avec le diable sous la pleine lune? »

    elle est sublime ; elle est douce ; et pourtant le danger incarné
    tu voulais que je sois ceci ; réjouis-toi, je ne le suis pas ; je suis mieux
    Cruelle Prédatrice ; Irrésistible Tentatrice ; Intelligente Manipulatrice
    te voilà pris dans mon filet ; le plus attrayant filet qui soit aux couleurs pâles
    laisse-toi séduire ; entends mes chuchotements ; recherche mes doux murmures
    sens mes caresses ; mais rappelle-toi ceci ; la seule chose plus dangereuse que de m'ignorer
    est bien de faire attention à mon visage ; je serai ton tourment de délices pour ton grand plaisir
    sois donc mon pantin ; pour mon amusement ; cours, fuis, tu ne m'échapperas pas ; tu voudras revenir

    Car je suis la divine tentatrice....


Spoiler:


Dernière édition par Sunday A. MacDraw le Dim 8 Mar - 0:10, édité 5 fois
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SMACDRAW ; my sweet nightmare Vide
MessageSujet: Re: SMACDRAW ; my sweet nightmare SMACDRAW ; my sweet nightmare EmptySam 7 Mar - 14:46


    To Kill A Mocking Bird ; XVIe Siècle


      Sourire aux lèvres, je fixais l'horloge à laquelle je faisais face. Celle-ci remplissait sèchement l'air calme de ses sons secs et rythmés, tandis que mes yeux suivaient le mouvement rotatoire qu'imposaient les rouages à l'aiguille des minutes. Le temps. Il ne représentait rien à mes yeux, que les secondes écoulées, une mesure qui ne signifiait rien pour moi qui étais et qui demeurerais Immortelle. Le mécanisme de l'immense horloge me faisait face, semblant presque me narguer de ses puissants battements dont le bruit résonnait à mes tympans comme autant de lourds tintements d'une cloche qu'on eut sonnée à l'oreille de quelque ivrogne cuvant son vin, affalé conte une paroi, dans l'ombre de la première ruelle rencontrée. Pourtant, quelle différence y avait-il entre un ivrogne et moi? En me voyant, peut-être auraient-ils dit, d'un ton où percerait une sourde indignation, que tout me différenciait de cet homme débraillé aux vêtements souillés par l'alcool et toute autre substance illicite qu'il aurait pu absorber. Et pourtant. Qu'est-ce qui distingue vraiment les êtres entre eux? Leur nature la plus profonde. Qu'est-ce que fait un buveur, donc? Il boit. Mais avant de boire, il commence par désirer boire, en voyant quelque baril de bière qu'il espère déjà percer avant de s'engorger du liquide doré, d'en boire à satiété avant de recommencer le lendemain. Il est dans sa nature de boire, de désirer boire ce qu'il voit, ce qu'il sent... pas ce qu'il imagine, car même nos fantasmes les plus fous ne sont pas tangibles. Ce ne sont que des images tirées d'un imaginaire aujourd'hui révolu, un espoir éphémère brûlant comme une ridicule petite allumette dans les ténèbres environnants. Alors vraiment, étais-je différente de cet ivrogne? Non. Parce qu'on commence par désirer ce qu'on voit tous les jours, ce qui est à la portée de nos sens. Ces humains que je sentais tout autour, le parfum irrésistible qui m'attirait avec plus de force encore qu'une lumière attire un papillon, ces humains qui s'approchaient de moi, fascinés, sans savoir qu'ainsi, ils avaient signé leur arrêt de mort et qu'alors, l'heure précise de la fin de leurs jours dépendrait de mon humeur ainsi que de mon appétit. Et tandis que mon esprit acéré s'égarait, mes yeux fixés sur l'aiguille décomptant les minutes qui s'écoulaient, je ressentais avec une satisfaction sadique, animale, que la dernière heure de cette jeune personne était venue. Le jeune homme qui avançait pourtant si calmement, n'ayant cure du prochain drame... Un sourire carnassier dévoilà mes dents blanches, trop blanches, dont la blancheur n'était surpassée que par celle de ma peau. Les sens aux aguets, si mon sang avait pu couler dans mes veines, je l'aurais senti pulser avec une force féroce, car je savais bien que c'était dans ma nature la plus profonde. Tuer ou être tuée. Un jeu fascinant, n'est-il pas?

      Le voilà qui arrivait. Propulsée par la douce brise qui soufflait, sifflant entre les branches avec un effrayant hululement, son odeur parvint à mes narines alors que je sentais le feu dévorer ma gorge. 3 jours. Il y avait trois jours que je n'avais chassé, trois jours au cours desquels tous mes sens, toutes les parcelles de mon corps et de mon intelligence se languissaient de ce doux parfum, de cette spleindide arôme, de cette torture pour les papilles gustatives... Il m'arrivait à l'époque de m'imposer des limittes, des objectifs à atteindre avant d'arriver à effleurer la perfection, un jour peut-être. Je tentais de me restreindre par rapport au sang absorbé, ce filtre de vie qui me permettait de tenir aussi aisément tous les jours... Ces humains qui passaient alors sous mon nez, inconscients que la mince frontière séparant leur vie de leur mort n'était mesurée que par ma volonté de résister à la soif, par pur défi, à l'époque, puis par la suite non plus pour le simple plaisir de résister, mais plutôt pour cesser d'être dépendant. J'avais entendu parler de nombreuses fois des répercussions que les drogues pouvaient avoir sur les toxicomanes, et savais pertinament que cette addiction pour le sang, pourtant dans ma nature, n'était pas une de celles que l'on peut combattre aisément. Ils me passaient sous le nez, inconscients, alors que je les fxais, véritables repas ambulants qu'ils constituaient tous... Avec une lueur affamée, terrifiante presque, dans le regard, je les fixais alors que mon choix s'arrêtait parfois sur l'un d'entre eux, lorsque je finissais par flancher, cédant encore du terrain à cette obsession mordante qui me grugeait toujours davantage, qui prenait place en mon esprit pour ne rien laisser au hasard, telle un mécanisme perfectionné d'auto-pilote me permettant de devenir la plus redoutable des prédatrices, une tueuse dont tous les aspects avaient été polis et perfectionnés afin d'en faire l'espèce dominante, trop puissante pour réellement être comprise. Cédais-je alors du terrain face à cette soif, ce feu dévorant? Oui, oui. Le sang du jeune homme m'appelait, chantait pour moi en ses veines palpitantes. Nous nous trouvions à Venise, où j'avais cru bon de m'arrêter quelques temps. Les vagues venaient doucement s'écraser contre le mur, tandis que mon regard, toujours pris dans la contemplation de l'horloge, finit par s'en déloger. Il était là. L'homme avançait rapidement, d'une démarche assurée dans laquelle sourdait pourtant une légère tonalité d'inquiétude ; après tout, qui pouvait savoir les horreurs dissimulées sous une chappe nocturne? En me voyant, son visage s'éclaira. Après tout, comment craindre la vue d'un chérubin, et surtout d'une femme aussi superbe? Néanmoins, il fallait toujours faire bien attention aux apparences... celui qui semble être un chérubin en est-il réellement un? Il s'avança rapidement vers moi, sourire aux lèvres, comme s'il avait soudain décidé que sa marche dans les ténèbres avait à présent un tout autre but.

        « Bonsoir... vous semblez perdue. »
        « Non. Non, non, je ... j'allais.. chercher du bois, oui, du bois... »
        « Du bois. Hm. Il se trouve justement, mademoiselle, que vous êtes bien fortunée. »
        « Et... en quoi le suis-je? »
        « Vous n'aurez pas à traverser la moitié de la ville pour chercher un misérable fagot de bois qui vous serait vendu deux fois plus cher que ce qu'il en vaut. Si vous voulez bien me suivre, je devrais pouvoir vous en trouver...»
        « Oh, merci... ne... ne vous dérangez pas pour cela!»

      Docile, je me montrais docile comme un mouton suivant son cher berger, absolument certain de me mener à bon port, chercher ce fagot de bois qui, même si mon guide malchanceux n'en avait nullement conscience sur le coup, lui coûterait la vie... Pourquoi donc ne pas l'avoir pris avec moi tout de suite, tandis que je sentais la soif, si grande, et ses pulsions intérieures battre si rapidement qu'il me semblait les sentir contre mes dents acérées, contre ma langue glacée mais pourtant brûlante, brûlante de l'expectative de faire du vénitien charmeur mon prochain repas. Contre sa peau hâlée, je voyais distinctement en avant, sa carottide battre régulièrement au rythme de son coeur dont l'enivrante mélopée m'envoûtait. Sans en prendre conscience, je fermais les yeux afin de mieux profiter de cette arôme exceptionnelle, d'entendre tout ce qui parvenait à mes oreilles surdéveloppées, prête à me damner une seconde fois pour pouvoir plonger mes canines aiguisées et tranchantes dans sa chair que je devinais douce et tendre sous ses habits classiques, puis, engorgée de sang, laisser là son corps rendu blanc comme neige par l'absence totale de sang, sang dont je me serais repue avec une joie féroce, animale. Le naif Italien continuait d'avancer, mu par ma voix de velours, douce mais lourde de menaces sous-entendues par des mots aussi charmeurs que dangeureux, mots dont il ne comprenait pas le quart de la moitié du commencement d'une, se dirigeant vers l'antichambre de la mort: la ruelle se trouvant tout juste derrière un costumier ayant fermé ses portes depuis belle lurette. Y reposaient encore quelques articles de machinerie usés par le temps, rendus inutilisables par la rouille, exposés ainsi aux intempéries. Une dizaine de pas. Voilà ce qui nous séparait de ce qui allait faire courir le bruit dans les canaux de Venise ; Il Monstro. Il Monstro qui tuait ses victimes en aspirant leur sang, les laissant là, des plaies en forme de demi-lunes... Sourire carnassier se découvrant sur mes lèvres, je le vis se tourner vers moi, un désir intense brûlant à travers son regard. Voyant bien qu'il n'y avait là aucun bois, je feignis alors une innocente incompréhension.

        « Vous... vous êtes sûr que c'est ici? Je ne crois pas qu'il y ait du bois par ici...? »
        « Absolument, mademoiselle. Venez plus près, je vous montrerai- mais... vos dents, elles sont... »
        « Belles, non? Fou que vous êtes... »
        « Je crois que- »
        « Saviez-vous que souvent, les choses n'existent que parce que l'on daigne y croire? »

      Il n'eut pas le temps, pas la possibilité de faire quoi que ce soit. Ses grands yeux noisette s'écartillèrent alors que je m'approchais de lui, féline et sensuelle, l'incarnation même du danger, tandis qu'il voyait finalment le sourire carnassier accroché à mes lèvres pâles, découvrant mes dents acérées pleines de venin, brûlant d'envie de le mordre, de lui rompre le cou avant qu'enfin, il soit mien, qu'enfin, je puisse assouvir ma soif, plongeant dans les délices procurés par la sensation du flux couleur carmin coulant le long de sa gorge... L'incompréhension dans son regard si jeune fit naitre un rire en moi, glacial, méprisant, mordant. Mon guide céda bien rapidement à la peur, et tenta vainement de s'échapper. Pas même un dixième de seconde ne s'était écoulé avant que je ne le rattrape, le tenant contre moi en un étau de fer, humant avec une fièvre grandissante l'odeur veloutée de sa peau, devinant la chair tendre striée de vaisseaux qui étencheraient ma soif, ma soif qui me causait cette brûlure intense à la gorge, qui finirait bien par me rendre folle. Il ne dit rien, ne pleura pas, ne supplia pas. L'homme me fixa de ses grands yeux tandis que de sa bouche rose s'échappait un petit soupir, doux et las, un soupir s'échappant avec sa propre vie, au rythme du sang qui coulait, aspiré par ma bouche, tandis que je me délectais du breuvage divin... Et ses yeux, lorsque je le laissai retomber comme une vulgaire poupée de chiffon, ses yeux qui étaient si brillants et si lumineux, contemplaient les étoiles de leur regard fixe.


    Dernière édition par Sunday A. MacDraw le Sam 7 Mar - 18:17, édité 1 fois
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    SMACDRAW ; my sweet nightmare Vide
    MessageSujet: Re: SMACDRAW ; my sweet nightmare SMACDRAW ; my sweet nightmare EmptySam 7 Mar - 14:47


      Sunday, Bloody Sunday ; XXIe Siècle


        Le silence était un concept exceptionnellement subjectif, quand on y songeait un peu. Un homme travaillant à l'érection d'une tour devait bien songer, en revenant le soir chez lui, que d'entendre les chiens du quartier aboyer était la plus douce des musiques, la plus reposante également, tandis qu'un moine, par exemple, se devait bien entendu d'être harrassé par tout bruit résonnant dans l'air, hormis le classique grattement des plumes contre le papier de vélin utilisé pour servir de réceptacles aux missives moniales. Qu'est-ce qui, pour moi, incarnait le silence? Oblivion. Le Néant. Rien. Mes facultés étant toutes développées à l'extrême, je ne pouvais, considérant mon ouie phénoménale, jamais avoir droit à un moment de répit complet. Voilà bien ce que j'enviais aux humains: leurs sens faibles. Les miens, exacerbés, m'empêchaient d'avoir droit à la paix. Les détails les plus minimes me semblaient énormes, et de ne pas me concentrer sur ceux-ci représentait un défi de taille à mon encontre. Et c'est assise au pas d'une porte que me vint à l'esprit une question existentielle, et, abasourdie, je m'étonnai de ne jamais m'être penchée sur le sujet auparavant ; les vampires peuvent-ils être ivres? Sur le coup, cette interrogation me sembla parfaitement justifiée, tandis que je levais, voyant là un possible échappatoire au lourd fardeau de mes sens. Il me semblait être guidée non pas par ma tête mais plutôt par mes pieds tandis que je me dirigeais à une vitesse grand V en direction du bar le plus proche de l'endroit où je me situais. Rapidement. De l'alcool. Perdre le contrôle de mes sens. Cette envie soudaine qui pulsait en mon âme me rendrait folle, j'en étais sûre. Me voilà telle que j'étais, avais toujours été et demeurerais: une passionnée qui ne peut résister à l'attrait irrésistible de ce qui est l'objet de mes pulsions les plus sauvages, les plus animales. Et cette potentielle ivresse m'attirait pour l'instant davantage, si la chose était possible, que le sang chaud et doux d'un humain coulant contre ma gorge... Me secouant, je décidai de ne pas m'aventurer par là, craignant une perte de contrôle causant éventuellement une hécatombe...

        Décidément, je ne me ferais jamais à cette logique, je ne m'habituerais pas à ce nouveau mode de vie qui allait à l'encontre de mes instincts primaires. Le sens commun finit par me revenir. Ah, oui. Le fameux traitement Edyard, celui qui m'empêchait de me nourir de sang humain, justement... Pain, lait, viande... mais toujours de la viande cuite à point, jamais de sang. Ce régime finirait par me rendre folle, moi qui avais pourtant déclenché plus d'un massacre, tous plus sanglants les uns que les autres... Je revins à la raison. Je ne pouvais pas aller dans une taverne, ni me diriger vers un bar... Poudlard. Le nom de cette école résonna dans ma tête alors que je heurtais durement une silhouette pour le moins imposante. Relevant mes yeux clairs, je faillis cracher à la personne de prendre garde à où elle mettait les pieds avant de m'apercevoir de ma bévue: Nathaniel. Le vampire me contemplait de son regard amusé tandis que je me relevais, la mine orageuse. Ce traitement me mettait à l'envers. Ma vie durant, tout comme dans l'autre vie, je n'avais jamais tellement été en contact avec les humains, si ce n'était pour me nourir de leur sang si... délectable. Et à présent, même si leur odeur me faisait envie, je me surprenais presque à apprécier leur compagnie. Presque.

          « Je vois à ton regard que tu t'imaginais encore ce que tu pourrais boire pour remplacer le régime? »

        Je le fusillai du regard et le quittai de ma démarche féline. M'habituerais-je un jour à ce traitement? Moi dont l'intelligence avait été chantée par des amants rendus fous d'amour par un simple regard, dont les yeux avaient charmé des légions... de me retrouver ainsi impuissante me rendait folle de rage, perdue, égarée... Pauvre, pauvre poupée de porcelaine qui n'avait plus sa place nulle part...
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      SMACDRAW ; my sweet nightmare Vide
      MessageSujet: Re: SMACDRAW ; my sweet nightmare SMACDRAW ; my sweet nightmare EmptySam 7 Mar - 19:28

      Terminée ^^
      M'enfin, j'crois ^^'
      Si c'est pas ok, vous le dites hein =S
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      SMACDRAW ; my sweet nightmare Vide
      MessageSujet: Re: SMACDRAW ; my sweet nightmare SMACDRAW ; my sweet nightmare EmptyDim 8 Mar - 15:54

          Sunday A. MacDraw;
          Bienvenue dans l'école de magie Hogwart. Ici, c'est grâce à ton intelligence, ton calme...etc. (le choixpeau est devenu un faignant... XD Nan mais j'ai lu, je me rappelle juste plus trop.)que nous te savons digne de rejoindre les rangs de la maison,
          Saphyrs.
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      MessageSujet: Re: SMACDRAW ; my sweet nightmare SMACDRAW ; my sweet nightmare Empty

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