Une vie est si vite enlevé, perdu, dans cette univers, une personne est si vite oublié, mais une buveuse de sang ne meurt jamais. Une blonde, il y a trop longtemps de cela pour qu'elle ce rappelle la date, mais ce soir là, elle croyait avoir tout perdu, pourtant, une nouvelle vie l'attendait, peut-être pas toujours facile, mais une longue vie, éternelle. Une homme, fort, froid et plus que magnifique avait causé la mort de la belle. Parce que Eden aimait trop la vie pour faire comme tout le monde est dormir. Elle était sortie en douce, durant la nuit. Elle était aller dans une endroit où elle n'aurait pas dû. Elle aurait du réfléchir et dormir comme tout le monde pour se préparer à sa journée de demain. Pourtant, elle était sortie, pour aller nul part. Elle adorait la nuit, ce moment froid de la journée, adoucis par les étoiles et la lune.

Marchant dans les rues désertes, elle chantonnait comme elle aimait faire. Personne ne l'entendait, mais quelqu'un l'avait sentit. Elle n'en savait rien, bien sûre. Elle n'avait même pas vraiment conscience de l'existence des vampires. La jeune sorcières croyait que c'était une invention pour faire peur. Elle vivait bien avant la grande guerre, elle n'avait même jamais penser voir de guerre dans sa vie. Pour elle, si il y avait vraiment des vampire sur cette terre, ils vivaient sûrement loin de sa ville. Étant en capacité de se protéger avec ses pouvoir, malgré qu'elle soit moldue. L'éternel avait tout planifier, jamais, cette jeune naïve aurait vue dans son jeu, jamais. Il était à quelque pas de la jeune Eden. Il était assit au bord de la route. Il semblait triste, il voulait avoir l'air triste. Il avait sentit la douceur de la blondinette par son parfum, j'imagine. Tout était prévue.
Lorsqu'elle le vu, illuminé légèrement par la lumière de la lune, elle ne put s'empêcher d'aller vers lui. Elle voulait aider, elle aidait tout le temps. C'était une adorable personne avec un petit côté rebelle. On entendu ses soulier claquer au sol. alors l'homme détourna le regard vers elle, des yeux dorés, magnifique, trop beau pour appartenir à un simple humain. À première vue, il ne semblait pas plus vieux qu'elle. Vingt ans maximum, elle en avait dix sept.



C'est à ce moment que l'homme dont le nom échappe à Eden, avec le temps, il se joint à la marche nocturne de la belle. Il était grand, beaucoup plus grand qu'elle. Il semblait si fort, comparé à elle, qui était si petite, si fragile. Très vite, elle s'attacha à sa personnalité froide, qui semblait essayer d'être un peu plus humain, moins solitaire. Elle n'avait pourtant conscience de son existence que depuis quelques heures, pas plus, mais elle a toujours était du genre à faire confiance au gens et à les considérer comme des amis trop vite, beaucoup trop vite. Elle allait dire qu'elle devait enter, mais plus jamais elle ne rentra. Plus jamais, elle ne fut la jeune femme que je viens de décrire, heureuse, douce, pleine de gentillesse et de bonté. La suite est dure. Pour elle, elle l'est vraiment. L'homme ce mit en colère, jamais elle n'avait été en face de quelqu'un d'aussi inhumain à partir de ce moment. Il la prit de ses mains froides et fortes, pour la mettre contre le murs de façon brutale. Sa peau était si froide qu'Eden avait l'impression qu'il la brûlait.
Leurs visages étaient proches. Des larmes salées trassaient une par une, tranquillement, leur chemin sur la beau blanche et douce de la blonde. Elle vit alors les dents de celui-ci. Elle comprit au même moment qu'elle s'était trompé et que les être sans vie, buveur de sang et froide, ces êtres existaient vraiment. Et rapidement, elle allait perdre la vie. Elle ne savait pas si elle allait devenir l'un des leur ou alors, on la retrouverait le lendemain au levé du soleil, morte, avec deux marque au coup, qui alerterait toute la ville.

Au matin, on ne la retrouva pas morte dans la rue. Non. Au matin, elle n'était pas dans son lit, maintenant vampire, essayant de cacher son côté buveur de sang à tout le monde. Non. Au levé du soleil, elle était dans les bois, dans la forêt, pleurant les dernière larmes qu'elle a pleuré de son existence. Elle ne voulait pas être ce qu'elle allait devenir. Elle sentaient qu'elle ne serait plus la même. Elle sentait la mort l'envahir. Elle sentait qu'elle changeait. Elle ne voulait pas à avoir tuer pour vivre, comme ce qu'on venait de lui faire. Elle ne voulait pas devenir méchante, sans sentiment, sans avoir peur de rien. Sans vraiment comprendre ce qu'elle allait devenir, elle savait une chose, elle savait que plus jamais, elle ne verrait ses parents. Que plus jamais, elle ne vivra comme elle l'a fait. Elle imaginait la scène, au réveil de ses parents, comme tous les matins précédant, sa mère allait ouvrir sa porte pour lui dire de venir déjeuner, mais que ce matin là, elle trouvera un lit vide, la panique l'envahira, tout comme son père. Que tout comme elle, ils pleureront, qu'ils se pauseront un tas de questions et qu'ils finiront par l'oublier. Qu'elle le veulent ou pas, elle allait devoir les oublier, sinon, son éternité sera longue.