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Whatever Works

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Belle B. Blair
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Belle B. Blair


♦ Lettres Envoyées : 780
♦ Crédit : THRILLING GLOW

A NEW BEGINNING
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MessageSujet: Whatever Works Whatever Works EmptyDim 6 Fév - 19:04


Whatever Works V5e82h

Whatever Works 21dq3nm
© TUMBLR & THRILLING GLOW

Belle n’avait pas faim. Elle n’était pas repue non plus en réalité, elle venait juste d’achever une dizaine d’humains qui puaient la niaiserie, l’infidélité, la lâcheté et la tromperie pour boire un trait de leur sang et les laisser giser au milieu d’une ruelle de Soho. De toute façon, il était totalement commun de trouver des cadavres, vides ou encore remplis, dans ce quartier de Londres. Pourquoi Belle était-elle allée à Soho pour chasser alors ? Peut-être parce que les proies étaient faciles. Elle ne voulait pas se fatiguer à poursuivre quelques insignifiants humains pissant dans leur froc parce qu’ils étaient effrayés de croiser une éternelle. Alors pourquoi ne pas s’être servie chez elle ? Elle ne voulait pas tuer ses chers protégés, ses loyaux serviteurs et elle avait besoin de sentir les os se briser sous ses doigts, les tendons se déchirer, la surprise, le millième de seconde de crainte avant de mourir. Et surtout, elle avait besoin de sentir cette fragrance de débauche, de sexe infini, de baisers volés, d’alcool, de cigarettes. Ce parfum de fantasme dont Belle voulait être le plus proche possible mais aussi le plus éloigné. Il ne l’effrayait pas, au contraire, elle l’adorait. Elle aspirait fort en traversant les frontières de Soho et se délectait de ce mélange d’odeurs.

    Hey mademoiselle, t’es charmante, ça te dirait une glace à la menthe ?


Elle lui donna une chiquenaude sur la tempe sans même prendre le temps de tourner la tête pour voir à qui ressemblait le jeune homme qui, dans tous les cas, près du coma éthylique, était venu l’aborder comme un pauvre chien quémandant un os de poulet. Il s’envola à l’autre bout de la rue, se cogna contre le mur d’un vieux bâtiment gris et s’écroula, mort. Elle haussa les épaules, totalement désintéressée de la situation, pensant seulement qu’il y aurait un onzième mort à déclarer. Continuant son chemin, elle ne fit pas attention à toutes les prostituées, tous les mendiants et les voleurs qui l’entouraient et qui semblaient bien peu intéressés à elle. En effet, vêtue pour l’occasion, elle n’avait pas mis un manteau rouge pivoine et une robe à volant blanche, comme elle aurait aimé le faire. Pour être tranquille à Soho, il fallait se glisser dans la masse et donc s’accoutrer d’un simple jean délavé et d’un t-shirt à rayures, avec un long habit bien épais et chaud, le froid d’hiver persistant encore dans la capitale de Londres.

    Jeune homme, tu es charmant, ça te dirait une glace à la menthe ?


A croire que c’était le refrain que tout le monde répétait dans les rues de ce quartier. Belle jeta un coup d’œil en arrière, où la voix mielleuse d’une femme mûre apparemment éméchée tentait de charmer un pauvre innocent avec ses courbes généreuses et refaites par la magie. Pitoyable. Mais la proie qu’elle tenait entre ses doigts potelés comme des saucisses semblait à la fois impressionné, effrayé, perdu et ensorcelé par la bonne femme. Ensorcelé ? Lui avait-elle jeté un sort ? Bien qu’il n’était pas dans son habitude de se mêler des affaires des autres, ce fut certainement par désir d’action qu’elle s’avança vers la prostituée pour tirer le jeune homme de ses griffes.

    Laisse-le, il est à moi, lança-t-elle d’un air menaçant, posant sa main sur l’épaule de l’inconnu.


La bonne femme sortit sa baguette pour la chasser, baguette que Belle brisa immédiatement d’un simple touché, ce qui ne déconcerta pas pour autant la sorcière.

    Tu es ridicule, avoua-t-elle avec dédain.


Malheureusement, elle n’avait pas prévu que tous les mendiants, les prostituées et les voleurs soient des chasseurs sous couverture. Et merde. C’était vraiment le cas de le dire, elle était réellement entourée d’une horde de chasseurs, et même le garçon qu’elle avait voulu « sauver » était en réalité un chasseur. Aucune issue : même le ciel était plein de chasseurs. Belle garda néanmoins son calme, tous comme les ennemis qui lui faisaient face : elle fureta des yeux une sortie de secours, et vit une cage d’égouts. C’était écœurant, mais il fallait qu’elle le fasse. Sans prévenir, elle coursa jusqu’à cette cage, l’ouvrit en un clin d’œil puis s’y glissa, tandis que les sorts tentaient vainement de l’atteindre. L’odeur était vraiment écœurante, mais elle dût avancer à l’aveuglette, n’ayant aucune connaissance des égouts de Londres. Ils la poursuivaient, sur des balais ou à pied, si elle n’allait pas plus vite, elle était faite comme un rat. D’ailleurs, c’étaient ces dégoûtantes bestioles qui la trahissaient, couinant à son passage. Elles les auraient toutes égorgées si elle en avait eu le temps.
Belle aperçut un trait de lumière et sans hésiter, sortit des égouts par cette bouche. Tout indiquait qu’elle se trouvait en plein dans Kensington : de jolies petites maisons, des pelouses finement ciselées… Toujours sans réfléchir pendant plus d’une seconde, Belle se jeta dans la ruelle la plus proche, pensant se réfugier dans la première maison qui aurait la porte ouverte. S’il n’y en avait aucune, elle ne se gênerait pas de briser le verrou pour chercher un moyen d’échapper à ses maudits chasseurs. Comme elle le prévit, elle s’arrêta quelques millièmes de secondes sur chaque porte. Comment Merlin arrivaient-ils à garder sa trace ? Elle n’avait aucun parfum particulier, elle ne comprenait pas comment elle ne pouvait pas échapper à ses traqueurs.
Enfin une porte !
Elle ouvrit violemment, referma et s’appuya sur la porte, haletante. Après avoir repris son souffle, elle ferma le verrou à double tour, même si elle savait que ça ne servirait pas à grand chose. Et là une silhouette. Par tous les strangulots du monde, et si c’était un chasseur ? Il ne semblait pas, tenant juste un livre, appuyé au bord de la fenêtre, visiblement en train de le lire avant qu’elle ne déboule comme une furie – sa mine étonnée et déboussolée pouvait en témoigner.

    Hey ! Lança-t-elle précipitamment, visiblement gênée, avec un petit sourire.
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Thomas L. Desmond
THE DUCK HUNTER × i'm there for you, guardians (also for other stuff ...)

Thomas L. Desmond


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MessageSujet: Re: Whatever Works Whatever Works EmptyMer 9 Fév - 0:16

Voilà chose faite, Thomas venait de passer sa première nuit dans la demeure de son père spirituel, première nuit mouvementée, des rêves l'avait assaillit toute la nuit, rêves mais aussi des cauchemars d'ailleurs. Il fût réveille à approximativement onze heure du matin , par quelques gouttelettes de pluie ayant traversées la toiture pour atterrir sur son front, cela allais bientôt devenir un problème récurrent avec cette maison , bien jolie soit-elle elle est ancienne et présente quelques soucis, rien de grave heureusement.
La levée de corps ce fit à midi, il entama par une douche puis se décida a entamé son apprentissage en tant que « Dragon Slayers » intitulé utilisé par la famille O'Konnor pour parler des chasseur, pour ce faire le petit nouveau disposé de plusieurs ouvrage écrits tout spécialement pour lui de la part de Jack O'Konnor, il descendit à la cave en attrapa un au vol, oui au vol , il possède donc par déduction de livres volants, une des nombreuses fantaisies magiques laissé par Jack pour enthousiasmé notre héros à l'art de la chasse, il remonta et pris appui à la fenêtre vers treize heure et entama le tome 1 intitulé « Les différents vampires connus »


~ Préface: mon fils, j'espère que tu as rencontré horde de vamps' avant d'ouvrir cette ouvrage, tu tiens entre tes mains presque quatre-cent ans de récoltes d'informations, et pour autant que je sache les trois-quart des noms inscrits dans cette ouvrage sont encore « en circulation » si je-puis dire. Donc d'une fait attention, de deux, amuse-toi, bon d'accord tu est un moldu, donc si jamais tu te retrouve impliqué dans un conflit sorcier/vampire prend le parti des vampires, eux peuvent te transformé, les sorciers ne le peuvent pas. Et au cas où dans l'immédiat tu en aurait besoin sur l'étagère derrière toi, si tu est comme je le pense accoudé à la fenêtre, se trouve deux-trois potions te confèrent dans un temps limité de quoi te défendre, sur ce je te laisse, bon courage ! ~

Et ainsi commença le reste de l'histoire à suivre, donc il lisait toute la journée durant, changeant de lieux, passant de la cuisine, au lit dans la chambre, prenant appui contre un mur du couloir , il fit les cents pas toutes la journée , même si il est vrai que l'on aurait dû dire les milles pas dans son cas.
Puis arrivé à un chapitre intéressant « Belle B. Blair, la jolie Blonde », la seule vampire blonde d'après ce qu'il avait put lire de la journée, peu d'informations sur elle , enfin de toutes manières des bruits, et des ricanements violents l'interrompirent toutes les cinq minutes … et puis bizarrement, les désagréments auditifs s'amplifièrent, et évidemment … des sorts perdus frappèrent la baraque … on y était son premier round allais commencé, il déchira le matelas de son lit, pris le poignard en argent, et le gilet « pare-balle » ensorcelé, le strict minimum , puis il redescendit en vitesse dans le salon on il rentama de nouveau sa lecture, la maison résistait facilement au choques son ancien occupant avait pensé à tout … arme, bouclier magiques etc …
Et quand la porte s'ouvrit , les cloches du début du combat sonnèrent assez particulièrement avec un son qui fît « Hey ! », la voilà postée devant lui, Belle. B. Blair, la belle blonde.
Il avait retenu la leçon avec Isobel, l'audace de ses mots devrait être maitrisés … se retrouvé scotché comme un ahuri contre un lampadaire en début de semaine lui avait largement suffit.


«  Salut vous ! » dit-il avec une voix un peu ironique et blasée tout en la dévisageant , effectivement elle était à son goût pour une première tête à chassé il devait avoué qu'il était pas tombé sur la pire... mais comme toujours il aurait dû prendre le temps de finir son bouquin …

Les sorcière à balai lui firent signe de s'échapper, et de leurs laissé la demoiselle qui venait de faire irruption. Une des chasseuse détruisit la fenêtre contre laquelle était encore accoudé Thomas, et là sans trop réfléchir il lança une réplique digne de son mentor.


« Mais ça vas pas la tête ! » il foutu un coup de poing à la sorcière qui décolla aussitôt de là, ils ne pouvait rien faire , s'attaquer a un moldu était proscrit … tout comme plein de choses et Thomas savait de ce fait qu'il était en sécurité ici, il attrapa tout de même Belle par le poignet et fila dans la cave à sang sous la maison … oui la cave à sang, tout bon chasseur qui se respecte doit savoir accueillir ses invités.

« Je vous conseil le cru du cinq novembre mille-six-cents-cinq, un régal m'a-t-on dit » avait-il dit sur le ton de la rigolade, ils devraient restés ici tout les deux peut-être deux ou trois jours,alors autant installé une bonne entente de suite, non ? A moins que les poursuivants de Belle finissent par détruire les protection magiques laissé par Jack autour de la maison.
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Belle B. Blair
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MessageSujet: Re: Whatever Works Whatever Works EmptySam 12 Fév - 23:27

    Hey !
    Salut vous !


A partir de ce moment-là, tout s’accéléra. Le jeune homme qui lisait tranquillement son livre avait foutu un coup de poing à une des chasseuses, dont le nez commençait à pisser le sang. Belle se mordit la lèvre pour éviter de mourir de rire – bien qu’il lui était impossible de mettre fin à sa vie ainsi – et surtout pour rester concentrée. Il y avait toujours une horde de jeunes gens qui se tenaient dehors, soit sur un balai, soit prêts à tout avec leurs baguettes pour détruire la porte. L’humain la prit par le poignet et l’emporta avec elle, et mollement, elle se laissa faire, n’imposant aucune résistance. Si ça se trouvait, elle se jetait pile dans la gueule du loup et ce n’était qu’un guet-apens, le lecteur était un chasseur, comme les autres et l’assécherait dans la pièce où il l’emportait. La cave, génial.

Elle imaginait les pires choses : des scalpels, une table à opérer peut-être, ou une table en bois avec des tâches de sang, une lumière blafarde, des tâches de sang sur les murs. Ça avait été ainsi chez les jumelles Bellow, si ça se trouvait, c’était pareil chez tous les chasseurs. Après tout, elle n’avait pas tellement d’expérience dans les salles d’interrogatoire et de torture des chasseurs et préférait ne pas en avoir. Et aujourd’hui était certainement le jour où sur son tableau des visites des plus belles caves de chasseurs elle épinglerait un deuxième papier avec inscrit : « Kensington, charmant mais plutôt lugubre », si elle s’en sortait vive bien sûr.

En réalité, lorsqu’elle atterrit dans la cave, ayant entièrement repris son souffle – oui, ce n’était pas parce qu’elle avait une vie éternelle qu’elle avait une force éternelle… D’ailleurs, comment diable avait-elle fait pour résister à Eleonore déjà ? Ah, oui, c’est vrai, tout simplement parce qu’elle était destinée à être la meilleure – c’était totalement différent. Plutôt propre, mais son odorat ne pouvait s’empêcher de détecter l’odeur de sang d’humains datant d’il y a quelques années ou une bonne centaine d’années, ce qui était assez étrange. Des vampires étaient passés par là, mais cette rangée de bouteilles emplies de sang l’intriguait. Depuis quand étaient-elles là ? Naturellement, son hôte était là pour l’éclairer.

    Je vous conseille le cru du 5 novembre 1605, un régal m’a-t-on dit, ironisa-t-il.
    Ah ? Un connaisseur ? Je crois que je suis en excellente compagnie dans ce cas, répondit-elle sur un même ton de la plaisanterie.


Belle se dirigea vers le rayonnage comme si elle se trouvait dans un supermarché pour vampires et regarder attentivement chaque étiquette. Cette simili course la faisait sourire, ce qui était plutôt bon signe vu ce qu’elle venait de vivre à l’instant même. Mais il fallait rester méfiante, l’habit ne faisait pas le moine. Cela ne l’empêcha pas de saisir la bouteille qu’il lui avait proposée, recouverte d’un film de poussière, qu’elle chassa en soufflant délicatement dessus. L’air légèrement hésitant et interrogateur, elle se tourna un instant vers son hôte avant de décréter que de toute façon, il l’avait invitée. Belle se demanda aussi si elle devait lui proposer un verre. Elle décida que oui. L’éternelle chercha des verres, loin d’elle l’idée de boire à la bouteille, ce qui était anti-sexy à mort, mais n’en trouva point.

    Y aurait-il des verres ? Le questionna-t-elle, perplexe.


La situation était vraiment étrange mais elle semblait ne pas s’en faire, pour le moment du moins. En réalité, au fond d’elle, Belle avait peur. Elle misait sur la légèreté de ses gestes et son sourire enchanteur pour détourner l’attention du jeune homme, se répétant sans cesse qu’il y avait d’énormes chances qu’il soit un chasseur, dans la bande de ceux qui l’attendaient dehors. Et le pire était qu’il n’y avait aucune issue de sortie : les yeux de l’immortelle cherchaient en vain une trappe ou quelque chose dans ce genre mais elle était faite comme un rat. Le plus inhabituel était que Belle ne perdait que très rarement son sang froid. Le fait d’être à la fois effrayée, en colère, encore un peu essoufflée, stressée et sous le choc lui étaient inconnus et la dérangeaient beaucoup. Elle risquait de faire des choses qu’elle regretterait par la suite, quoiqu’elle ne sache pas, sa dernière grosse perte de sang-froid remontant à quelques années déjà.
Cependant, il fallait rester aussi polie et se présenter dans les manières, en paraissant la plus détendue possible et n’oubliant pas de vouvoyer.

    Je m’appelle Belle Britany Blair… Vampire, 22 ans. Désolée de m’être invitée ainsi, ce n’est pas dans mes manières mais je n’avais pas le choix… Hum… Je suis une ancienne sorcière, si vous avez une baguette, je pense que nous pourrons toujours sortir vifs de cette histoire. A moins que vous soyez un super mage réincarné dans la peau d’un jeune homme ?
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Thomas L. Desmond
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MessageSujet: Re: Whatever Works Whatever Works EmptyMar 15 Fév - 19:53

Et voilà qu'elle se présentait à lui, rien, non rien n'aurais put être pire , une simple vampirette de pacotille tout juste née, voilà ce qu'il avait décidé de sauver. Enfin on ne choisis pas son destin, quitte à mourir ici, autant sortir la jeune femme d'ici. Il lui tendit un verre pour qu'elle puisse prendre quelques forces et tel un général de guerre il entama une marche vers le fond de la cave.

« Un baguette … et puis quoi encore, franchement … vous avez des crocs cela vous suffira ! », un ton rappelant les fiers Irlandais combattant l'oppression il y'a des siècles de cela, c'est ainsi que fût sa voix, il n'improvisait pas, Jack était là, en lui, dans son sang, il savait, il pouvait la sauvé , serait-ce le début de sa mission ?

« Bien, je vais vous chercher ça. Attendez ici sagement. », il ouvrit la porte du fond se rendant tout droit dans la gueule du loup, la vieille magicienne à qui il avait foutu un petit coup , l'avais en visé, un seul mot et il serais mort, bien loin de l'effrayé, il continua d'avancé, jusqu'à quel point les être doués de magie respecté les codes ? Un certain point sans doute, mais contrairement à eux les humains sont doués d'ans l'art d'enfreindre les lois et celui de mentir et cela bien avant la naissance de ce spirit …

« Elle est à l'intérieur, le vous la donne, excusez-moi encore, si vous me permettez j'aimerais que ce soit vous qui lui prenne la vie ou plutôt la non-vie. » lança-t-il le plus angéliquement du monde en désignant par ce « vous » la sorcière au nez ensanglanté.

Dans un excès de confiance celle-ci passa devant lui, pensant qu'un moldu, un simple mortel ne pouvait rien contre sa magie, Thomas l'accompagna donc marchant juste derrière elle, empruntant à nouveau les escaliers de pierre vers la sombre cave.
Miss. Magique ouvrit la porte et ce fut la fin, ses pupilles se vidant de la lueur de vie, son âme s'échappant à jamais dans les landes, pour un premier assassinat, Thomas devait avoué qu'il s'en tiré très bien , un coup de poignard dans la nuque et s'en était fini. Il avait sa dans le sang , il avait le sang d'un chasseur d'un homme près à tout pour survivre, d'un homme près à tout pour mettre en confiance sa proie. Un sourire sadique au lèvre et ses pupilles bleus scintillaient dans le noir , un démon voilà ce qu'il était. Le corps tomba, les doigts avec le choc relâchèrent la baguette.


« Une baguette c'est ce que vous aviez commandée ? Et maintenant ? », dit-il d'un air bienveillant, presque flippant dans cette situation. Il referma la porte derrière lui, jeta le poignard au sol.
Puis il fixa les deux orbes rouges accrochées au visages pâle de cette femme aux cheveux d'or, puis oublia tout ce qu'il venait de faire , ou du moins la manière dont il l'avait faites, comme si le lien avec son père n'était pas permanent.
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Belle B. Blair
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MessageSujet: Re: Whatever Works Whatever Works EmptyJeu 17 Fév - 20:54

Apparemment, l’humain avait des verres en réserve mais pas de baguette. Quel idiot, était-il sûr que ses crocs lui auraient suffi ? Elle était loin d’en être convaincue : ils étaient trop, elle était jeune. Et après, elle voulait prétendre au trône des vampires ? Dans le cas présent, cette idée devenait franchement ridicule. Mais l’amour que Belle se portait à soi-même était tel qu’elle n’osait penser que devenir reine malgré son âge et sa puissance était insensée. Ça aurait été une sorte d’infidélité.
Belle versa donc le liquide vermeil dans le verre que lui avait envoyé le jeune homme. Elle doutait sérieusement de lui et espérait que ce sang aux doux reflets qu’elle secouait doucement avec attention, comme si c’était du vin, avait les mêmes effets que l’alcool pour un humain et l’apaiserait. Elle porta le verre à sa bouche lorsqu’il sortit de la cave. Elle faillit s’étrangler, était-il fou à lier ?! C’était fait, elle était prise au piège. Toutes sortes de jurons traversèrent son esprit. Il lui avait dit d’attendre calmement mais il avait prévu de la vendre. Elle hésitait, néanmoins. Si elle sortait, une horde de chasseurs la cueilleraient sans délicatesse. Si elle restait, ça serait la même chose, mais avec un peu plus de retard. Elle opta pour la seconde solution, déglutissant avec beaucoup de mal à l’idée d’être prise dans les griffes acérées de l’ennemi. Elle n’avait jamais été capturée par les chasseurs mais le peu qu’elle avait vu chez les Bellow lui avait donné froid dans le dos malgré son inconscience. Belle ne voulait pas du tout, sous aucun prétexte, vivre une chose pareille. Elle ne survivrait pas.

Une sorcière, défigurée, pénétra dans la cave, lentement, pour prolonger le plaisir. Le verre glissa des mains moites de Belle et se brisa au sol dans un bruit strident. Elle pouvait l’achever. Elle pouvait l’achever. Elle pouvait l’achever. Mais l’humain le fit à sa place et lui tendit joyeusement la baguette.
Belle ravala un soupir. Quelle peur ! Il avait raison, ses crocs lui suffiraient. Non, une baguette en plus était bien plus rassurante mais elle n’était pas sûre de se souvenir de tous les sorts qu’on lui avait appris à Hogwarts. Quelques uns, tel que le Avada Kedavra, seraient gravé à jamais dans sa mémoire tandis que d’autres s’étaient éternellement échappés.

    Merci, marmonna-t-elle.
    Et maintenant ?


Cet humain ne semblait pas réaliser la gravité de la situation. Totalement inconscient qu’il venait de tuer une sorcière. Certes, Belle tuait tous les jours, mais cet humain était assez… Effrayant, surtout avec son regard fixé sur elle.

    Ton nom, siffla-t-elle. Qui es-tu ? Pourquoi est-ce que tu m’aides, tu es un chasseur, non ?


D’autres questions jaillissaient dans ses pensées mais Belle ne voulait pas affoler l’humain, même s’il n’était pas du genre à paniquer – tout comme elle, en temps normal. Elle-même s’interrogeait : pourquoi se sentait-elle si impuissante alors que d’habitude, elle transpirait la confiance ? Isobel ou Charlotte auraient décimé les chasseurs à sa place – cette pensée fit d’ailleurs grimacer l’éternelle. Elle ne comprenait pas pourquoi elle n’arrivait pas à rassembler son courage, pourquoi il ne se formait qu’en petites bouffées qui disparaissaient quelques secondes après leur formation.
Belle secoua imperceptiblement la tête en soupirant en silence, passant sa main dans ses cheveux d’or. Elle traversa la pièce diagonalement, en longueur puis en largeur, pour réfléchir, frôlant parfois l’humain qui ne devait certainement pas la distinguer. Elle semblait devenir folle, légèrement effrayante, mais il lui fallait un plan. Quelque chose pour qu’elle s’en sorte, elle. Puis peut-être l’humain qui avait failli la vendre à ses confrères. Soudainement, elle cessa ses cent pas, s’arrêtant à quelques centimètres du dos du mortel.

    Pourquoi est-ce qu’ils n’entrent pas ? Pourquoi il n’y a qu’elle qui est entrée ? Demanda-t-elle avec véhémence.


Sa méfiance envers ce jeune homme ne cessait d’augmenter et s’approcher de lui la mettait plus que mal-à-l’aise. Elle imaginait que tuer la sorcière faisait aussi partit du plan des chasseurs. Belle recommença à faire les cent pas, s’arrêtant parfois devant une bouteille recouverte d’une pellicule de poussière plus ou moins épaisse. En réalité, elle tentait de réfléchir alors que son cerveau refusait de se mettre en marche. Le vampire se remémorait encore et encore la situation qu’elle venait de vivre et ne cessait de s’interroger : comment, par Merlin en caleçon rose, avaient-il gardé sa trace ? Elle imaginait que tant qu’elle n’aurait pas répondu correctement à sa question, elle se retrouverait coincée dans la peur. Ces chasseurs étaient comme des chiens qui suivaient une trace par le flair.
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Thomas L. Desmond
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MessageSujet: Re: Whatever Works Whatever Works EmptyJeu 24 Fév - 20:20

Et voilà , elle fessait les cents pas devant lui, s’interrogeant terrifiée, il le voyait très bien , lui n'avait pas encore réalisé ce qu'il avait fait, qu'importe. Descendant direct de la grand lignée Irlandaise , il avait reçu l'enseignement spirituel de ceux-la,, une horde de chasseur, sorcière et autre timbrés magiquement dérangé frappé de tout côtés la battisse qui résistait aussi bien que possible , les sorts que lui avait laissé Thomas l'as rendait indestructible c'était pour cela, oui juste pour cette stupide raison qu'il n'eut pas peur de la suite, il se contenta de sourire devant la folle qu'il avait comme compagnie dans ce sous-sol.

Puis vint la question, les questions, pour la première il n'ajouta rien d'autre à son hochement de tête pour confirmer le fait qu'il était un chasseur même si cela n'était pas totalement , ou du moins pas encore la vérité, lui se considérais comme chasseur et cela lui suffisais pour croire qu'il en était un. Quant à la seconde demande de Belle, il lui fit signe de se calmé avant de commencé à prendre la parole.


« Tu est trop jeune , mais toi qui était autrefois une sorcière , n'as-tu jamais entendu parler de ses créatures au corps gigantesque et aux ailes géantes que sont les dragons , bien entendu il n'existe plus en ce monde à l'état sauvage, les rares encore en vie servent pour la coupe de feu si mes souvenirs sont bons, non ? Mais pour ce qui en était dans le passé quand les dragons proliféraient au milieu des hommes, avant même que le premier suceur de sang apparaissent, il fallut aux mages développé un art particulier de la magie, la magie Tueuse de Dragon, et il est dit que celui qui m'as sauvé la vie, était un être capable d'utilisé ces pouvoirs dont il est question et je pense tout simplement sans aucunes certitudes que celui-ci à envelopper la demeure de cette magie. Crois-tu qu'aucuns hommes vivant , vampires ou magiciens puissent percé la carapace d'un dragon ? »

Sous ces mots , il sorti de sa poche les fioles qu'il avait récupérer un peu plutôt, dans plusieurs livres qu'il est entrain de lire depuis la mort de Jack, apparaît souvent l'hypothétique moyen d'acquérir ces pouvoir pour un temps très limité via des potions , peut-être s'agissait-il de ces conteneur de verre qu'il tenait , une seule chose était sûre il devait les essayer pour voir, il les avala toutes, malgré le goût immonde, rien de particulier, peut-être la couleur de la pupille de ses qui était passé de sa couleur jaunâtre habituelle pour Thomas, au bleu éclatant de celle de son père spirituel.

Il ouvrit la porte de devant puis commença à monté peu à peu les marches, arrivé au moment d'ouvrir la porte du salon pour pouvoir sortir par l'entrée principale, quand il posa la main sur la poignet, un sort fît volé la porte, manchot , voilà a quoi il pensa les premières secondes, mais finalement rien, une simple brûlure qui se résorba presque aussi vite qu'elle était venue.

« Bon … T'es prête ? J’espère que tu à soif. C'est parti », ils arrivèrent dans le salon quelque peu sonnés par les lumières qui fusaient, L. ne se rendait pas encore compte de ce qui se passait , sa vue était trouble , un temps d'adaptation à sa nouvelle condition temporaire, peut-être ? De ce fait il attendit les ordres de la belle blonde.
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MessageSujet: Re: Whatever Works Whatever Works EmptySam 5 Mar - 20:47

Par le flair.

    Glace à la menthe, murmura-t-elle, pensive.


Sa main sur l’épaule de la prétendue victime. C’était cela. Il devait certainement exister un sort qui laisserait des sortes de flèches ou de trace derrière elle, comme les vampires se servaient de leur odorat pour poursuivre leur proie. Belle sourit. Elle était sauvée.
C’était un chasseur. Elle était enfermée avec un #@^&! De chasseur qui pouvait faire sa peau à n’importe quel moment. De plus, il refusait de lui apprendre son nom, ce qui la faisait sortir de ses gonds.

    Tu es trop jeune, mais toi qui étais autrefois une sorcière, n'as-tu jamais entendu parler de ces créatures au corps gigantesque et aux ailes géantes que sont les dragons ? Bien entendu ils n'existent plus en ce monde à l'état sauvage, les rares encore en vie servent pour la coupe de feu si mes souvenirs sont bons, non ? Mais pour ce qui en était dans le passé, quand les dragons proliféraient au milieu des hommes, avant même que le premier suceur de sang apparaisse, il fallut aux mages développer un art particulier de la magie, la magie Tueuse de Dragon, et il est dit que celui qui m'a sauvé la vie était un être capable d'utiliser ces pouvoirs dont il est question et je pense tout simplement sans aucune certitude que celui-ci à envelopper la demeure de cette magie. Crois-tu qu'aucun homme vivant, vampire ou magicien puisse percer la carapace d'un dragon ?
    Alors, pourquoi suis-je entrée ? Pourquoi, par Merlin, ai-je réussi à entrer !


Il but des fioles. Pour dupliquer sa force par exemple ? Il avait vu qu’elle était « rebelle », qu’elle ne se laisserait pas faire. Qui se laisserait faire dans ce cas présent ? Personne. Belle fit un pas en arrière, s’attendant à voir le jeune chasseur se métamorphoser en un véritable godzilla. Loin de là, aucune transformation apparente, ce qui laissa l’éternelle perplexe. Qu’avait-il donc en tête ?

    Bon… T’es prête ? J’espère que tu as soif. C’est parti.
    Je croyais qu’ils étaient sensés rester dehors, grogna-t-elle.


Arrivés dans le salon, des centaines de chasseurs se ruèrent sur elle et sur le jeune chasseur. Des sorts fusaient, elle distinguait à peine les couleurs. Mordant certains, lançant des sorts à d’autres, la baguette obéissait parfaitement à ses pensées, qui n’avaient aucun mal à se remémorer les formules. Belle se précipita sur l’humain lorsqu’elle eut un instant à elle, après avoir jeté une chasseuse le visage totalement défiguré à l’autre bout de la pièce, et plaça la baguette contre sa tempe, l’empêchant de bouger en bloquant le cou palpitant de l’humain avec son avant-bras.

    Reculez, tous. Lancez un seul sort, et je le tue.


Elle connaissait la solidarité humaine. Ils ne sacrifieraient pas l’un des leurs. Ils n’en avaient pas les tripes. Elle pouvait aisément se le permettre, de sang froid. Après tout, il n’avait pas accédé à toutes ses requêtes, Belle ne lui devait rien à part un verre de vin. Quoique, il avait eu la bonté de lui proposer un petit rafraichissement, elle réfléchirait deux secondes avant de le tuer si cela arrivait.
Plus aucun sentiment de peur ou de doute. Sang froid. Calme impérial. Quasi amusement face à cette scène. Elle maîtrisait la situation. Elle se retrouvait. Elle retrouvait son père ainsi. C’était fantastique.
Elle enfonça la pointe de la baguette dans la tempe du jeune homme, pour leur montrer à tous qu’elle ne mentait pas et qu’elle n’hésiterait pas non plus. Il fallait qu’il ait l’air d’avoir peur, au moins. Que la sueur ruisselle de son visage, que son souffle soit saccadé, que ses yeux voient la lumière du sommeil éternel approcher…

    Je te propose de demander gentiment à tous les chasseurs de me laisser partir et de te laisser vif, chuchota-t-elle à son oreille. Mais je ne te laisserais pas vif si tu ne me dis pas ton nom.
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Thomas L. Desmond
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MessageSujet: Re: Whatever Works Whatever Works EmptyJeu 17 Mar - 19:59

La baguette s’enfonça contre la peau de sa tempe , un peu trop fort, et dans un élan meurtrier elle traversa quelques couche de peau laissant un petit point de sang comme empreinte, Thomas ne savait plus quoi faire il était pris à son propre piège, et il n'appréciait pas du tout ! C'était simple en face, trois sorcier, derrière une blondasse avec la baguette lourde, si je puis dire.

« Oh ! T'es folle ou quoi , qu'est ce que tu branles ? Range-moi ce machin avant de me faire du mal ! », pas de réaction elle ne laissa aucune chance à Thomas de négocié, lui qui était certain de pouvoir la protégé, voilà qu'elle le menaçait , à choisir sa mort , il opterait certainement pour les sorciers , il aurait alors une chance de s'en sortir.

L'étreinte mortelle de la dame se resserrait peu à peu, ne laissant pas insensible le jeune homme, leurs corps se rapprochés peu à peu, dans une situation intime certes mais pas vraiment ce qu'il aurait prévu par la suite. Et les trois guignols perché sur leurs balais comme des babouins sur un arbre regardaient bouche-bées.


« Putain faites quelque chose ! Un tir de précision , vous êtes lents … je vais crevé , elle rigole pas … », dit -il en penchant sa main vers l'arrière en montrant le faux air méchant de madame, puis de sa main gauche il attrapa le poignet meurtrier de Belle, la fessant tournoyait comme l'on fait tournoyait un enfant sous son bras, pour finalement retenir son pivotement , en posant ses mains pleins de doigts sur contre la taille de madame afin de se retrouvait dos aux sorciers, et face à face avec elle . Malgré tout elle ne perdait pas le nord, ce foutu bâton toujours contre sa tempe.

« Bon , tu baisse ça, je m'occupe d'eux, ensuite je t'invites à dîner un jour, à condition que je ne sois pas le plat principal , ça te vas ? », tu parles à peines eu-t-il le dos tourner qu'un de ses dingues perchés en robes de chambres lança un sort sur le jeune homme , une boule de feu, est-il vraiment plus simple de tué un homme de dos ? Le flamme courus en direction du jeune homme et le percuta , haut en flamme, chair intacte voilà réellement a quoi servait les potions.

« Merde, bon barrez vous, j'ai autre chose à foutre là.», voilà ils partaient sans aucune autre confrontation , à vrai dire personne ne sait pourquoi, un coup de chance , la peur ,ils disparurent aussi vite et instantanément qu'ils étaient apparus, le soleil allait se levé, et le vent changea de direction , pas d'erreur un plus gros gibier, il puait jusque là , Belle ne les intéressait pas du tout, ils avaient trouvé plus gros encore.

« Tu peux dormir ici, prendre une douche ou ce que tu veux, tu sais le soleil n'est pas bon pour ton teint, moi je vais me changé et nous chercher quelque chose à manger , si je trouve un type en route , je te l'apporte ? Au fait je m’appelle Thomas 'Light' Desmond. ;-) », dit-il en souriant, laissant comme au revoir provisoire un baiser sur la joue de madame , il alla direction sa chambre, mis un nouveau tee-shirt et partit presque aussi vite que les sorciers, ne sachant pas si il allait retrouvé Belle endormie en revenant , où si elle serait partie.
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