Mickey Widdle. Or your favourite mouse.

NOM : WIDDLE
PRENOMS : MICKAËL NARCISSE
DATE DE NAISSANCE : 1 NOVEMBRE.
ÂGE : 19 ANS.
STATUT : SORCIER.

MOI : BUMP.
ÂGE : 1* ANS. WHAT A SECRET ! ...
CODE : SUPERMASSIVE BLACK HOLE.

Mon dieu, quelle était belle.

Hey Mickey !

J'suis prêt.

Okay, let's go baby.

Bien installés sur nos balais, on s'enfuyait, à l'aube de nos 18 ans. On devait retrouver « quelqu'un », en Amérique, dans une usine désaffectée de Salem. Seul Nick sait réellement qui est-ce qu'on va aller voir et suivre, pour vivre chez soit. Parce que mes parents, qui comptent chaque soir les pièces qu'ils ont gagné dans la journée et ils ne s'endorment que très tard le soir. On se demande pourquoi. Ils ont que des gallions dans les yeux, cette marque brille dans leur pupille. Ça m'énerve. Ils ne me connaissent pas. Ils disent que ma couleur préférée est le blanc alors que c'est le rose saumon, que mon livre préféré est le « Seigneur des Anneaux » alors que je ne lis jamais de livres, même si je connais les titres grâce aux autres no-life de la troisième rue qui citent les dictionnaires qu'ils lisent en plein milieu d'un trottoir. C'est des craignos. C'est des loosers.

Va plus vite Mike !

C'est bon, on a la nuit... Puis de toute façon, on n'est plus très loin j'imagine.

Au fait mec, joyeux anniversaire.

Sympa, merci. T'as un cadeau ?

Ouais.

C'est quoi ?

Le « Quelqu'un ». Elle est tout à fait sublime.

Parce que les meufs, c'est des objets pour toi ? « A ouais, j'te fais cadeau d'ma meuf ! » Sympa.

Nan mais dis-toi que si tu rates une fille comme ce « Quelqu'un », c'est que tu as vraiment de la merde dans les yeux.

D'accord je vois. Ba je vais passer à côté. Juste pour te faire plaisir.

Hum.

Je plaisante. Ba j'verrais bien. Mais l'amour, ça me tente pas encore coco.

Tu essaieras de me le redire plus tard.

Je rigole. Les premiers rayons de soleil commencent à se lever. En lâchant mon balais, j'm'ouvre une bouteille, pour fêter ma liberté vers le « nouveau monde. » En fait, moi qui croyait que le changement allait être incroyable, j'vois pas grand chose qui change, mais juste les idées. Tu te dis « T'es enfin libre mec » et basta. Mais je sais qu'au fond de moi, c'est bon, je suis affranchi, je me suis envolé de la cage d'or qui me tenait en captivité depuis dix-sept ans. Je parle comme un intello. Mais je suis un bête en fait, parce que je vais retourner à hogwarts après ces vacances. Et mes parents vont venir aux portes du château, et tranquillement, vont me mettre une bonne tarte puis vont repartir. Cool la vie chéri. Surtout quand on est né le jour des morts.

HEY !

On perd de l'altitude, car je suis Nicolas. Le vent nous gifle la face, cependant, je descend tout schuss vers le sol. Le ciel est rosé, orangé, les teintes sont magnifiquement dorées. Parfois, j'en ai marre de Nick. Je l'insulte, je l'emmerde, mais je fais l'hypocrite, parce qu'au fond, je l'aime bien. Je suis égoïste aussi. J'aime qu'on m'aime parce que j'ai confiance en moi. Mes parents me voueraient presque un culte, juste en lisant ce que j'écris dans mon journal intime, parce que oui, j'en ai un, parce que oui, je fais exprès de le laisser ouvert sur ma table pour qu'ils le lisent et croient que j'aime « Roméo Et Juliette » ou encore « Les aventures fantastiques de James », que j'écoute du Chopin et que j'adore les choux de Bruxelles. Et je profite ouvertement de leur naïveté, ils sont tellement cons. Je suis tellement intelligent. Et confiant.

J'aperçois une silhouette encore indistincte, en bas, qui secoue les bras. Je vois mon pote sourire, et en descendant, il me jette des regards malicieux, comme si il était gay. Super. Ça sent le cramé on dirait. Les balais se posent lentement et en douceur sur le sol poussiéreux de Salem. Cette usine est vraiment désaffectée pour ainsi dire. Les fenêtres cassées et trop crades, les portes fermées et scellées avec des chaînes facilement cassantes. Moi qui déteste la saleté, j'imagine à l'avance ce que ça sera si on prend racine dans cet endroit dégueulasse. Je suis maniaque. Je veux pas crever dans ce trou à rat. Je veux pas pourrir au milieu d'ordures. Rien qu'à apercevoir cette charpente qui tient même plus sur pied, qu'un simple pas un peu trop lourd ferait tomber, j'ai presque envie de reconstruire tout moi-même. C'est trop infect. Gueuk.

Je vois alors une merveilleuse demoiselle, asiatique, qui nous attend, sur le seuil. Elle balaie alors toute crasse qui se trouve sur le terrain, juste à cause de son sourire et de son regard curieux. Mon dieu qu'elle était belle. Je sens mon cœur s'emballer rapidement, s'enflammer, battre comme une centaine de tambours en chœurs, se consumer comme une fumée blanche qui s'échappe dans l'air, comme quand on décide qui sera le Pape, même si je suis pas croyant. Je me sens fondre comme un glaçon. Ouais, Nick avait raison. Elle est sublime. C'est peut-être le jour le plus beau de ma vie. Le jour qui m'a permis de voir cette déesse en chair et en os, devant mes yeux. Et pourtant, si je savais que c'était qu'une émotion passagère, qui laisserait plutôt place à de la forte, très forte amitié, que le réel amour... Si je savais que le voile éphémère faisait faire des idioties... Mais j'aurais été prêt à sauter du centième étage pour elle, que ce soit par amitié ou par amour.

Parce que je t'aime. »

5 !

Mickey ?

4 !

Ouais ?

3 !

Je t'aime.

2 !

Cool.

1 !

Moi aussi.

0 ! BONNE ANNEE !

Mes lèvres caressèrent avec douceur ceux de KBS, et nos visages, éclairés par les lumières multicolores des feux des d'artifices, resplendissaient. La tour Eiffel, dans toute sa splendeur, était entourée de groupes d'amis, qui buvaient du champagne en l'honneur de la nouvelle année, ou de couples, comme nous, qui s'embrassaient langoureusement. Je passais ma main dans les longs cheveux noirs de l'asiatique, sans avoir décollé ma bouche de la sienne. Je ne l'aimais certainement pas comme elle m'aimait, cependant, à chaque fois que je bécotais avec elle, une sorte d'énorme boule de feu grossissant me prenait les intérieurs, et explosait par moment. Je me sentais bien avec Eskiimo, je me sentais bien quand je l'enlaçais et sentais son parfum de lotus se mêler au mien. Une odeur légère et délicate, et moi-même utilisait cet arôme fort agréable. Et pourtant, je disais que je l'aimais comme une trop meilleure amie. En y réfléchissant, je me disais finalement, que c'était faux.

C'était pas pour dire mais j'étais pas doué en skate. Ni en foot. Ni en basket. Parce que j'avais essayé, mais il fallait croire que les sports ne m'aimaient pas. Hormis le Quidditch. Parce que je suis un sorcier. Et pas un malheureux moldu qui traverse lentement les rues, avec son chien en laisse. Et c'est pour sa que même aidé par KBS, j'ai perdu l'équilibre, déjà instable, sur la glace, avec ces patins de merde. J'aurais voulu danser une magnifique valse sur la patinoire, tout en l'embrassant, juste pour émerveiller la coréenne. Et non, je me suis ramassé, nos lèvres se décollant violemment. Putain, j'avais mal au cul.

Ça va ?

Je suis quelqu'un de génial. De trois de tension. De paresseux. Et pourtant, je gère la life. Parce que je m'appelle Mickey Narcisse Widdle, parce que je dis toujours « rose c'est fashon », parce que j'ai une meuf qui pète tout, parce que je vis avec des moldus même si les sorciers, c'est plus amusant parfois, parce que j'ai fugué du monde magique et que je me retrouve à Paris pour le nouvel an avec KBS (ou renommée Eskiimo), parce que j'ai un facebook et un myspace, parce que je porte du Burberry et du Vivienne Westwood, parce que je sais jouer de la guitare, parce que j'ai des écouteurs de Ipod roses, parce que je suis beau gosse, et parce que je bois des bouteilles et des bouteilles sans flancher. Faut croire que je tiens bien et que mes nerfs sont costauds.

Ouais... Mais promets-moi que l'année prochaine, on ira en Corée voir les dix coups de minuit...

Promis.

Elle sourit puis m'aida à me lever. La douleur était cuisante mais moi, je suis superman, donc j'ai pas mal. On regarde ensemble le final, et moi, émerveillé par ces éclats colorés, je ne pense même plus à l'eau congelée qui se trouve sous mes pieds. Je pige pas. KBS est aussi une sorcière, qui a étudié dans son pays natal, et pourtant, elle, c'est une pro au skate board. C'est même elle qui m'a appris le BMX, le seul sport moldu où je m'en sors pas mal. Eskiimo, elle, assure en magie et en sport alors que moi, pôv larbin, je ne sais presque pas maîtriser Lumos. Si finalement, étant donné que c'est plutôt Videntrailles que je maîtrise à la légère. Tout ça pour dire que je suis un intello en magie mais un bouffon en activité sportive.

Le ciel est noir, mes vêtements, fluo. Avec les éclairs, mes fringues sont brillants, et les gens se tournent vers moi, et j'entends plusieurs murmures disant « Je kif ses fringues ! » ou « Quel pôv' type celui-là ! ». Je m'en moque, je ne vois et je n'entend que KBS. Son rire résonne, elle est amusée par une blague que je viens de sortir. Je la lui ai déjà fait plus de dix fois, mais elle est toujours aussi amusante. Elle me demande de la répéter encore une fois, car il paraît que lorsqu'on ne rigole pas quand on raconte sa blague, c'est encore plus marrant. Je commence donc, laissant un petit rire s'échapper.

C'est deux français, ils sont perdus dans une forêt. Ils se font encercler par des indiens et le chef leur dit d'aller chercher dix fruits et légumes. Les deux partent et le premier revient avec dix noix. Le chef, il lui ordonne de les mettre dans son cul sans rire, sinon, il est out. Il commence et fait tout bien, mais à l'avant dernière, il hurle de rire. Genre, le chef il se met à lui demander pourquoi il riait, et le mec, il répond « parce que je viens de voir mon pote revenir avec des ananas ! »

Hum. Eskiimo se mit se tordre, mais pas moi, parce que ça fait trop longtemps que je la connais celle-là, depuis mes quinze ans. Juste un sourire à cause de sa jolie tête, radieuse et splendide. Une Aphrodite encore plus belle que les vélanes elles-mêmes, parce qu'elle n'était pas blonde ni idiote. Je ne dis pas que les vélanes sont toutes idiotes et méchantes, ensorcelantes et cruelles, mais j'ai le malheureux souvenir d'avoir eu affaire à l'une d'elle, lors de ma jeune enfance, en compagnie d'une vélane, qui m'avait captivé avec sa séduction pour lui révéler un de mes secrets pour rester debout face aux centaines de bouteilles que je pouvais boire sans vomir ni sombrer dans un état second. Dommage pour elle, je l'ai envoyé baladé, tranquillement, sans trop de mal. La belle dut repartir les bras pendants, bredouille, même si sa face d'oiseau arrêtait le joli conte de fée. D'ailleurs, je n'ai jamais apprécié les venus trop superficielles, grâce à leur don, à un pot de peinture ou je ne sais quoi d'autre...

J'aime l'argent, l'argent m'aime. Je m'offre tout ce que je veux, des vans, des DC, des nikes. Tout. J'offre tout ce que je veux à KBS aussi, tout ce dont elle a besoin. Je m'offre des voyages partout dans le monde, grâce à la « téléportation » sorcière, ce dont tout sorcier ne peut plus se passer lorsqu'il l'a acquis. J'aime me balader dans le monde, surtout dans les rues bruyantes de Montréal, les allées étroites de Londres, les impasses du paradis de New York, les boulevards resplendissants de Paris et les passages gigantesques de Seoul, qui créeraient, à eux seuls, un gigantesque et agréable labyrinthe. Il serait parfait, tout comme moi je suis orgueilleux.

A côté de nous se trouvent de nombreux moldus qui ne connaissent rien à la magie. Ils patinent, avec innocence. Moi, je m'en fous, je vis. Qu'ils utilisent ou non la magie, je m'en moque, ils sont comme nous. Comme ces Éternels qui cohabitent avec nous. D'ailleurs, devenir l'un des leurs serait un de mes vœux pour le nouvel an. Ensuite, je mordrais KBS. Et on vivra pour toujours.

Dis, tu voudrais devenir un vampire avec moi ?

Eskiimo me regardait bizarrement, comme si elle voyait le déluge devant ses yeux, alors que ce n'était que moi qu'elle observait. Les passants aussi ; ils doivent me prendre pour un cinglé qui est grand mais qui a cinq ans d'âge mental et qui vient d'avoir une permission pour sortir une nuit de l'hosto. Je me sentais comme un alien qui venait de débarquer dans le monde sur une navette spatiale en disant « Salut, j'viens te kidnapper pour t'examiner et en connaître plus sur ta race... ». C'était la première fois que j'en parlais avec KBS, c'était normal qu'elle le prenne ainsi. Mais à la voir prête à tomber, à disjoncter, à pleurer, je compris. Je n'aurais pas du. Je n'aurais pas du. Si j'avais su...

Je... J'ai besoin de temps...

Finish =D
J'espère que ça sera bon... =/

Invité Invité

Merci pour ces compliments ^^ (Avec plaisir Autumn =D)
Je sais bien qu'Avada Kedavra n'est pas enseigné (heureusement ! x]), mais c'était une façon de parler (c'est vrai qu'on me comprend pas toujours... ¬_¬) Bref, je modifierais ma fiche demain ou ce week-end mais j'aimerais aussi savoir comment est-ce qu'on peut compter les lignes... J'ai beau chercher sur mes trois types de documents, je ne trouve pas... >.<

Invité Invité

On compte juste les lignes complètes de RP, pas les dialogues (:
Ce qui donne :
17 pour le premier
25 pour le second

je suis sure que ca ne te posera pas trop de problèmes de combler !
Bonne chance !

Re-finish =D
J'ai mis l'écriture plus grosse, au cas où ^^'
J'espère que ça ira, sinon, j'étofferais, encore une fois Wink

(pour le caractère, je viserais plutôt du genre Gryffindor ou Hufflepuf =/)

Invité Invité

Mickey;

Hufflepuff.

PS: Fais attention; à Poudlard plus de marques moldues qui tiennent, d'Ipod ou autre Smile

Merci beaucoup =D
Je sais bien, et Mickey va bien être deçu lorsqu'il le découvrira (étant donné qu'avant qu'il fugue, il n'avait aucune connaissance du monde moldu et de leurs gadgets géniaux ^^)

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