▌LIZBETH J. WATSON « ... »

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“
Lizbeth
Joy Watson
Sorcière;
20 ans; née un jeudi 14 février;
australienne de 6eme année
”

« my shadow is the only one that walks beside me. »

NOM

« Watson; un nom de famille plutôt commun de diriez-vous ? En effet, je suis d'accord avec vous. mais ce nom me permet de me fondre dans la foule puisque n'aimant pas que l'on me remarque parmi d'autres personnes. C'est le nom de mon roi de père, mais heureusement qu'il dirige un pays dans une contrée lointaine, je n'ai pas à supporter les foules de regards "intéressés" posés sur moi. Et j'espère que j'arriverai à honorer ce nom, bien que je n'en sois pas particulièrement fière. »

PRENOMS

« Lizbeth; tel est mon premier prénom, étant le choix de ma mère. Elle souhaitait m'appeler Elizabeth en l'honneur de sa défunte mère. Mais elle s'était dit que ca faisait trop vieux. Alors elle m'appela Lizbeth. Joy est le choix de mon adorable père. Il m'a expliqué un jour qu'il avait choisi ce prénom car lorsque j'étais née et qu'il m'avait prise dans ses bras pour la première fois, je lui avais fait un grand sourire qui lui exprimait la joie et le bonheur que ma naissance représentait pour notre famille... »

ÂGE

« 20 ans; un âge tout rond pour un petit brin de fille tel que moi. Ainsi, je suis en sixième année ici, mais j'ai encore tant à apprendre. Enfin, selon mon père, qui souhaite me voir monter un jour sur le trône de notre royaume. »

Dernière édition par Lizbeth J. Watson le Ven 26 Déc - 13:33, édité 11 fois

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« un élément marquant de ma vie ? la mort de ma mère ... »

Lizbeth était allongée dans son lit, le dos posé sur son oreiller qui lui-même était posé sur le dossier de lit. Elle pensait à énormément de choses, comme à la solitude qui lui pesait, jour après jour. Non pas qu'elle n'était pas courageuse, loin de là, simplement, dans la contrée dans laquelle elle vivait en compagnie de son père, elle n'avait pas énormément d'amis. Pour quelle raison ? Tout simplement parce que Lizbeth était coupé de tout contact avec le monde extérieur durant ses vacances d'été, et qu'elle devait honorer son titre de princesse. C'est à cet instant précis qu'elle se rendit compte que sa mère lui manquait. Elle avait du faire la même chose étant plus jeune, Liz avait besoin d'elle, là, maintenant. Pour se rassurer, pour se convaincre qu'elle n'était pas seule dans cette épreuve, elle entreprit d'attraper son journal intime qui était caché sous son lit à baldaquin. Elle l'ouvrit, et le lut.

Vendredi 13 Novembre 2085

“ Alors que je prenais mon sac de cours et que j'y insérais mon livre de littérature anglaise, j'entendis un bruit résonnant dans mes oreilles encore aujourd'hui. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Je lâcha mon sac sur le parquet de ma chambre, et je descendis en cavalant les escaliers. Horreur et stupeur m'attendaient en bas de cet escalier, juste devant la porte. mon père était penché sur ma mère, les larmes coulant sur ses joues pâles. Le plaid qui recouvrait Maman était rouge sang. « maman ? ... MAMAN ??? » Notre maître d'hôtel, Joseph, était là, à essayer de me calmer en me prenant doucement dans ses bras. Les larmes ne coulaient même pas sur mon visage, mais pourtant la tristesse pouvait se lire dessus. Papa se leva, et s'approcha de moi. Il posa sa main sur mon épaul, et s'agenouilla. « Papaa ?? .. » « Ma puce, ma chérie; tu sais combien je t'aime ? » « elle a quoi maman ? ... » « ta maman est malade. nous attendons que le médecin d'urgence arrive. »
Quelques instants plus tard, la sonnette de la porte d'entrée se fit retentir. Papa ouvrit la porte, et laissa entrer le médecin vêtu d'une blouse blanche. Il examina pendant quelques instants, et se retourna vers Papa. « Je suis sincèrement désolé, Mr. Watson. Votre femme n'avait aucune chance. En plein dans le cœur. »
Papa avait l'air complètement abattu, lui qui, toujours, était submergé de mots. Ma propre voix s'était perdue en mon for intérieur. Je voulais, crier, hurler même, mais je ne le pouvais pas... Le docteur s'en alla, emmenant Maman avec lui. Nous étions sur le pas de la porte, et voyons Maman partir. Papa me serrait la main. La porte de l'ambulance claqua. Les fenêtres de celle-ci étaient noires, et je ne pouvais plus rien voir. J'étais coupée de tout raccord à la vie...
Que vais-je devenir maintenant que Maman est partie ? Elle avait promis de me surveiller éternellement, de ne jamais me quitter... Mais elle avait menti. Elle était partie, et ce pour toujours.
Papa savait parfaitement que maman était différente. Elle n'était pas une femme comme les autres. Elle était une sorcière, une des sorcières les plus brillantes de sa génération. Il savait très bien ce qu'il s'était passé, alors que moi, je n'en savais rien. « tu es trop jeune pour comprendre Joy. plus tard, peut-être. » Je comprendrais certainement un jour.”

Lizbeth avait changé de position : elle avait la tête posée sur son oreiller, tenant son journal intime de sa main droite. Les larmes coulaient sur son frêle visage. Elle se sentait coupable de ce qu'il s'était passé. Si seulement elle pouvait revenir dans le passé pour le changer, mais elle savait pertinemment que cela était impossible, malgré ses pouvoirs. Elle avait une rage de vaincre depuis ce jour si accablant. Elle ne manquait pas de courage, certes, mais sa mère lui fournissait ce courage; bien que, aujourd'hui, elle ait retrouvé petit à petit le goût et la joie de vivre, auxquelles s'accompagnaient un certain courage, et une envie de faire pour le mieux. Elle referma brusquement son journal intime, et le remit en place, en sa cachette. Elle se leva de son lit, se dirigea vers son miroir, effaça les dernières larmes qui se trouvaient sur ses joues pâles - joues qu'elle tenait de son père, et sortit de sa chambre, sans un bruit...

Dernière édition par Lizbeth J. Watson le Ven 26 Déc - 18:37, édité 11 fois

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« j'aime m'échapper de la personne que je suis.
pour cela, je prends des risques en me baladant
seule la nuit dans la Forêt Interdite... »

La lumière de la lune filtrait à travers les rideaux des dortoirs. La jeune élève d'Hogwarts de 20 ans était allongée paisiblement sur son lit dans son dortoir, mais ne dormait pas. Elle avait bien trop de choses en tête. En réalité, elle en avait assez d'être ce qu'elle était, c'est à dire une princesse qui était promue à un avenir sur le trône de son père. Mais elle ne voulait pas cela. Elle voulait avoir un avenir exceptionnel, être au service de la Communauté Magique; être auror, cela lui plairait bien. Elle était passionnée par la métamorphose, mais également par la défense contre les forces du mal ou encore les sortilèges. Mais elle savait qu'elle avait besoin des potions, bien que cela ne l'intéressait pas tant que cela. Elle n'avait pas un goût prononcé pour cette discipline. Mais elle s'y faisait, et elle était tout de même une élève brillante qui excellait dans la majorité des matières, hormis la divination.

Brusquement, sans trop comprendre ce qui lui arrive, elle se redressa, et se vêtit de sa cape ornée du blason de sa maison. Elle entoura son écharpe autour de son cou, et sortit en silence du dortoir des filles. Elle jeta un dernier regard en arrière, eut un faible sourire en voyant sa meilleure amie qui roupillait comme une bienheureuse, soupira, et ferma la porte. Elle descendit les escaliers, et atterrit dans la Salle Commune. Personne. Lizbeth eut un soupir de soulagement. Elle n'avait nullement l'envie de devoir s'expliquer face à un préfet. Elle passa le trou du portrait, et se retrouva dans le château en lui même. Elle descendit les escaliers pour se retrouver dans le Hall d'Entrée. « Zut. » le portail était fermé. Lizbeth s'empressa de s'emparer de sa baguette magique, la pointa sur la serrure de la porte, et murmura « alohomora! ». Sans un bruit, le portail s'ouvrit, et Lizbeth s'engouffra dans le froid d'une nuit de Décembre.

Déterminée, elle se dirigea vers la forêt interdite. Elle s'y engouffra sans un bruit, et sans aucune crainte, elle qui était si courageuse. Elle entendit les hurlements des loups - c'était la pleine lune, bougre de merlin! - mais elle ne prit pas peur. Elle se croyait à l'abri, hors de tout ce qui rendait sa vie si "ordinaire" disons. Elle s'enfonça de plus en plus, jusqu'à arriver à une clairière qui était éclairée par les rayons de la lune. Toujours sa baguette en main, elle se retourna, ayant entendu un bruit. Une silhouette se dressa devant elle. En une fraction de seconde, tout le courage qu'elle avait rassemblé pour se rendre ici s'évanouit à la vue du... centaure. Elle se mit à trembler, quand le centaure s'approcha d'elle, et la regarda étrangement. « que faites-vous ici? » « rien de spécial, j'aime simplement m'échapper de la personne que je suis. pour cela, je prends des risques en me baladant seule la nuit dans la Forêt Interdite... » « je vous conseille de vous en aller. courez, fuyez. ne vous retournez en aucun cas. la forêt n'est pas sûre par les temps qui courent. ».

Sans un mot, sans un bruit, Lizbeth obéit scrupuleusement à l'impressionnant centaure. Elle arriva à l'orée de la forêt, à l'endroit où se tenait auparavant la cabane du garde chasse Rubeus Hagrid. Malgré les conseils avisés du centaure, Liz' lança un dernier regard vers la forêt, et s'enfuit vers le château...

Dernière édition par Lizbeth J. Watson le Ven 26 Déc - 20:01, édité 9 fois

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« il existe une vie en dehors du monde imaginaire »

BAGUETTE MAGIQUE

« baguette en boix de houx, 30,5 cm, contenant une plume de phoenix. cette baguette ayant appartenu à la mère de Lizbeth, qui l'a récupérée à la mort de son ancienne propriétaire. »

CODE

« Supermassive Black Hole »

PSEUDO

« casual sur circus kiosk (100%pub), ou modern light sur SN »

ÂGE

« 17 ans et 6 mois »

AVATAR

« emma watson »

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je pense avoir terminé. j'espère que cela conviendra. (:

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Lizbeth;

Gryffindor.

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