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SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight

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MessageSujet: SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight EmptyDim 11 Jan - 21:03

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    NOM :
    Vanetzian. Etrange et étranger. Mais je n'en suis pas
    moins fière. Au contraire. Les gens froncent les sourcils
    à son entente, pas réellement sûrs d'avoir compris. Ces
    réactions me font doucement sourire. J'en suis loin d'en
    avoir honte. Vanetzian, un nom au bon goût d'Arménie.

    PRENOM(S) :
    Shereen; un prénom arménien très répendu, signifiant douceur.
    Je me suis toujours demandé comment ma mère avait réussi
    à trouver ce prénom qui me décrit si bien. Il est mon préféré
    des deux. Le second, Armonie, à consonance française et tout
    aussi joli que le premier. Le nom de ma grand-mère; c'est un
    honneur pour moi de le porter.

    AGE, SANG &ANNEE :
    16 ans. J'entame donc ma première année à Poudlard. J'ai été
    prévenue qu'il y aurait là-bas des vampires et des loups-garous.
    Mais, étrangement, ce n'est pas ce qui m'inquiète le plus. J'ai
    surtout peur de la réaction des sorciers. Oui, j'ai été mise en garde
    quant au 'racisme' vis à vis des sangs de bourbe. Bien que je pense
    sincèrement que les vampires seront à l'ordre du jour que moi et
    que je passerai - espérons le - inaperçue.

    POINT DE VUE SUR LES ETERNELS &LYCANS :
    Hmm; la sempiternelle question. Je n'ai rien contre eux, je ne les
    déteste pas. Au contraire, ils me fascinent. Néanmoins, ils m'inquiètent.
    Ils ont une telle force, et leur beauté est époustouflante. Ils sont
    impressionnants et paraissent irréels. Un simple regard de leur part, et
    mon sang se glace; tant d'angoisse que d'excitation.



• • • • • • • • • • •


    multinick. j'espère que j'avais le droit.
    j'avais très envie de jouer ce personnage;
    &je pense être assez présente pour pouvoir
    en gérer deux (: . code : supermassive black
    hole. je resterai anonyme (a) . si jamais il
    faut que j'envoie un mp à un admin;
    prévenez-moi (: chanel iman est la superbe
    mannequin sur mon avatar (:


Dernière édition par Shereen A. Vanetzian le Lun 12 Jan - 19:53, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight EmptyDim 11 Jan - 21:04

Le jour où j'ai reçu ma lettre pour Hogwarts
SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight 2fdbebf7af0e88ee0fe32114ccf9371620090112113544 SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight 888b7d5a633cf86389dfb09799645c8420090112113543



    Des bruits me parvenaient du rez-de-chaussé et j'ouvrais les yeux, les plissant face à la lueur du soleil qui traversait mes stores. La délicieuse odeur des pancakes parvint à mes narines et je sautais sur mes pieds, enfilant un jean et un large débardeur. Je me ruais vers les escaliers et les dévalais, manquant de trébucher à de nombreuses reprises. Mon frère, Ichkhan (signifiant Prince) passa à toute vitesse à côté de moi, se laissant glisser le long de la rambarde, et atteint le bas des escaliers avant moi, se laissant tomber avec l'aisance d'un acrobate. Il me regarda l'air goguenard et se rua vers la cuisine d'une démarche élégante et rapide. Je ris et le rejoignit en quelques enjambées, prenant place face à lui à la table familiale. J'embrassais ma grand-mère, Armonie, qui passa, comme à son habitude, sa main dans mes cheveux en souriant. Ma mère, Elena, me tendit mon assiette fumante après avoir embrassé le dessus de mon crâne. Je m'appliquais alors à engloutir ce qui s'y trouvait avec ardeur tant mon ventre me faisait souffrir. Je n'entendis bientôt plus que le raclement de mes couverts sur l'assiette de porcelaine et mes mastiquements. Je levais les yeux vers mon frère, surprise de le voir s'être arrêté en plein repas.

    ICHKHAN : Je n'ai jamais vu une fille manger autant et rester maigre comme un piquet ..
    ARMONIE : Laisse donc ta soeur tranquille Ichkhan; c'est un réel plaisir de la voir s'empiffrer.

    Ma grand-mère fit un clin d'oeil à mon frère et partit dans une rire mélodieux qui entraina celui d'Ichkhan et ma mère. Je rougis, baissant les yeux sur mon assiette quasiment vide. La porte d'entrée claqua et mon père pénétra dans la cuisine. Je levais les yeux vers lui et un immense sourire barra mon visage. Il s'approcha de ma mère et l'embrassa avec passion. Voilà vingt années qu'ils étaient mariés et leur amour n'avait fait que s'intensifier. J'admirais et j'enviais leur relation. Ma mère avait eu mon frère jeune; vingt ans à peine; et ils avaient décidés de se marier. Ils désiraient un autre enfant mais s'étaient heurté à un grave problème, les ovaires de ma mère ayant été endomagées suite à la césarienne qu'elle avait subit à l'accouchement D'Ichkhan. J'avais alors été adoptée. Ma mère m'avait souvent raconté qu'elle avait vu de nombreux enfants mais que ç'avait été comme un coup de foudre lorsque ses yeux avaient croisés les miens. Elle m'avait appelée Shereen, le premier prénom qui lui était venue à l'esprit, signifiant douceur. Mon père était arménien et ma mère avait toujours voulu que le prénom, le premier tout du moins, de ses enfants soit en rapport avec les racines de son tendre mari : Djanoug Vanetzian. Il n'aurait pu porter un autre prénom que celui-ci tant il décrivait parfaitement sa personnalité. Il signifiait Ame, Amour. J'avais toujours eu dans l'idée que les prénoms collaient parfaitement au caractère. Et, aux yeux de ma famille, j'étais la douceur incarnée.
    Mon père embrassa sa belle-mère, ébourriffa les cheveux de mon frère et se pencha pour m'embrasser sur le front. Il sentait le pin, la nature. Il s'occupait d'animaux magiques dans une réserve. Il m'y avait souvent emmenée dans mon enfance. J'avais toujours eu de l'admiration pour tout ce qui relevait du surnaturel; bien que mon père eu toujours désiré que notre vie soit la plus normale possible, refusant de se servir de la magie à la maison. Ma mère était une moldue, le don magique de sa famille avait sauté une génération. Ma grand-mère était une sorcière aguerrie et mon frère entammait sa quatrième année à Poudlard. Moi, je n'étais rien du tout, ce qui, pour être honnête, m'attristait. J'aurais tant aimé faire partie de cette école, de posséder une baguette .. Et plus que tout, j'avais le désir ardent d'apprendre. Je lisais les grimoires de mon frère, m'intérressais à l'Histoire de la Magie plus qu'à toute autre chose. J'espérais encore que ma lettre arriverait, mon frère l'avait reçu l'année de ses seize ans; pourquoi ne la recevrais-je pas ? Pourtant, je savais que je n'avais aucun lien avec cette famille -aucun lien de sang - donc aucune chance pour que je sois dôtée de quoique ce soit de magique. Mais ma mère m'avait souvent expliqué que, parfois, des élèves intégraient l'école alors qu'ils étaient de simples moldus .. Je pouvais encore espérer.

    DJANOUG : Il reste des pancakes ?

    Et il prit place à la table, ma mère lui tendant son assiette et s'asseyant elle aussi. La conversation tournait surtout autour de la rentrée d'Ichkhan et des courses à faire. Un nouveau chaudron puisque le sien avait explosé suite à une potion ratée -cette anecdote nous fit énormément rire- et différents grimoires traitant des animaux magiques, de la botanique, de sortilèges et d'histoire la magie. J'en salivais d'avance. Lorsqu'Ichkhan nous rendrait visite durant les vacances de Noël, j'aurais tout le loisir de m'y plonger avec avidité.
    J'étais en train de débarrasser la table -c'était mon tour cette semaine- lorsqu'une lettre glissa sur le bois verni jusqu'à ma main. Incrédule, je regardais le plafond, puis la lettre et je laissais soudainement retomber les assiettes sur la table. Je me saisis de la lettre, les mains tremblantes. Elle était cacheté par l'emblème de l'établissement Poudlard. Ma mère et ma grand-mère, attirées par le bruit, passèrent la porte de la cuisine. En voyant ce que je tenais entre les doigts, ma mère porta une main à a bouche, réprimant ainsi un cri de stupeur. Ma grand-mère s'approcha de moi et ma tapa l'épaule, visiblement fière de sa petite-fille.

    ARMONIE : Djanoug ! Ichkhan ! Shereen a ENFIN reçu sa lettre ! Rammenez rapidement vos arrières trains !

    Ma mère me serra dans ses bras alors que mon père et mon frère s'engouffraient dans la cuisine. J'étais si abasourdie que je ne me rendis pas compte que j'étais ballotée dans tous les sens par les membres de ma famille; ni que les secondes s'égrénaient à une vitesse folle.

    ICHKHAN : Bon, tu vas l'ouvrir. Des gens sont morts à attendre comme ça tu sais !

    Je reprenais mes esprits. Ils étaient là, tous les quatre, me surplombant de toute leur hauteur. Ils m'avaient fait m'asseoir, je ne m'en étais pas rendue compte. J'inspirais profondément et mes doigts effilés déchachetèrent l'enveloppe. J'eus à peine le temps de lire la lettre dans son ensemble que déjà on s'affairait autour de moi, établissant la liste de tout ce qu'il faudrait acheter pour mon frère et moi, mettant en place un planning pour se rendre aux boutiques. Le seul à rester immobile était mon père. Je levais les yeux vers lui. Il avait été le seul à n'émettre aucun jugement appréciatif et cela m'inquiétait. Etait-il déçu ? Pensait-il que je n'avais pas les qualités requises pour rejoindre les rangs d'une école si réputée ? Son jugement avait toujours énormément compté à ses yeux; aujourd'hui plus que n'importe quel jour. Son regard croisa le mien et ses lèvres effleurèrent mon front. Il passa ses gros doigts dans mes cheveux.

    DJANOUG : Je suis si fier de toi .. me souffla-t-il.

    Puis il tourna les talons après m'avoir adressé un immense sourire. Ses yeux brillaient d'une lueur nouvelle et je respirais de nouveau. Il était fier. J'allais essayer d'être à la hauteur de ses espérances, essayer d'être la meilleure dans tout ce que j'entreprendrais. Je souris et posais mon regard sur ma mère et ma grand-mère qui semblaient être entrées dans une transe. Je ris et sortais de la maison. Une brise chaude -nous étions en été- fouetta mon visage et les rayons du soleil vinrent caresser ma peau. Je levais les bras et tournoyais sur moi-même. Tout cela semblait irréel, sortit d'un rêve. J'allais faire ma première rentrée à Poudlard. Mon coeur battait la chamade, tant d'excitation que d'appréhension.


Dernière édition par Shereen A. Vanetzian le Lun 12 Jan - 18:07, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight EmptyDim 11 Jan - 21:04

Un sort a échappé à mon contrôle
SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight 8b10fca88816b0578ddca6e4cb40e02320090112113543 SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight 54d70b3fa750a3e68e544a6f9f13883720090112113543



    L'été arrivait à sa fin. Les feuilles prenaient des teintes orangées, rouges et commençaient à joncher le sol. Je sortais d'un cours d'Histoire de la Magie particulièrement intérressant. Mes grimoires étaient coincés sous mes aiselles, appuyant violemment sur mes côtes. J'enroulais mes écharpe autour de mon cou et sortais d'un pas décidé de l'établissement pour rejoindre le parc. L'air était encore tiède et j'aimais l'odeur du début de l'automne; elle me rappelait mon père. Ma mère nous inondait, mon frère et moi, de dizaines de lettres par semaines. Elle souhaitait qu'on lui raconte dans les détails nos journées; aussi ennuyantes soient-elles. Mon frère détestait écrire, alors je le faisais pour lui. J'écrivais une lettre commune, prétextant un match de quidditch pour Ichkhan ou un cours tardif. Je n'aimais pas trop mentir à ma mère, mais cela faisait plaisir à mon frère et ma mère n'en saurait sans doute jamais rien. Je ne préférais pas qu'elle apprenne que son fils préfèrait se la couler douce dans sa salle commune plutôt que de lui écrire un petit mot. Cette solution contentait tout le monde -et ne blessait personne- c'était le principal. Dans un de mes grimoires se trouvait la dernière lettre que ma mère m'avait envoyée et j'avais décidé de lui répondre en ce début de soirée; avant le repas dans la grande salle. Je préférais écrire à l'air libre, les espaces confinés ne me plaisaient pas vraiment, j'avais besoin d'air et de nature.
    J'allais m'asseoir sur un des nombreux bancs du parc lorsqu'on m'attrapa par l'épaule et me fit pivoter. Erik VanHorten. Je ne le connaissais que trop bien; malgré moi; et je n'avais pas vraiment envie de faire affaire à lui ce soir.

    ERIK : Où tu vas ma p'tite ? demanda-t-il avec cet air hautain qui me débéctait.
    SHEREEN : Là où tu ne seras pas. assénais-je du tac au tac.

    Son visage s'empourpra de rage -il en fallait peu pour le mettre en rogne-, je savais qu'il ne supportait pas qu'on lui tienne tête. Surtout de la part d'une première année. Un sixième année, serpentard de surcroit, qui se croyait tout permis, qui tentait de martyriser tous les premières années. Ca ne marcherait pas avec moi. J'étais douce, aimable et peut-être naïve, mais je refusais de me laisser marcher sur les pieds.

    ERIK : Sale sang de bourbe ! Pour qui tu t'prends ?!

    Sang de bourbe. Cette attaqua me blessa, mais je tournais les talons. Je n'avais pas envie de me battre, je n'étais pas douée pour ça. Je préférais le sport de l'esprit, pas celui du corps. Cependant, Erik me rattrapa et je lui fis face. Un vil sourire vint barrer son visage et il déguéna sa baguette. Estomaquée, je reculais d'un pas mais il s'avançait en même temps.

    ERIK : Alors, on s'défile. M'étonne pas .. z'êtes une race de faibles.

    Faible peut-être; mais au moins je savais m'exprimer correctement. Cette pensée me fit sourire et, machinalement, je sortais ma baguette de sous ma cape. Des élèves s'étaient regroupés, formant un cercle étroit autour de nos deux corps. Mon coeur battait la chamade. J'étais acculée. Soit je me 'battais' avec lui, et perdais, soit je me défilais et étais promise à une mauvaise réputation durant les années à venir. Je préférais encore me 'battre' et perdre dignement; garder la tête haute était le meilleur des choix. Ma main dans laquelle je serrais la baguette était moite et je n'étais pas certaine de savoir m'en servir correctement. J'avais intégré l'école depuis peu de temps. J'étais plutôt douée lorsqu'il s'agissait de théorie, mais en pratique j'étais loin d'être une experte en martière de sortilèges. Je n'avais aucune idée de celui que j'allais utiliser et j'étais au contraire certaine qu'Erik y avait déjà réfléchi depuis un bon moment. Mes membres tremblaient, imperceptiblement, et je n'étais pas certaine de pouvoir correctement viser mon adversaire. Je levais ma baguette; il fit de même. J'avais la peur au ventre et j'avais honte de moi-même. Que dirais mon père s'il me voyait dans cet état ? J'eus soudain l'impression de voir la scène se dérouler au ralenti. La bouche d'Erik commençait à former les première syllabe. Je devais réagir, maintenant !

    SHEREEN : FURUNCULUS !

    J'avais, stupidement, fermé les yeux et également formulé le plus minables des sortilèges que je connaissais. J'entendis un cri de stupeur parcourir la foule et le rire d'Erik parvint à mes oreilles. Je rouvrais les yeux, il avait abaissé sa baguette et se tenait l'estomac, visiblement mort de rire. Je balayais la foule du regard; tous regardaient dans une même direction.

    ERIK : Bravo p'tite sang de bourbe, j'te félicite de ce merv'lleux sortilège.

    Hilare, il tourna les talons, soutenu par ses accolytes qui liaient leur rire au sien. Je m'avançais, on s'écartait sur mon passage. Ils me regardaient ahuris, et je ne comprenais pas. Jusqu'à ce que j'aperçoive le visage défiguré par des furoncles. Oh mon Dieu ! Je n'avais pas visé la bonne personne et c'était un 'innocent' qui avait pris mon sortilège. Je portais mes mains à ma bouche lorsque je posais mon regard sur lui. Les autres pouffaient, sussurraient des méchancetés. La foule se dissipa rapidement et je m'approchais du jeune homme. Il me regardait d'un air désolé; plus pour moi que pour lui. Je lui souris et lui tendais une main pour le redresser -la force du sortilège l'avait projeté en arrière- et il l'a saisit. Je l'entrainais vers un endroit à l'abri des regards indiscrets.

    SHEREEN : Je suis vraiment désolée. Si tu savais comme je m'en veux .. baffouillais-je rapidement.
    JEREMIE : Oh; j'ai vu pire tu sais. Moi c'est Jeremie.
    SHEREEN : Shereen; je suis nouvelle et .. novice. Je ne sais même pas comment faire pour t'enlever ces affreuses .. pustules.

    Jeremie se mit soudainement à rire et provoqua alors mon hilarité. Nous riâmes ensembles quelques longues minutes. J'étais si soulagée qu'il ne m'en veuille pas; ç'aurait été le pire événement de la journée. Me faire détester par un inconnu .. Au moins, j'aurais de nombreuses choses à raconter à maman dans la lettre journalière.

    JEREMIE : On a bien du t'apprendre ce sort. Finite Incantatem, tu dois connaitre non ?
    SHEREEN : Oh oui ! Quelle idiote.

    Je sortis la baguette de dessous ma cape et la pointait sur Jeremie. Je voulus sourire mais mon esquisse de sourire se transforma en grimace tant j'étais crispée.

    SHEREEN : Finite Incantatem.

    Sous mes yeux, les pustules disparurent d'un coup, rendant à Jeremie son visage parfait et diaphane. Je souris, plutôt satisfaite de moi. La théorie c'était bien; mais j'allais sérieusement me mettre à la pratique, il en allait de la survie d'autrui. Une semaine que j'étais à Poudlard, et j'avas déjà réussi à me faire connaitre de toute l'école .. malheureusement. Moi qui souhaitais passer inaperçue, c'était raté. Tout cela allait parvenir aux oreilles de mon frère et j'allais en entendre parler jusqu'à Pâques. Ce n'était pas si mal; et puis je n'allais pas oublier de si tôt mon erreur et j'avais dans l'intention d'essayer de me racheter coûte que coûte auprès de Jeremie. J'étais si gênée de mon incompétence, et lui si gentil face à celle-ci, je lui devais bien quelque chose. Je trouverais bien quelque chose pour racheter ma conduite. Il me remercia d'un grand sourire, passant ses doigts sur son visage. Je le lui rendis et il s'excusa -il devait rejoindre des amis lorsqu'il avait integré le cercle qui nous avait entouré Erik et moi- avant de s'éclipser. Je restais longtemps debout, perdue dans mes pensées, puis je retournais là où s'était déroulé le 'combat' et y ramassais mes affaires pour me diriger vers un banc libre. J'entrepris d'écrire à ma mère.
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MessageSujet: Re: SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight EmptyLun 12 Jan - 19:52

    Je pense avoir fini I love you
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Lokhyan Raphaël Dewitt
GUARDIAN Ϟ I'll face myself To cross out What I've become

Lokhyan Raphaël Dewitt


♦ Lettres Envoyées : 3608
♦ Crédit : BS*
♦ Citation : "La cruauté est le remède de l'orgueil blessé"

A NEW BEGINNING
♦ Age du personnage: 1125 ans Ϟ 24ans d'apparence
♦ Nouvelle vie:

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MessageSujet: Re: SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight EmptyJeu 15 Jan - 18:31

Nous verrons ta fiche dans la soirée, ou au pire demain (a). Desolé du retard.
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MessageSujet: Re: SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight SHEREEN ARMONIE VANETZIAN - you're standing in the moonlight EmptySam 17 Jan - 21:34

      Shereen;
      Bienvenue dans l'école de magie Hogwart. Tu es une personnalité attachante, bien que maladroite, ce qui t'empêche malheureusement de passer aussi innaperçu que tu le souhaiterais. Profondément gentille tu es faites pour
      Hufflepuff.
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