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Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey

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Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey Vide
MessageSujet: Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey EmptyLun 19 Jan - 20:13

    Ô mon ami anonyme.

    Cela fait quelques jours maintenant que nous n’avons pas vu, moi et mon hibou, une de tes lettres, magnifiquement écrites et tournées d’une façon subtile. Pourquoi ? Je n’en sais trop rien. Je suppose que comme beaucoup de gens tu te lasses de moi. La raison à ça ? Tu ne m’as jamais vu, tu n’es donc pas intéressé par mon physique, ce qui donne l’équation suivante :

    Tes mots + (Mes mots – Mon physique) = Désintérêt rapide.

    Je ne suis pas très attrayante, ma psychologie, ma cervelle. Tout en moi est inintéressant. Quand tu m’écris je me sens… Vivante, sur un plan intellectuel. Tu n’es ni plus ni moins, mon anonyme, que le remède à ma solitude. Entourée de ces gens inintéressants, dans les bras de je ne sais quel tombeur il me manque toujours un petit quelque chose. Et c’est toi qui me l’a donné tu sais.

    La vie à Poudlard m’ennuie parfois. Je n’ai pas la place qu’il me semble que j’avais dans mon ancienne vie, évidemment j’étais plus connue, j’avais une bande d’amis avec qui je pouvais parler de tout et de rien, à Poudlard je suis perdue. Je ne sais vers qui me tourner, à qui parler, avec qui m’amuser. Nous n’en avons pas trop parlé alors raconte moi !

    Tu t’adaptes à Poudlard ? Et puis après tout, fait moi part de ta vie sentimentale, je suis là pour ça, je ne jugerais pas, je ne te connais pas (physiquement du moins), même si ; permets moi ce jeu de mot ; je lis en toi comme dans une lettre. L’autre jour je me disais que si ça se trouve on se connaît sans le savoir. C’est amusant de voir, que nos lectures nous ont rapprochés. Je trouve ça génial ! En plus, tu peux être hideux comme magnifique, j’apprends à te connaître intérieurement. Et vice-versa. Ce qui m’étonne c’est que j’ai parfois l’impression d’avoir des choses à te dire, alors que je ne suis qu’une pauvre idiote sans grand intérêt.

    Alors, qu’elle serait la parfaite preuve de mon intelligence ? J’ai toujours été très peu branché livre c’est pour ça que le dernier livre que j’ai lu c’était ‘La part de l’autre’ un livre sur ce que le monde aurait été si Hitler n’avait pas été Hitler. N’est-ce pas fascinant ?

    Bon, Mon Anonyme, malgré ton silence radio je dois te laisser. En espérant avoir de tes nouvelles dans des délais plutôt brefs. En t’embrassant. C.
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Belle B. Blair
QUEEN ♣ she's a deluxe edition

Belle B. Blair


♦ Lettres Envoyées : 780
♦ Crédit : THRILLING GLOW

A NEW BEGINNING
♦ Age du personnage:
♦ Nouvelle vie:

Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey Vide
MessageSujet: Re: Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey EmptyMer 21 Jan - 18:49

      Chère C.


    Désolé d'avoir tardé, mais mon intention n'était pas de t'oublier, au contraire même, car à chaque fois que je reçois une de tes lettres, je reste souvent sur mon lit, à rêver devant ces mots, écris à l'encre verte, une encre qui me fait bondir le cœur à chaque fois que je l'aperçois sur mon courrier. Et si je la revoyais autre part que sur ces parchemins ? Je partirais en courant à ta recherche, car tes mots sont mes médicaments, car tes mots sont ma drogue du soir, et je m'étonne de ne pas t'avoir répondu plus tôt, pour recevoir une nouvelle dose, plus fraîche. Oui, car t'écrire et te lire est devenu un besoin vital, mon remède pour tenir chaque jour. Peut-être ai-je oublié de te répondre car tes lettres sont tout sauf ennuyeuses ? A chaque relecture, elles offrent un nouvel éclat, un nouvel aspect de sa personnalité, et je comprend de plus en plus de choses en la relisant. Ou du moins, j'en ai l'impression.

    Le désintérêt rapide doit venir de moi alors. Chacun de tes mots est ma berceuse, mon calmant, pour m'endormir sereinement chaque soir. Bref, la poésie de tes lettres ne font que de m'emporter loin de ce monde, qui me coupe de tout. J'espère parfois que le conte se poursuive, que cela continue sans que j'aie à y répondre, sans que j'ai à répliquer, que je me fasse emporter dans le pays des merveilles avec quelques phrases seulement, écrites avec une simple encre. Ta voix doit être encore plus envoûtante, j'imagine. Ne m'en dit pas le contraire. Car que quelqu'un soit gros ou anorexique, brun ou blonde, yeux bleus ou tout simplement noirs, il y a toujours un charme quelque part. Je ne semble être qu'un malheureux gamin, sous ses jolis petits sourires, cependant, je sais réfléchir, et sous ces apparences enfantines, je suis plus mur que peut l'être un de ces Éternels qui ont vécu plus de trois cents ans. Je veux devenir l'un des leurs ! Rejoindre leur élite indestructible, leur groupe si fermé mais délicatement ensorcelant. Je veux avoir la vie, le temps, à ma portée, dans ma main. Comme une télécommande pour la télévision, on appuie sur un bouton et on change de chaîne. Cependant, ici, on ne zappe pas d'émission, mais de vie, qui est ineffaçable.

    A présent, me juges-tu ? Il arrive toujours un moment, dans un discours, ou dans un texte, où on porte un jugement, ne me dis donc pas le contraire. Les idiots sont parfois les plus intelligents, mais il faut être réellement idiot pour se croire intelligent. Le comprends-tu ? Tu es TOUT sauf une idiote, une attardée, une mongole. Le simple fait de lire tes paroles le prouve. Il suffit de lire une seule particule de tes courriers, et on peut comprendre que tu es tout sauf sotte. Le Hogwarts d'aujourd'hui est assez... Spécial pour ainsi dire. En t'entendant, ou plutôt, te lisant, je comprends que ton passé te manque, que la magie t'a arraché de ce monde où tu étais bercée si tendrement. Tu étais certainement avec des Muggles, car ils ne sont plus avec toi, aujourd'hui. Si ils étaient des sorciers, ils seraient là, à tes côtés, t'accompagnant. Ce vide soudain doit te blesser, cependant, même si je suis compatissant, je suis en même temps égoïste : peut-être que s'ils étaient encore là, je ne t'aurais jamais connu via cette correspondance.

    Je me sens seul quand je ne te lis pas. La compagnie que j'avais s'est éloignée car je voulais devenir un vampire avec elle, car je voulais qu'on soit un couple d'Éternels. Je n'aurais pas du, non. Si j'avais su, ma chère amie, je pense que je n'aurais pas fait l'erreur de la laisser partir. Et moi, comme un pauvre imbécile, je l'ai autorisé à s'enfuir. Je semble si entouré que je suis solitaire. Oui, j'ai beaucoup de personnes dans mon entourage, je suis étrange avec eux, je suis ambigüe, cependant, je suis l'Homme Solitaire. L'hypocrite de service, le faux-cul de la rue voisine. Et pourtant, je suis bien, comme ça. Comme si les lettres pouvaient soudainement me donner une compagnie, comme les fantômes, sauf qu'ici, ces mots sont vivants. Elles m'arrachent de la réalité à une vitesse époustouflante, je n'en reviens pas moi-même. Hogwarts est une prison pour moi, et pourtant, je suis obligé de moisir ici. Je suis le gentil aiglon en cage qui ne demande qu'à grandir et à déployer ses ailes. Je veux partir.

    Je n'ai certainement pas le même passé que toi. Mais je pense que tu connais assez les Muggles pour que tu comprennes à quel point ils me manquent. Ma disparition est resté un mystère pour eux, et même si je voulais totalement oublier Hogwarts, je ne pouvais, car sans magie, je ne vis pas. je suis obligé d'apprendre pour survivre. Et avec ou sans magie, j'ai essayé de t'imaginer, la nuit dernière. Non, tu n'avais pas les traits fins et doux de mon ex-compagne, si je peux la qualifier ainsi, aujourd'hui. Tu n'avais pas cette allure si distincte. Je t'ai imaginé comme je t'ai représenté te décrire : aussi commune qu'une tomate au milieu de concombres, aussi jolie qu'un papillon rose au milieu de roses bleues, aussi innocente qu'une tueuse à gage dans la pièce où elle stocke ses balles. Il n'y avait qu'une ombre dans mes songes, car je me suis endormi, manquant de créativité. La bougie s'est consumée, je ne l'ai pas rallumée, et j'ai laissé emporter mes envies. Ce soir aussi, la chandelle s'éteind lentement. Je suis contraint de t'abandonner seule, mais je reviendrais vite pour une nouvelle ballade. Promis.

    Ton Anonyme.
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MessageSujet: Re: Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey Quand se rencontrent Lettres persanes et Liaisons Dangereuses. {Mickey EmptyDim 25 Jan - 20:25

    Très cher A.

    Comme il est bon de lire quelques mots écrits si doucement par un garçon si gentil. Tes mots m’ont beaucoup touchée, je suis restée cinq bonnes minutes assise sur mon lit à me demander si j’avais compris tes mots correctement, si ta gentillesse n’était pas de l’ironie, non, bref tu as encore une fois été très agréable, A. Un besoin vital tu dis ? Comme c’est amusant ! Tu dis ça pour me faire plaisir ou bien tu le penses réellement ? Enfin, encore une fois je me montre trop fleur bleue. Tu dois être un vrai tombeur, j’en suis convaincue, rien que la façon dont tu arrives à me séduire, intellectuellement parlant, prouve que j’ai raison.

    Je me prête souvent à t’imaginer, beau, brun ou châtain, les yeux noirs ou marrons. Cependant, chaque fois que je ferme les yeux une nouvelle version de ton visage apparaît. Aussi perturbant que soit le fait de ne pas mettre un visage sur un ami, j’aime cette sensation de renouveau, cette infinité de possibilités qui seraient des toi probants. Et finalement, je me suis déjà dit que tu étais peut-être laid, mais chacun des faciès que je crée pour toi est un condensé de beauté et de charme.

    Ainsi tu aimes les vampires ? Je n’en pense pas grand chose, ils sont beaux, très beaux, mais certains d’entre eux sont surtout charismatiques et impressionnant. Puis-je te demander une faveur ? Si un jour, par chance –appelons ça comme ça– tu te faisais mordre, viens me voir et croques ma jugulaire. Je sais c’est contradictoire ! Je n’ai pas d’avis arrêté sur eux mais l’idée même de connaître les enfants des amis que j’ai, le monde dans son futur, voir si les gens sont aussi viles dans 150 ans, me fascine et me tente. C’est peut-être trop te demander alors que nous ne nous connaissons qu’à travers nos lettres, mais, je te le demande. Fais le.

    Mon passé ? Il ne me manque guère, c’est plutôt la place que j’occupais qui me manque. Je savais à qui me fier et qui était là pour être descendu. L’une des reines de la petite société qui connaît tout le monde, voilà qui j’étais. En intégrant Poudlard j’ai perdu mon statut pour n’être qu’une parmi d’autre. C’est cette absence de distinction entre les gens qui m’ennuie le plus. Je regrette plus le fait de mes connaissances de tout ce qu’il se passait dans notre petite élite que les gens en eux-mêmes. J’ai d’ailleurs gardé contact avec mes plus bons amis. Mais ce que je ne regrette pas dans Poudlard, ce sont certaines rencontres que j’y ai fait. Comme toi, épistolairement parlant, ou encore deux ou trois personnes de ma maison.

    Tu fréquentais une immortelle ? Tu l’aimais vraiment n’est-ce pas ? Je suis confuse, parce que je suis assez contente que tu n’en sois pas un, ça veut dire qu’il me reste une chance de te rencontrer et de te faire vivre une nuit de folie. Je t’arrête tout de suite, nuit de folie ce n’est pas forcément écarter les jambes, je pensais plutôt parler et rire, boire un peu aussi pourquoi pas. Ensuite je me sens en colère contre cette fille, parce que tu es une personne exceptionnelle A, tu sais, on ne se connaît depuis peu mais j’ai l’impression d’être plus proche de toi que je ne l’ai jamais été avec beaucoup de monde. Si elle est partie c’est que tu étais trop bien pour elle. Je sais, ça fait cliché mais, je t’assure, tu ne méritais sûrement pas de souffrir, mais elle ne se sentait peut-être pas à la hauteur de ton amour et ne se pensait pas apte à passer l’éternité à tes côtés.

    L’homme solitaire. Laisse moi sourire. Tu sais qu’on se ressemble ? J’ai adopté depuis mon entrée à Poudlard, le visage souriant de la fille qui aime tout le monde. Pour être tranquille, pour ne pas avoir à exposer la partie de moi qui s’ennuie en leur présence. Tes lettres sont les rares moments où je laisse de côté le masque pour m’emparer de mes sentiments, te les faire partager.

    Cher Ami, je te laisse, il se fait tard, la lumière dérange mes camarades de dortoirs, je suppose que c’est aussi ça la démocratie, je dois éteindre. J’envois Razel te porter cette lettre. En t’embrassant tendrement.

    C.
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